Comportement De Sganarelle

Dom Juan, Acte I, scène 2 : la tirade de l’inconstance Situation à préciser Entrée en scène de DJ qui ne la quittera qu’II, 1 (idem Sganarelle) Il donne à son valet l’autorisation de parler en toute liberté mais il sait qu’il va pouvoir l’écraser de son discours (situation identique III, 1) Type de discours ? argumentatif. En quoi cette tirade est-elle révélatrice de l’insoumission de DJ  aux valeurs de son temps ? Thèse : L’éloge de l’inconstance Progression du texte ? 1. La critique

Il y avait aussi une histoire d'amour à la basse, mais l'importance n'est pas là, mais dans la critique d'un type de personnage qui devient le protagoniste. Sur l'histoire d'amour on place ce personnage pour critiquer une échelle sociale ou des comportements sociales. Pourquoi ? Parce que de la farce on va prendre le personnage du benêt ou le Buffon, qui apparaît sur la comédie espagnole aussi dans la forme de « figuron » (vieux qui veut se marier avec une jeune dame. Homme prétentieux qui se croit

installation et désinstallation du siège par les valets, sortie du personnage) ; comique de situation (l’incapacité à réclamer son dû, l’inversion des rôles - le créancier payé de belles paroles, le créditeur qui devient débiteur ; le jeu final de Sganarelle, imitant son maître) ; comique de caractère (personnage stéréotypé du bourgeois créancier : vulgarité - réclamer de l’argent, confusion, naïveté, vanité nobiliaire - une sorte de Mr Jourdain) ; comique de mots (comique de répétition, termes à double

évoquée. Dom Juan affirme : «  Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit. » (acte III, scène 1). Il multiplie les impiétés, provoque le ciel afin de l'amener à se manifester, car Dom Juan croit ce qu'il voit, il croit à des choses concrètes. Mais à aucun moment, Dom Juan dit qu'il croit ou qu'il ne croit pas en Dieu. Nous pourrions donc penser qu'il est athée. Quand lui et Sganarelle aborde le sujet, Dom Juan parle en exclamation et en rit : « ah ! Ah !

................................................. .................................................................................................................................................... b) Analyse Acte I, scène 1  Sganarelle brosse le portrait de Dom Juan. Quels traits met-il en évidence? .............................. ...................................................................................................................................................

à un même registre romanesque et galant ; ce qui suppose entre eux une égalité de condition. Le Misanthrope s’inscrit davantage dans la tradition des comédies de moeurs, c’est-à-dire l’étude du comportement de l’homme en société qui s’appuie sur les différences de condition, de caractère et de comportement. Les paradoxes du caractère se retrouvent dans la construction de l’intrigue. Alceste confesse son « faible ». Il est amoureux d’une jeune coquette qu’il veut contraindre à l’épouser et à quitter

qui présente un dialogue entre Charlotte et Dom Juan dont Sganarelle est le témoin (complice). Cette dernière est donc la nouvelle conquête amoureuse de Dom Juan. Cependant, ce que celui-ci ignore est que la paysanne est déjà fiancée à Pierrot qui vient de le sauver de la noyade. De quelle façon Dom Juan va-t-il séduire et épouser Charlotte ? Pour répondre à cette question, nous allons étudier la stratégie du séducteur et le comportement de Charlotte, proie de ce dernier. Stratégie du séducteur

d’obtenir ce qu’il désire. Il s’oppose même au comte dans un conflit amoureux puisque celui-ci convoite sa fiancée. Il a un rôle important dans la scène car il découvre qui sont ses parents. Il n’a pas honte de ses émotions et les montre grâce à son comportement «exalté », « Oooh ! Aie de moi » « désolé » « Elle a raison » « en colère ». Il a un caractère fort et n’a pas peur d’affirmer ce qu’il pense « Jamais », « Ils font broder jusqu’aux soldats ». De plus, il tire des conclusions de ce qu’il voit pour

l’Antiquité, le théâtre se détache du réel pour n’en donner qu’une sorte de grossissement permettant à la fois le divertissement mais aussi la transmission didactique au spectateur d’une morale exemplaire. Au XVIIe siècle, les attentes et les comportements variaient en fonction de la classe sociale. Le public du parterre était meilleur enfant que les marquis qui pavoisaient sur scène. Certaines pièces proposent une réflexion morale ou sociale. Ainsi, pour Diderot, le drame doit représenter des conflits

ordinaire » (ligne 6), « bagatelles de rhumatisme et des fluxions » (ligne 7), « ces fiévrottes » (ligne 7), « ces vapeurs, et à ces migraines » (lignes 7-8). Par cela, elle décrédibilise complétement les maladies. Aussi ce n’est pas du tout le comportement qu’un bon médecin devrait avoir, elle cherche la gloire à soigner les maladies au lieu de se satisfaire de la bonne santé de ses patients. Cette idée est accentuée par l’anaphore « c’est là que je me plais, c’est là que je triomphe » (ligne 11-12)