Complicité Lecteur Auteur

Spleen de Paris, écrit entre 1855 et 1864 et publié à titre posthume en 1869. Le poème "Le joujou du pauvre, extrait de ce même recueil, confronte alors deux enfants appartenant à des classes sociales bien distinctes, espérant ainsi sensibiliser le lecteur à ces inégalités. (Ensuite j'annonce ma problématique, soit mon hypothèse de lecture, ainsi que mon plan). Il s'agira donc de comprendre  comment ce poème en prose qui présente la peinture contrastée de ces deux enfants, se présente finalement comme

c’est peut-être ce qui vous reste quand on est chassé du domaine de la parole » disait-il. C’est enfin au travers d’eux qu’il commence à dévoiler une personnalité infiniment riche et complexe, celle d’un homme et d’un gamin alors âgé de 32 ans. UN AUTEUR DONT L’INDECENCE FASCINE Publié en 1942, Le Condamné à mort est l’acte de naissance de ce poète à son écriture. C’est à la même époque, à Fresnes où il est enfermé pour vol, qu'il rédige Marche funèbre puis plus tard Chant d’amour. Cocteau écrit alors

mouvement artistique et littéraire. Ce mouvement se donna pour mission d’exprimer le réel le plus fidèlement possible sans l’idéaliser à travers l’art et la littérature. Il s’agissait pour les auteurs réalistes de décrire la réalité de leur temps et le quotidien sous toutes ses formes. L’objectif de ses auteurs est de rejeter toutes les formes de l’idéalisation de la réalité, mais de dépeindre de manière objective tous les aspects de la société contemporaine. Champfleury, en 1857, dans un ouvrage intitulé

Et je trouve que le message que LF cherche à délivrer se transmet bien au lecteur puisque le fabuliste raconte une histoire qui passe par les sentiments. Mais si cela est rendu possible c’est avant tout grâce à la qualité rédactionnelle de La Fontaine qui est exceptionnelle et sa maîtrise est de fait presque inégalée. Le recueil

second temps, nous verrons qu’il n’a pas toujours de bonnes intentions. Pour commencer, le valet est souvent là pour aider. En effet, ses motivations sont d’ordinaire altruistes. Aussi, il représente généralement l’auteur et aide ainsi le lecteur ou le spectateur à comprendre les enjeux de la pièce. D’abord, Dubois est altruiste et agit pour aider son maître. Durant la pièce et grâce à ses stratagèmes, il va offrir ses services à Dorante, son ancien maître. Dubois est reconnaissant

GEVAUDAN, Christian LANDAIS et Daniel SAUVAGET LE CINEMA DANS LA CITE Kiron- Edition du Félin, 2001, 240 pages Cet ouvrage a été rédigé à la suite d’un colloque organisé à la Cinémathèque française en Novembre 2000. C’est un recueil de différents auteurs (sociologues, urbanistes, historiens, économistes) sur les relations de la salle de cinéma à la ville. Ils donnent ensemble un bilan des politiques publiques en France et ouvrent le débat sur la manière de repenser l’espace des salles de cinéma dans

réservé, mais avait toutefois une envie monumentale de réussir dans la vie et de se faire connaître auprès des dames. François mena une longue vie de débauche jusqu’à son premier emploi dans un journal politique. Son travail consistait à informer les lecteurs des faits marquants de la politique du pays et de l’Europe. Il se rendait parfois à des rendez-vous avec certains chefs d’Etat ou à des manifestations politique. Pendant son temps libre, il se consacrait à sa passion : l’écriture de romans, de nouvelles

conséquence, il n’échappe pas à tout un ensemble d’influences qui s’exercent sur lui souvent à son insu » [2]. Ainsi, un regard sur les ouvrages composant notre corpus laisse voir clairement des caractéristiques qui ne peuvent manquer de rappeler au lecteur averti les œuvres de Nathalie Sarraute (Tropisme [3]), d’Alain Robbes Grillet (Voyeur, Les Gommes...) [4] , c’est-à-dire ceux qui, ajoutés à M. Butor, constituent les plus célèbres initiateurs du « nouveau roman » français. Plusieurs critiques sont

Chrétien de Troyes servent d’exemples pour l’amour, la vie en société et la guerre. - Mais au XVIIe, avec Don Quichotte, Cervantès invente le roman moderne : il refuse l’idéalisation et confronte les fausses représentations (du lecteur ou du héros) à la réalité. Le lecteur découvre alors des individus mis à nu dans leurs conditions, leurs mensonges. Le roman picaresque, en premier, montre le monde à travers le regard du picaro, type du marginal voyageant à l’aventure. Son point de vue contredit discours

La Littérature du silence : Mallarmé, Camus et Beckett Trois auteurs, et non des moindres, font l’objet de cette étude : Mallarmé, Camus et Beckett. Trois écrivains dont le rapport avec les mots fut très étroit, parfois difficile. Ainsi Beckett, lors d’une rencontre avec Cioran, avoua « une grande lassitude, qu’il ne pouvait plus rien tirer des mots » (Exercices d’admiration). On peut en dire autant de Mallarmé « écrivain rongé par les affres de l’écriture et achoppant sur chaque mot ». Alain Chestier