Comparaison Socrate Platon

hommes qui ont servy de lumiere à l'Univers. Rengeons ces glorieux tesmoins en teste, et reservons Dieu, puis les Saincts Peres de son Eglise, au fonds, comme le tresor. Platon à qui nul n'a debattu le tiltre de divin, et consequemment Socrates son interprete et Protecole en ses Escripts; (s'il n'est là mesme celuy de Socrates, son plus divin Precepteur ) leur assignent mesmes droicts, facultez et functions, en leurs Republiques et par tout ailleurs. Les maintiennent, en outre , avoir surpassé maintefois

grande aptitude "naturelle" à accomplir telle ou telle chose. De même, les différentes cultures ne sont pas inégales mais, étant différentes, elles sont précisément incomparable. La différence n'est précisément pas compréhensible à partir d'une comparaison. Etre différent, c'est précisément ne rien avoir de différent avec ce dont on diffère. Autrement dit, le propre de la différence, c'est de ne pas pouvoir être qualifiée, de ne pas pouvoir recevoir un attribut. De ce point de vue, il faut bien comprendre

v10 métaphore de répétition v11 , comparaison du gavage des oies Il veut que on apprenne les choses de la vie à l'enfant plutot que de le gaver Référence à des grecs ( SOCRATE) v17 Champ lexical du savoir ( juger , savoir , apprendre, comprendre ) Critique de l'enseignement pour l'enseignement v31 substance , v33 métaphore du savoir , il faut que l'eleve comprenne ce qu'il apprend v34 , «  sa vie » lui apprend des choses Comparaison de l'apprentissage au systeme digestif

illusions de la conscience. Est-il alors plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même ? Pour répondre à cette question, il faut au préalable étudier la possibilité même de connaître un individu. Mais entre autrui et soi-même la comparaison semble faussée dans la mesure où, dans un cas un sujet en aborde un autre comme un objet vu de l’extérieur, et dans l’autre il s’agit d’une réflexion dans laquelle le sujet est en même temps objet. Mais un sujet peut-il se laisser déterminer, se

conscience morale n’est cependant pas innée à l’homme, elle diffère selon les cultures et les sociétés, mais elle engendre toujours, quelques soit ses modalités, des troubles moraux liés au bien et au mal. “ Nul n’est méchant volontairement”, c’est ce que Platon dit dans Protagoras, et cela explique bien le rôle que tiens la conscience morale, elle permet, après action ou après pensées, d’acquérir un jugement sur ce qui a été fait. La prise de conscience d’un mal fait peut ainsi être la cause de désagrément

jours, après disner et souper, y passoit temps aussi plaisantement qu’il souloit en dez ou es chartes. A tant, sceut d’icelle et theoricque, et practicque, si bien que Tunstal, Angloys, qui en avoit amplement escript, confessa que vrayement, en comparaison de luy, il n’y entendoit que le hault alemant. Et non seulement d’icelle, mais des aultres sciences mathematicques, comme geometrie, astronomie et musicque ; car, attendens la concoction et digestion de son past, ilz faisoient Rabelais

exagération dans le comparaisons. Ainsi, il compare Alexandre le grand au rhéteur Isocrate. 4. 3 Autre exemple : Il parle de tous les dieux qui, d'après lui, ont puni les athéniens qui furent fait prisonniers pendant la guerre de Sicile. 4. 4 Socrate et Platon s'oublient même eux aussi de temps en temps. Ils laissent ainsi s'échapper de leurs récits des choses basses et puériles. 4. 5 Timée revendique les froides pensées de Xénophon. Il n'est vraiment pas un bon orateur. 4. 6 Platon parle de façon

prendre une décision. On mobilise des arguments contradictoires afin d’arrêter son choix. Cela peut être un discours intérieur ou à plusieurs. II – Les procédés de l’argumentation - Les figures d'animation, d'analogie, de substitutions (la comparaison, la métaphore et la métonymie, la personnification, l'antonomase et la prosopopée). - Les figures d'insistance (l'hyperbole, l'anaphore, le pléonasme, l'inversion, la gradation et l'apostrophe). - Les figures d'opposition (l'antithèse et l'oxymore)

au sens où nous entendons ces termes aujourd’hui, sont des inventions récentes. La signification moderne du terme art date de la fin du XVIIIème avec l’identification des arts et des beaux-arts. Auparavant, le terme d’art désignait, et ce depuis Platon, tout procédé de fabrication obéissant à des règles et aboutissant à la production d’objets. Mais si l'objet technique vise l'utile et satisfait clairement un besoin et n'est donc à ce titre l'oeuvre d'art en revanche n'a pas de fonction mais témoigne

politique ». Plus que le territoire ou la population, c’est bien la volonté de se placer sous une loi commune afin de vivre ensemble, en communauté, qui définit la cité grecque. Pour les grecs, il n’y a pas de vie sociale possible en dehors de la cité. Pour Platon, le nombre idéal de citoyens est de 5040. Hippodame est le premier urbaniste de l’histoire car c’est le premier inventeur des « rues », pour lui, l’idéal de citoyens est de 10000 alors qu’en réalité, à Athènes, il y avait 60000 citoyens Hommes adultes