Conclusion D Une Charogne

Spleen : «  Je suis un vieux boudoir (…) je suis un cimetière ». Oxymore : - « Ô Beauté ! Monstre énorme, effrayant, ingénu » dans « Hymne à la Beauté » * « Assoupi dans le fond d’un Sahara Brumeux » Introduction de termes insolites et nouveaux : charogne, catin, fœtus, brûle-gueule, bric-à-brac, baraques. III/ Les correspondances « Les parfums, les couleurs et les sons se répondent » Dans « Correspondances ». Dans ce sonnet : B reprend une doctrine romantique allemande (Hoffman) : Il existe

qui, d’un point de vue esthétique s’oppose au beau ; mais le laid est ce qui est désagrable et ce qui inspire le mépris ou la désapprobation (selon l’Histoire de la laideur ). Ce thème n’a pas empêché Baudelaire d’en être inspiré : la laideur de la charogne est d’autant plus repoussante qu’elle s’oppose à la beauté de la femme. Le contraste entre l’angélisme de la femme et la laideur de la carcasse est violent. Ainsi, la laideur est-elle mise en valeur par ces oppositions manichéennes. I/ c) Le laid

rêve » v. 9, et cela malgré les intempéries. Le poète donne encore une image de rejet de la part des hommes « ténébreux orage » v. 1 mais, quelques personnes l’on touché et on éclairé sa route « Traversé çà et là par de brillants soleils » v. 2. En conclusion, le poète apparaît comme un solitaire, un marginal qui est rejeté par tous sauf Dieu qui l’accompagne tout au long de son chemin. Il vit son séjour sur Terre comme un exil, et il est soumis pendant ce séjour aux vexations de la société qui ne le

"catéchistique", dans le quel on usait de tournures adverbiales pour réciter le premier Commandement "Un seul Dieu tu adoreras ...". Par conséquent, la forme octosyllabique et les tournures stylistiques telles que "Rampe et meurs misérablement" (vers 4), " ta charogne engraissera le sol fumant " (vers 25-26) concorde avec ce qu'a écrit de Cornulier. Il est clair que Baudelaire conserve des traces du cantique (par exemple, les Dix Commandements) pour écrire sa version d'Abel et Caïn. C'est pourquoi nous en venons

calme, luxe et volupté (poème exotique) Analyse de « Spleen » : * Désespoir * Tristesse * Spleen Analyse de « Parfum exotique » : * Dédié à une de ses amantes * Sensualité Analyse de « Charogne » : * Il drague une femme en lui disant qu’elle va devenir une charogne * Memento Mori * Détourne le motif de la poésie amoureuse * 12 quatrains d’alexandrins/octosyllabe, style et mise en formes très légères qui contrastent avec le thème du poème * ressemble à une

c. Introduit à la célébration du monde : Supervielle, R.G. Cadou etc. Le quotidien se transforme sous le regard du poète. II) MAIS ELLE PERMET AUSSI DE REGARDER LE QUOTIDIEN AUTREMENT a. Dégager le beau dans la laideur (Baudelaire : Une charogne) b. Les objets du quotidien deviennent des objets d’écriture sous la plume de Ponge. « Le pain » = un univers dans le four « stellaire » c. Elle magnifie les sentiments (cf. tous les poèmes d’amour…dont on peut douter pour beaucoup de la sincérité…)

lyrique, registre de la colère/de la haine. Changement de la forme depuis la première fois du poème => révolte. Vers violent, pronom possessif « ta », c'est à Abel maintenant de n'avoir que son corps. Sorte de Memento mori vengeur, avec le mot « charogne » qui renvoie au chacal du vers 16 et qui annonce la victoire de Cain. Le choix du futur également, sorte de prophétie, le choix du verbe « engraissera » qui renvoie également au vers 13 et qui a un sens ironique. Abel s'est engraissé finalement

actions  animal 2)l’esthetique de la répétition le monologue s’ouvre et se ferme sur « dort »  pas d’evolutions repetition d’ordres lucky = mecanique + repetitif  deshumanisation corde + fouet = animal ou 2) un homme dégradé insulte (charogne) mvt de la corde silence de lucky repetition des ordres jette les os II/L’abus de pouvoir 1)La manipulation de la parole lieux communs : on + « la route est à tt le monde » hypocrisie socila : « mes amis » semblant de communication

neige, le faisant tourner comme des femmes, chaque mois, font tourner le lait. Et c'était à la fin de l'article que se trouvait la comparaison de la mouche, une mouche couleur de soleil, envolée de l'ordure, une mouche qui prenait la mort sur les charognes tolérées le long des chemins, et qui, bourdonnante, dansante, jetant un éclat de pierreries, empoisonnait les hommes rien qu'à se poser sur eux, dans les palais où elle entrait par les fenêtres. Muffat leva la tête, les yeux fixes, regardant le

poursuivre sa lecture pour chercher la rime tous les deux vers : le lecteur est, lui aussi, musicalement prisonnier du texte). II) Un amour désespéré 1) Un amour empreint de mort Baudelaire utilise des mots faisant référence à la mort, tels que «charogne» (v. 11) et «cadavre» (v. 24). De plus, le poète emploie des expressions d’«instruments» censés apporter la mort : le «couteau», le «glaive» et le «poison» (ces deux derniers sont répétés deux fois, d’où une insistance certaine). 2) Un amour masochiste