Complicité Lecteur Narrateur

I - UN PORTRAIT EN MOUVEMENT En romancier réaliste attentif à l’entrée en scène de son héros, Maupassant, à travers le regard du narrateur omniscient du récit, nous offre un portrait très informatif de Georges Duroy: Le portrait physique : s’il faudra attendre quelques lignes encore au-delà de cette première page du roman pour connaître la couleur des yeux et des cheveux de ce «joli garçon », c’est que l’intérêt du romancier portraitiste va d’abord ici à ce qu’on pourrait appeler, à tous

inversé de la société réelle. => description au service de la dénonciation ( chap 17-18 relèvent du genre de l’utopie). 1) 3 lieux relevant de l’utopie Baronnie de TTT El Dorado Métairie -lieu lointain : Westphalie = difficile à situer (inconnu au lecteur français du XVIII.) MAIS -réel : cadre choisi s’inscrit dans la réalité et donne de la crédibilité à l’histoire raconté et à la société décrite -lieu lointain, difficile à situer, culture inconnue. MAIS -lieu imaginaire, de légende. Conquistador

Ici, en comprenant les intentions l'un de l'autre, les deux époux «se firent pitié et horreur». Cette pitié réciproque se traduit par une «crise suprême» qui n'est pas l'occasion d'un repentir ni d'une rédemption qui les rendraient sympathiques au lecteur. Ils la subissent, comme le montre la construction de la phrase : c'est le mot «crise» qui est le sujet, tandis que les héros sont représentés par les pronoms compléments d'objet «les». L'emploi des pronoms personnels se fait aussi le reflet de cette

introduit en poésie comme la ville d’où le titre du recueil ou encore un rat comme dans le poème « Le Joujou du pauvre » Ce poème en prose se présente comme un apologue : sous la forme d’un texte narratif, le poète vise à transmettre une leçon au lecteur. Il fait le récit d’une scène qu’il a peut-être vu, c’est la rencontre d’un enfant pauvre et d’un enfant riche séparés par une grille qui se rapprochent en s’émerveillant à la vue du « joujou du pauvre » un rat vivant. En quoi s’agit-il d’un apologue 

réalistes qu’on peut y déceler. L’analyse du récit permet de retracer l’itinéraire tragique d’un boy en deux étapes: les deux cahiers du journal. Il trace l’itinéraire de victimisation du héros qui, se sentant exclu des siens, s’enfuit sous la complicité de sa mère, pour rejoindre le père Gilbert à la mission catholique. Jacques Chevrier explique qu’ Oyono a assis son récit sur un schéma tragique, qui va de la mort du Père Gilbert à celle de son protégé Toundi, en passant par la méchanceté de son

de La Serna, Valle-Inclán, Casares, il assiste aux réunions du Café, il établit nombreux contacts et collabore dans plusieurs publications périodiques d’avant-garde et traduit auteurs comme Kafka ou Virginia Wolf. En Espagne par exemple, ce grand lecteur d’encyclopédies fait partie des « ultraïstes » qui refusent le modernisme surchargé et sans substance. L’œuvre que Borges écrit pendant les années 20 à 40 est très riche et variée, en comprenant différents contes et récits fantastiques, poèmes

minutieuse des lieux et décors suivie d'une réflexion personnelle qui succède aux pensées du narrateur à propos des femmes et des dangers de l'amour. C’est pourquoi nous pouvons nous demander en quoi la construction de l’extrait révèle un chemin de pensée. Afin de répondre à cette question, nous étudierons tout d’abord sur quelles bases se construit la réflexion, puis comment le lieu inspire au narrateur des faits plus personnels, pour enfin nous intéresser à l’ambiguïté du décalage qui règne entre

Introduction : Le comique est un registre qui utilise un ensemble de procédés qui provoque le rire chez le lecteur, le spectateur. Se qui fait rire le public, c’est la rupture entre ce qui est permis et se qui ne l’es pas : d’une contradiction ou d’une situation qui crée un écart soudain par rapport à ce qui est attendu. Cette rupture peut se manifester à travers des situations, des gestes ou des effets de langage inattendus. Plusieurs formes de comique sont présente dans l’écriture de Rabelais

meurt aussi donc il y a 2 mort et non plus un. b) Interventions du narrateur - « hélas ! » (v7) → Exclamation qui commente la situation - « messire Jean Chouart » (v18 et 30) → désignation humoristique, établit un lien entre l’auteur et le lecteur - « voilà » (v30) → commun - « notre défunt » (v5) et « notre curé » (v33) → l’auteur crée une complicité avec le lecteur grâce au pronom possessif « notre » - le narrateur intervient à nouveau dans la morale en utilisant encore une fois le pronom

proposition de M. Madinier. Il s'agit d'un des passages les plus ironiques du livre. Zola joue d'une complicité de bourgeois cultivé avec le lecteur et s'amuse de l'inculture des personnages. En quoi cet extrait montre-t-il le naturalisme ? L'extrait fonctionne sur des décalages puisque la noce ne peut pas comprendre le monde de l'art auquel elle est confrontée. Premièrement, le regard du narrateur est à la fois une forme de tendresse, mais cette bienveillance est aussi moqueuse. Cela ne va pas