Complicité Lecteur Narrateur

b) un texte argumentatif - L’ironie arme principale de Voltaire, est un registre qui intervient lui même souvent dans les registres comiques et polémiques. L’ironie permet à la fois de critiquer et de faire rire le lecteur (humour). Le narrateur tisse une complicité avec le lecteur. Ses procédés principaux sont : l’exagération (hyperbole, litote) ; l’atténuation (euphémisme) ; l’antiphrase. Cette ironie est utilisée dans cet extrait pour former d’autres critiques. - Dans ce texte, l’ingénu apprend

« Tant chérie » insiste avec l’ironie et l’humour. L’ironie et l’humour, grâce à ce vers, vont prendre de plus en plus d’ampleur grâce à la complicité avec le lecteur. «la jeune beauté », « notre belle » , adjectif possessif « notre », « notre belle » = complicité Lecteur/auteur. L’auteur nous invite d’être le complice de la vision de la Fontaine. Le narrateur va intervenir au vers 20 et 45 Vers 20 = il sait qu’elle va déjà se marier et qu’elle ne va pas le rejoindre.   Conclusion : Originalité

du héros présents dans ce texte permettent de caractériser la guerre de manière insolite et de définir la position du narrateur ? I. La perception des événements par Fabrice : la focalisation interne. 1. Les perceptions de Fabrice guident l'imagination du lecteur. Tout un champ lexical des perceptions visuelles. Effet cinématographique de la vue de Fabrice qui conduit le lecteur : « il remarqua » l. 6 ; « en regardant » ; « s'aperçut » l. 11 ; « regardaient avec leurs lorgnettes », « il vit » ; «

lieu « on sifflotait » ligne 14, « le public riait » ligne 21 * Le spectateur constitue un spectacle dans le spectacle : il découvre Nana, ébahis 2) Un public conquis Le spectacle est dans la salle et devient objet de spectacle * Le lecteur devient public : il observe la scène avec du recul et concentre son regard sur la salle * 1er temps : Le regard se recentre sur la salle « on se regardait » l.7 Remarques désobligeantes, critiques : « voix aussi fausse » l.9, « chantait comme

Extrait 2 chapitre 3 De ‘il fut’ jusqu’à ‘chanter les boyaux’. Intro : Jeanne a rencontré le vicomte de Lamare, qui lui fait la cours. Elle y est sensible. Le baron organise avec la complicité du vicomte et de l’abbé, le baptême d’une barque. Jeanne et le vicomte sont le parrain et marraine de la barque. Dans cet extrait, ils assistent à la bénédiction finale. Le vicomte en profite pour la demander en mariage. I/ Les fiançailles : la mise en scène. Jeanne est émue, bouleversé par

Enfants humiliés, Georges Bernanos, après avoir évoqué ses rêves d’enfant, prête au lecteur la réaction suivante: « Vous me direz que cela ne vous regarde pas, que s’il me plaît de poursuivre ma conversation avec l’enfant que je fus, cette touchante scène de famille vous laisse de glace, que vous vous fichez complètement de ce marmot. C’est votre droit. ». Cette réaction correspond-elle à votre expérience de lecteur d’œuvres de nature autobiographique ? Chez l’auteur qui écrit son autobiographie

recherches. Celui a réussi à échapper avec sa petite famille grâce à la complicité de Zina et de Cornélius, un couple de chimpanzés. 3. les indices qui montrent que le texte est extrait d’un roman de science fiction : - après sept cents ans d’absence. - c’est un gorille. 4. le narrateur a quitté la terre depuis sept cents ans. Les lieux familiers qu’il reconnaît : - Paris - L’aéroport d’orly 5. Malgré la longue absence du narrateur rien n’a changé. Les détails sont : 6-a-Les quatres éléments Le soleil

roman, le narrateur évoque l’adolescence d’Emma, l’héroïne, époque au cours de laquelle elle développe une passion pour les romans romantiques interdits au couvent. De quelle façon l’influence sur la jeune fille des lectures des romans romantiques est-elle mise en évidence ? Pour répondre à cette problématique, nous analyserons comment Emma est initiée à la lecture de ces romans romantiques et comment, par la suite, Emma devient une passionné de ces romans. Au début de l’extrait, le narrateur décrit

recherche du temps perdu. La recherche fait donc référence à cette idée d’énigme et d’enquête. Tout au long du récit, le narrateur poursuit un objectif faisant dire du récit « un roman policier dont l’inconnue serait de nature métaphysique » (Jean Rousset Forme et signification). L’inconnue n’est autre que le temps. Nous avons donc une loi du temps qui se forme et qui pousse le narrateur à traverser de nombreux lieux à la recherche de crimes et de souvenirs : la station balnéaire de Balbec, la Normandie…

s’inscrit dans une forme que nous appelons les mémoires. Tout d’abord, l’auteur, le narrateur et le personnage sont confondus. En effet, il y a une abondance des pronoms « je » et « me » dans le texte et nous constatons que ce narrateur, à la première personne du singulier, agit dans le texte : « J’arrivai », « J’étais ». De plus, il est clairement mentionné : « Monsieur de Châteaubriand » à l’adresse du narrateur-personnage, ce qui correspond bien au nom de l’auteur. Avec cela, nous remarquons