Conclusion D Une Charogne

Maudit comme Verlaine et Rimbaud, a marqué l’histoire de la poésie française avec son unique recueil Les Fleurs du Mal. Ce recueil contient la totalité des poèmes de Baudelaire, ainsi on peut voir les poèmes Harmonie du soir, La cloche fêlée, La charogne ou L’Albatros. A son époque, Charles Baudelaire est incompris et son œuvre sera condamné, c’est pour cela que six poèmes ont été retirés de l’œuvre. Nous étudions ici le poème l’Albatros, écrit en 1857, 10 ans avant la mort de Baudelaire. Dans

Nous avons put analyser l’esthétique de la beauté, toutefois, l’esthétique de la laideur existe bel et bien. L’art de la laideur, peut tout aussi bien montrer la plus belle des œuvres d’art. Prenons l’exemple de La Charogne de Baudelaire, qui, au-delà de la corruption du corps de la charogne en décomposition, fait un serment d’amour, un amour éternel qui est sans cesse renouvelé ou bien gravé à jamais. Mais il n’y pas que la poésie qui utilise la laideur, cela peut être tout autre chose, comme par exemple

abominable. Et, sur ce masque horrible et grotesque du néant, les cheveux, les beaux cheveux, gardant leur flambée de soleil, coulaient en un ruissellement d’or. Vénus1 se décomposait. Il semblait que le virus pris par elle dans les ruisseaux, sur les charognes tolérées2, ce ferment dont elle avait empoisonné un peuple, venait de lui remonter au visage et l’avait pourri. La chambre était vide. Un grand souffle désespéré monta du boulevard3 et gonfla le rideau. - À Berlin ! à Berlin ! à Berlin !

pense … '' de Chassignet 1)Impression sur le poème : morbide, portrait d'un cadavre, impression du dégout, intention du poète serait de rendre plus sage, détourner le lecteur du corps et le tourner vers Dieu. 2)Impression par rapport à Une charogne Baudelaire: fascination pour le morbide, portrait précis du cadavre en décomposition, champ lexical beauté, transformer le laid, l'immonde, l'horrible en beau. Il s'adresse à la femme qu'il aime et thème mémoire lutter contre le temps. => Chassignet:

Introduction Dans Les Fleurs du Mal, nous avons deux visions opposées de la mort : un aspect morbide ("Une Charogne") et un aspect heureux ("La mort des amants"). Dans le poème La Mort des amants, Charles Baudelaire qui a connu l'infidélité en lui et hors de lui, la séparation et l'éloignement de la femme aimée dans le gouffre du temps imagine un monde idéal qui serait l'inverse du monde réel : la fidélité, la fusion, le luxe y règnerait. Comment Baudelaire passe d'une forme poétique traditionnelle

tous les trucs (12) du commerce conquérant. Agitant devant les yeux d'un des tous petits Noirs enfants, le grand morceau vert d'étamine : « Tu le trouves pas beau, toi, dis morpion (13) ? T'en as souvent vu comme ça, dis ma mignonne, dis ma petite charogne, dis mon petit boudin, des mouchoirs ? » Et il le lui noua autour du cou, d'autorité, question de l'habiller (14). La famille sauvage contemplait à présent le petit orné de cette grande chose en cotonnade verte... Il n'y avait plus rien à faire puisque

 Ce corpus est composé de 3 textes qui ont comme thématique commune, une vision poétique de ce qui nous semble habituellement laid. Le texte A « Une charogne » est extrait du recueil Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire (1861) ce poème est un quatrain tout comme le texte C « J'aime l'araignée ». Ce poème est tiré du live Les Contemplations de Victor Hugo écrit en 1856. Le texte B est un sonnet « Le Crapaud » (1873) du recueil Les Amours jaunes de Tristan Corbière. A la lecture de ces poèmes nous

embarque en direction de l’Afrique où la maladie occupe la majeure partie de son quotidien. Ensuite il va en Amérique ou il vit dans la misère et enfin il rentre à Paris ou il est médecin, malgré cela il reste tout de même un travailleur pauvre. En conclusion durant tout le livre Ferdinand Bardamu ne connaîtra pas le bonheur. Déjà dans l’incipit Bardamu explique lui-même son cas de « miteux ». Dans cet incipit il y a une série de blâmes contre un peu tout le monde. Les parisiens par exemple sont décrits

fabrication d’un lieu favorable à la vision, c’est une leçon intérieure. On s’applique à rendre visible l’invisible et le surnaturel perceptible. Comment suggérer la résurrection des corps : Chassignet propose une réponse : contempler par l’esprit une charogne : « pense » , de manière à ce que ce spectacle horrible détourne le fidèle de toute vie terrestre pour n’envisager que la perfection de Dieu. Le sonnet organise parfaitement cette contemplation : les deux quatrains avec leur système verrouillé de

passage est épargné de descriptions horribles. • Les mots « les deux bras en l’air » et l’euphémisme « s’envoler » montrent qu’il se dirige vers le paradis. Conclusion : Ici, Hugo a une vision romantique de la scène : il veut sublimer l’horrible de la guerre et de la mort. Baudelaire fait de même dans son poème « La charogne » (Les fleurs du mal) où il essaye dit-il d’«extraire la beauté du mal ».