Composantes De La Trésorerie

impliquent un décalage des flux de trésorerie Donc il y a génération de déficits de trésorerie qu’il faut combler par des ressources financières Le cycle de financement comprend les opérations d’emprunt et de remboursement Deux notions essentielles dans l’entreprise : la création de richesse et la trésorerie 20 DIAGNOSTIC DES ASPECTS COMPTABLES ET FINANCIERS La création de richesse est appréhendée à travers le compte de résultat, mais : - certains flux de trésorerie ne se retrouvent pas au compte

disposer à tout moment de ressources financières mobilisables immédiatement pour combler les dépenses de | | |fonctionnement quotidiennes. Ces besoins de financement à très court terme représentent pour l'entreprise des besoins de trésorerie. En ce sens, la | | |trésorerie correspond à la part des ressources financières dont dispose l'entreprise qui n'a été utilisée ni à l'acquisition d'immobilisations, ni au | | |financement de l'actif circulant.

1) Stratégie de départ 2) Analyse S.W.O.T 3) Marges et Parts de marché suivant les périodes 4) Stratégie finale II- TECHNIQUES UTILISEES 1) Choix des Incoterms 2) Choix des moyens des paiements 3) Trésorerie I- ANALYSE STRATEGIQUE DE KEYSIV 1) Stratégie de départ Pour l’étude de ce cas nous avons choisi de nous positionner sur le marché de la Norvège. Notre choix s’est basé sur plusieurs critères. En premier

moi allons apporter la pochette « comptabilité » à notre comptable attitrée afin de | |gérer et de mettre à jours la trésorerie de l ‘entreprise. | | | |Composantes de la communication :

d'information en termes retraitements exigés par de construction de : l'adoption des normes IFRS -n bilan ; nn Le traitement des immobilisations -n compte de résultat ; incorporelles et corporelles : définition, -n tableau des flux de trésorerie ; valorisation, approche par composants. -n tableau de variation des capitaux nnLes dépréciations d'actifs : test propres ; de dépréciation, constatation -n tableau du résultat global ; de la perte de valeur sur les -n résultats intermédiaires ; immobilisations et le goodwill

|Fonds de tiers à long terme | |Créances à moins d’un an |Provisions et impôts différés | |Placements de trésorerie |Dettes à plus d’un an | |Valeurs disponibles |

compte de résultat 6 1.3 Dividendes 9 1.4 Effectif 9 Chapitre 2 : Lecture financière du bilan 9 2.1 Justification de l’élaboration d’un bilan fonctionnel 9 2.2 Principaux retraitements du bilan 10 Calcul du fonds de roulement : 16 BFR : 17 Trésorerie : 17 Partie 2 : Analyse financière d’une entreprise 18 Chapitre 1 : Analyse du secteur 18 1.1 Caractéristiques sectorielles 18 1.2 Positionnement sectoriel 18 A/ Les facteurs de vulnérabilité 18 B/ Les facteurs de dépendance 19 Chapitre 2 :

patrimoine de l'entreprise à un moment précis. Cette dernière correspond à la «date d'inventaire» ou à celle de «clôture de l'exercice». L'origine latine du bilan- bis signifiant deus et lans signifiant plateau - dénote qu'il s'agit d'un document se composant de deux parties équilibrées. La partie de gauche s'appelle «l'actif» du bilan et regroupe tout ce que possède l'entreprise et tout ce qu'on lui doit. La partie droite s'appelle «le passif» du bilan et représente tout ce que l'entreprise doit. L'actif

TRESORERIE Objectifs et procédures d'audit Conséquences de l'organisation de l'entreprise pour l'auditeur Les développements précédents nous ont permis de décrire les obligations de l'entre sur le double plan de la maîtrise et de l'enregistrement des opérations. La compréhension approfondie de ces obligations qui incombent à l'entreprise cons l'une des composantes fondamentale de la compétence de l'auditeur; elle lui permet effet (le connaître, avant même d'intervenir, les difficultés

de la moins-value . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Exemple – Valeur actualisée des flux de trésorerie futurs d’un prêt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Exemple – Estimation des flux de trésorerie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dépréciation de groupes d’actifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .