Complicité Lecteur Auteur

d'indépendance ...) ils visent au bien général, ce sont en quelques sorte des philosophes . ( Rabelais, erasme, montaigne ) La pléiade : groupe de sept poètes français qui cherchent à rompre avec la poésie médiévale. ils defendent l'imitation des auteurs greco-latins dans le but de s'en inspirer pour pouvoir les depasser , imposent l'alexandrin et d'autres formes poétiques. la pléiade jouera un grand role dans le developement à la standardisation du francais. LE 17EME SIECLE : ( époque de louis

Des Périers. A l’instar de ses contemporains, il a certainement lu les grands conteurs italiens de la Renaissance Straparole dont les Facétieuses Nuits traduites du siècle précédent (XVIe siècle) avaient fait les délices de plusieurs générations de lecteurs, et Giambattista Basile, qui écrivit en dialecte napolitain La cunto de li cunti, nommé plus tard le Pentamérone et publié en 1634 à1636. Il emprunte également à Boccace Griselidis, via la Bibliothèque bleue ; Les souhaits ridicules à La Fontaine(livre

ROMAN Comment à travers la construction des personnages, le roman exprime une version du monde qui varie selon les époques, auteurs, et dépend d’un contexte littéraire et culturel ? Le personnage de roman est-il le reflet du monde ? Le roman apparait au Moyen-âge : XIVème siècle. Récit littéraire rédigé en vers et en « roman » (langue vulgaire). Exprime les exploits de la France en langue commune. Véhiculé par les troubadours qui se déplacent et racontent à l’oral les exploits guerriers dans les

roman, préfère-t-on personnages exceptionnels ou personnages ordinaires ? • Dans les romans, l'aventure ne signifie rien : elle émeut et voilà tout... • Dans quelle mesure le lecteur peut-il s'intéresser à personnage qui n'est pas un héros positif ? • Dans quelle mesure peut-on reprocher à un lecteur de s'identifier au personnage ? • Définitions de "héros" et de "antihéros" • Définitions de héros, antihéros, héros médiocre • Description morale des personnages de roman

carrière littéraire. Pierre-Ambroise Choderlos de Laclos est né le 18 octobre 1741 à Amiens. Il reçoit une bonne éducation dans une famille de la petite noblesse et fait ses études dans une académie : on lui enseigne les « humanités », c’est-à-dire les auteurs latins et grecs. Il y obtient de bons résultats. À l’âge de dix-huit ans, il entre à l’École d’artillerie de la Fère dans l’Aisne. Débute alors sa formation militaire de stratège et d’artificier. Il en sort quatre ans plus tard lieutenant en second

* Intradiégétique « j’ai répondu » l.9 « j’en avais assez à mon actif » l.18 * Point de vue interne « j’ai senti que je venais de gaffer » l.11 * Références à l’expérience passée de Bardamu montrent « je » est celui de l’auteur : identité auteur, narrateur, personnage récit autobiographique * Allusion voyage Afrique « fièvres d’Afrique » l.4 * Etudes de médecines « j’ai entrepris autrefois des études de médecine l.10 b) Le narrateur témoigne de son expérience et de l’inversion

littéraire qui remonte à l’Antiquité : elle consistait à imiter une épopée dans un style familier (la parodie de l’épique est le burlesque et on parle alors d’imitation burlesque). Dans un sens plus large, la parodie consiste à imiter une œuvre, un auteur, un style, un genre ou un topos littéraire en le déformant. L’intention est tantôt comique, tantôt satirique. 3. L’absurde. Il révèle le caractère étrange ou incompréhensible de faits ou de personnages (notamment dans le quotidien). Il joue sur le

oubli js total Les mots et les choses La mimésis poétique : tension entre la linéarité naturelle du langage et la volonté de faire du poème une totalité cohérente, comme si tous les mots étaient présents au même instant dans la conscience du lecteur //mimésis picturale La Poésie établit une relation privilégiée entre les mots et les choses - elle réactive le langage, elle « dévoile, dans toute la force du terme »(Cocteau, Le Secret professionnel) - ne se limite pas à la description ou dénomination :

invention humaine dictée par nos sens. 6.L'arme des philosophes. Afin de toucher le public, les philosophes tentent de présenter leurs idées sur un mode plaisant. Ils utilisent le plus souvent l’ironie pour choquer, faire réagir et réfléchir le lecteur ainsi que les sous-entendus (l’implicite) afin d’éviter la censure.Ils adoptent également des formes littéraires variées: la fiction avec le conte philosophique et le roman le dialogue philosophique le pamphlet les essais les

les lois de la société; mais ceux qui voient le monde à travers une conscience unique pratiquent ce qu'on nomme le «réalisme subjectif» ou «réalisme de point de vue». En combattant les «notions périmées» (personnage, convention du récit, … ), les auteurs du «nouveau roman» ont milité pour un réalisme mieux compris. Aussi attaché soit-il à rendre compte du réel, l'écrivaine y parvient à l'aide de son imagination, qui lui permet de transposer dans la totalité d'une forme littéraire la totalité recomposée