Conclusion D Une Charogne

symbolique. La partie gauche avec un Narcisse vivant, tournant le dos à tous ses prétendants qu'il a éconduit. Un côté riche qui contraste avec le côté droit; cette main tenant un oeuf d'où éclos un narcisse en fleur, un chien semblant mangé une charogne, l'image d'un homme (sans doute narcisse lui même) se tenant sur son piédestal, et une colonie de fourmies grimpant sur la main. Tout ce côté droit symbolise la mort. Une certaine paranoia se dégage de ce tableau. Une première impression est que

et qu'il ne peut y échapper même si il a la volonté d'y échapper ici par la sensualité. D'autre part ce monde du quotidien trivial est renforcé par le discours direct assez cour mais d'un langage grossier qui ainsi surprend l'auteur : « Salaud, charogne » et crée une réelle opposition avec le cadre favorable développé en première partie. Par ailleurs le rythme calme et paisible de la première partie et dérangé par des phrases plus courtes et un rythme plus « carré » et ainsi avec des marqueur de

"lit" ; v.32 "berceaux" C'est une scène très générale : v.1 "J'ai vu" 2) L'horreur sous toutes ses formes - Le spectacle est général : tableau d'ensemble. Métaphore (comparaison) : le massacre est comparé à une tempête au vers 2. => "feux, charognes, morts, visages affreux" (v.9) - Resserrement de la vision : elle devient plus réaliste, donc plus atroce. v.14 "dissipait sa cervelle" ; v.24-25 "bras séparé de son corps" ; v.29 "femme enceinte tuée à force de coups" ; v.37 massacre des

qu’au vers 15, les amants disparaissent. L’évocation de la femme donne une figure fantastique du vampire, avec une transformation importante : ici, le vampire ne vit pas du sang de ses victimes, mais il pourrit sur place (vers 20). Comme dans Une Charogne, le sang, dénué de connotations positives, transforme la vie en mort et la séduction en infection. La métamorphose de la femme est dramatisée par l’enjambement (vers 19-20) : l’accent est mis sur le ventre, sur le sexe, en opposition radicale à

VIIe siècle et le IIIe siècle av. J.‑C. dans les steppes eurasiennes), faisaient sa pour se nourrir, selon Montaigne... Pour relativiser l'horreur de cette pratique, il cite : « l'autorité des Anciens » (« Il n'y a aucun mal de se servir de notre charogne à nos besoins ») Ex : Nos ancêtres les Gascons, assiégés par les Romains, se sont nourris de vieillards, femmes et enfants, et tout autres personnes inutiles au combat... → Relativisation des coutumes. Lorsque Montaigne va émettre un jugement

regard triste femme = drogue intense Conclusion  : Charles Baudelaire met donc l’addiction amoureuse en valeur en montrant que l’homme est dans tous ses états devant la femme, elle le laisse désemparé et cette addiction est décrite comme plus puissante que l’alcool et la drogue. Baudelaire nous a offert ce poème, déjà assez immoral et parlant de sujets étrangers à la poésie classique. Mais un autre de ses poèmes a beaucoup choqué, c’est « La charogne », poème des Fleurs du mal, où

évoquée à un tel point. c. Quelque chose qui dépasse l'Humain -"C'est une bien grande charogne en moins dans le régiment" ; "Chacun sa guerre" = Aucune compassion -"de sacrées ordures que j'aurais aidé bien volontiers à trouver un obus comme Barousse" = cynisme, immoralité. -Il n'y a aucun héros, le messager est tétanisé, et le colonel est stupide, et on a un Bardamu perdu, horrifié. Conclusion : Dans cet extrait de Voyage au bout de la nuit on a une remise en question totale du personnage

Les métamorphoses de la femme L’évocation de la femme débouche sur la figure fantastique du vampire, avec une transformation importante : ici, le vampire ne vit pas du sang de ses victimes, mais il pourrit sur place (vers 20). Comme dans Une Charogne, le sang, dénué de connotations positives, transforme la vie en mort et la séduction en infection. 2. La femme objet de répulsion La métamorphose de la femme en "outre" est dramatisée par l’enjambement (vers 19-20) : l’accent est mis sur le

résumer) illustration explication de l’illustration mini conclusion (retour à la thèse, l’idée principale et les idées secondaires) transition N.B. Il est impossible, si votre raisonnement s’y prête, que vous deviez apporter quelques variantes à la structure du paragraphe. Par exemple : - vous pourriez illustrer une idée avant de l’expliquer - vous pourriez recourir à trois idées secondaires pour une même idée principale. CONCLUSION SYNTHÈSE : Tissez des liens entre les idées et le sujet de dissertation

relation esthétique nouvelle entre le beau et le hideux est aussi souligné par la proximité phonique de l’expression « ulcère à l’anus » avec « clara Venus » (presque anagramme). CONCLUSION : > > « Une charogne » de Baudelaire