Conclusion D Une Charogne

source d’inspiration des poètes. L’albatros : Laideur des hommes (=moral) Laideur marin ( + laideur Albatros sur sol. L’exemple qui montre que laideur laplus extrême peut inspirer unpoète = A une Charogne : Compare la femme a une charogne Inspiré par laideur, monstruosité Pourriture, Puanteur, horreur. Il insiste même sur cette laideur Avec une accumulation de qualificatifs Et dans Spleen , laideur = mal = l’enfer de la condition terrestre = enfermement

beauté de la femme grâce à ses poèmes.En conclusion, "Chant d'amour VI" est un poème puissant qui célèbre l'amour et la passion, et qui montre la profondeur des sentiments de Lamartine pour la femme qui l’aime. Grâce à ses métaphores et figures de style, il parvient à exprimer de manière poétique l'intensité de son amour et de sa passion. Le romantisme s’étend sur la littérature, nous pouvons parler de fuite de temps. On peut évidement penser à « une Charogne » de Baudelaire dans ce poème Baudelaire

recueil ! La mort est souvent évoquée par le biais de la représentation de cadavres en décomposition. La boue, c’est aussi la décomposition du corps. Par exemple dans poème « Une Charogne », le poète fait l’éloge d’un cadavre d’une bête qu’il vient d’apercevoir « carcasse superbe » et sa putréfaction. Il finit par comparer la charogne à sa bien-aimée lorsque celle-ci succombera :

thématique dans le célèbre « Quand vous serez bien vieille... » (p.46, placé volontairement juste après dans le recueil Des troubadours à Apollinaire ) du même auteur et plus tard, de façon bien plus irrévérencieuse, dans « Une charogne » de Baudelaire ( Les Fleurs du mal ). Dressez un brouillon de votre futur commentaire du poème p.45 selon le plan : I. La nature et la femme à première vue idéalisées II. Le passage du temps : Le message du Carpe

Poison) conserve un goût inoubliable.2) L’odorat : c’est la notion sensorielle la plus présente dans la poésie de « l’olfactif » qu’a mis Baudelaire dans son recueil : odeur de la terre après l’orage (« Hymne à la beauté »),puanteur du cadavre (« Une charogne »), vapeurs d’encensoir (« La Muse vénale »,« Harmonie du soir »), ivresse des senteurs exotiques (« La Chevelure »), « âcre odeur du temps, poudreuse et noire » (« Le Flacon »), le parfum de la femme glorifiée en mainte spoésies car le désir, «

amorce de la prise de conscience de l’irréversibilité du temps : « Quelque chose d’irrévocable était venu ». Enfin, la promenade des plus charmante et idyllique aboutit sur l’apodose de la phrase « ils virent sur des cailloux, entre les joncs, la charogne d’un chien ». -«  le soir du 25 décembre, entre dix et onze heure », l’épisode de Noël (qui est en fait le 24 décembre). Sorte l’illumination intérieure -l’agencement des évènements : la nuit de Noël est à ce point précis= ca signifie quelque

l’image mérite qu’on s’y arrête. Une étoile : l’image est intéressante. Exemples : « Tout un nœud de vipères » (« I. Bénédiction », v. 5, p. 48). « Comme un tigre dompté » (« XX. Les bijoux », v. 13, p. 76). « Une charogne infâme / Sur un lit semé de cailloux » (« XXVII. Une charogne », v. 3-4, p. 85). Rédigez un commentaire d’une centaine de mots sur l’image qui mérite le plus d’être retenue. Que signifie cette image ? En quoi vous paraît-elle intéressante ? 2. La sensibilité La littérature

la mort est très marquée dans Les Fleurs du Mal où ce thème revient constamment sous des visages variés et contrastés, tantôt effrayants et horribles, tantôt consolateurs et porteurs d'espoir, reflétant à la fois la peur face à la pourriture de la charogne et l'exaltation mystique face à un au-delà plein de promesses. Nous allons examiner les sentiments de Baudelaire à l'égard de la mort, exprimés à travers de multiples allégories, parfois positives, parfois négatives, souvent ambiguës. "Plus encor

abominable. Et, sur ce masque horrible et grotesque du néant, les cheveux, les beaux cheveux, gardant leur flambée de soleil, coulaient en un ruissellement d’or. Vénus1 se décomposait. Il semblait que le virus pris par elle dans les ruisseaux, sur les charognes tolérées2, ce ferment dont elle avait empoisonné un peuple, venait de lui remonter au visage et l’avait pourri. La chambre était vide. Un grand souffle désespéré monta du boulevard3 et gonfla le rideau. - À Berlin ! à Berlin ! à Berlin !

les figures de style donnent un effet de réel à la poésie. De plus, le choix des sujets accentue l’effet de réel. En effet, l’intérêt du poète se porte généralement sur des objets inattendus. Par exemple, dans le poème « La Charogne » de Baudelaire. Dans ce poème Baudelaire compare la femme qu’il aime à une carcasse d’animal. Ce poème nous apprend que ce n’est pas le mot qui rend la poésie belle, mais ce que l’on en fait. Autrement dit, n’importe quel mot peut être le sujet