Complicité Lecteur Auteur

|personnage | | |espace / décor | | |temps | |La narration: |narrateur / auteur | | |focalisation | | |voix narrative | | |modalisation | |

Manon DELAFOSSE1ère 5 DM Facultatif de Français Le XIXe siècle est marqué par de nombreux changements de régimes politiques. Cette forte instabilité politique donne lieu à une jeunesse désillusionnée, cette époque est appelée le « Mal du siècle ». En effet elle révèle d’une profonde inquiétude de la jeunesse face à une société en crise. Dans cette deuxième moitié du XIX e siècle nait alors un nouveau mouvement littéraire appelé le symbolisme,

voit toujours abondante et nourricière. Il jouit de cette simplicité avec autant de sobriété. 2. L'écriture autobiographique devient alors le lieu d'émergence de la cs sociale et de la cs de soi. D'où le florilège de détails, qui peuvent lasser le lecteur, dans ces 4 livres où sont exposés l'enfance et la jeunesse des premières sensations si fortes qu'obligatoirement intactes sous les couches du souvenir. Le bnhr de Rousseau réside ds sorte de système de valeur & ne semble pouvoir s'exprimer que ds

pronom « vous », anaphore. LB accuse en effet le peuple d’accepter son asservissement. - LB dit « je » au moment où le ton s’apaise, au moment où LB invite ses lecteurs à réfléchir à la façon d’en finir avec la tyrannie (impératif « cherchons » ) 2) Un discours très rhétorique, très éloquent pour entraîner l’adhésion des lecteurs La Boétie est marqué par la rhétorique de Cicéron et s’en inspire car elle donne du souffle et de l’efficacité à l’argumentation le souffle des phrases amples appelées

critiques à un tiers ou en les dissimulant dans des propos codés ou ironiques comme Voltaire. Le grand mérite de cette forme d’argumentation est d’aiguiser la curiosité du lecteur, dont la complicité est requise pour deviner les intentions de l’auteur. « Les meilleurs livres sont ceux qui font faire la moitié du chemin au lecteur » ou « Le moyen d’ennuyer est de vouloir tout dire » a prévenu Voltaire. [pic] 4.2.1 L’apologue ou la fable L’apologue (du grec apologos, « récit ») est un court

discret, il fût longtemps mal compris. Avant d’être un dramaturge, il était journaliste et romancier. Il écrivit pour les Comédiens italiens, entre 1722 et 1740, des comédies sur mesure. Il est, après Molière, Racine, Corneille et Musset le cinquième auteur le plus joué par la Comédie française. Les Fausses Confidences est une comédie en trois actes et en prose de Marivaux jouée pour la première fois le 16 mars 1737 par les Comédiens italiens. Avec cette pièce, Marivaux met en scène le triomphe de l'amour

affrontements sociaux. Le réalisme s'oppose au romantisme ainsi qu'au classicisme. Des auteurs célèbres, comme Balzac, Flaubert, Zola, Maupassant, Champfleury, et notamment Stendhal, adoptent ce type d'écriture. Les caractéristiques du réalisme sont de parler à la 3eme personne du singulier, d'adopter un point de vu omniscient, d'intervenir dans le récit pour installer une certaine complicité avec le lecteur, de donner une description symbolique du paysage, et de fournir une pièce d'identité au

Il  correspond  à  l’espace  de  jeu  réservé  aux  acteurs  pour  la  représentation.  Premièrement  le  choix  du  Théâtre  et  de  sa salle modifie la manière dont le public peut percevoir  la  pièce.  Une  petite  salle  peut  favorise  la  complicité  acteur  spectateur,  alors  qu’une  salle  imposante révèle la force de la représentation.    Aussi,  le  choix  du  décor  et  des  accessoires  n’est  pas  négligeable.  Le  décor  forme  le  cadre  de  la  représentation  et  l’espace  dans lequel les acteurs seront plongés

ensuite ce modèle à une forme particulière d'intertextualité négligée tant par les théories de la réception que par l'ensemble des approches théoriques, c'est-à-dire l'intratextualité, qui consiste, pour un lecteur, à établir une lecture paradigmatique entre au moins deux textes signés par un même auteur. Les émotions suscitées par une telle lecture ainsi que les signes textuels sur lesquels elle prend appui sont relevés et mis en relation avec ceux associés à une lecture intertextuelle entre des textes

qui commençaient à s’émanciper de la pensée unique du Moyen-âge, les écrivains humanistes n’auront de cesse de porter un jugement critique sur leur époque en conseillant les puissants. Le Prince, écrit en 1513, est nourri par ces deux sources, son auteur étant convaincu de l’utilité de son œuvre. Le texte choisi est extrait du chapitre 17 intitulé « Des cruautés et de la clémence, et s’il vaut mieux être aimé que craint ». Le traitement que Machiavel fait de cette question, provocatrice quant à sa