Comparaison Sartre Nietzsche

......................................................................21 A. Tu dois donc tu peux (Kant).....................................................................................................21 B. L’homme est condamné à être libre (Sartre)...........................................................................21 C. La liberté : un mythe nécessaire ?............................................................................................22 Conclusion......................

demi-pensionnaire au lycée Bugeaud (désormais lycée Émir Abd-el-Kader). « J'avais honte de ma pauvreté et de ma famille (...) Auparavant, tout le monde était comme moi et la pauvreté me paraissait l'air même de ce monde. Au lycée, je connus la comparaison », se souviendra-t-il. Il commence à cette époque à pratiquer le football et se fait une réputation de gardien de but. Mais, à la suite de ses crachements de sang, les médecins diagnostiquent en 1930 une tuberculose et il doit faire un bref séjour

révolution semble se produire a l''époque moderne, grace a Descartes et a son ''cogito'' , l'homme devient pour la premiere dois transparent a lui meme . Mais le soupcon et la desillusion succedent a l'optimisme Cartésien. Parmis les premiers , Nietzsche , s'interroge sur le caractere reel ou fictif de la decouverte de Descarte ''Le sujet c'est une fiction''. Quant a Freud , il détrone deux fois la conscience : une fois en montrant que ''le moi n'est pas maitre en sa propre maison'' et une deuxieme

lignes entre les grandes étapes (introduction, première partie, deuxième partie, troisième partie, conclusion). Souligner les titres des œuvres citées, ne pas les mettre entre guillemets. Bien orthographier les noms des philosophes : attention à Nietzsche, Schopenhauer, Heidegger, Leibniz… Développer au maximum le propos, rien ne doit être implicite, bien connu, entendu, il faut tout expliciter au maximum. On prendra soin de montrer au correcteur que l’on est en train de faire une démonstration

de la voûte céleste à l’occasion de laquelle il multiplie les procédés stylistiques. C’est d’abord une double évocation du thème de la lumière à l’aide d’une périphrase, où le soleil est désigné par l’expression cette étonnante lumière, puis une comparaison impressionnante : une lampe éternelle. Puis une gradation qui dépeint l’enchaînement sans fin des orbites décrites par les différents astres(trois niveaux de cercles :la Terre et le Soleil sont le premier tour par exemple) associé à la métaphore

de consistance que celles de la conception directe -> Hume compare l’esprit à un théâtre -> on sait que le théatre est un lieu qui ne correspond pas à la réalité où des personnages et lieux fictifs apparaissent -> l’esprit est une illusion La comparaison du théâtre ne doit cependant pas nous égarer -> le théâtre est localisable dans la ville -> lieu réel alors que l’esprit lui est radicalement lié à l’imagination -> la contradiction dans laquelle Hume est enfermé -> en remettant en cause le « je »

choisir, c’est une capacité à se déterminer : le libre-arbitre. -          Spinoza : le choix est une illusion dans la mesure où nos rasions d’agir sont elles-mêmes déterminées. La liberté est donc en sens [sens non-politique] une illusion. -          Sartre : le choix n’est pas une ‘option’ pour l’homme. La facticité du choix désigne une détermination de la condition de l’homme. Problèmes de la liberté- Faire preuve d’indifférence, est-ce exercer sa liberté ? [liberté et indifférence] Dans certains

et déterminisme 15 A. L’affirmation du libre arbitre 16 B. Le libre arbitre est une illusion 17 C. Liberté et déterminisme ne s’opposent pas 19 IV. Liberté et morale 21 A. Tu dois donc tu peux (Kant) 21 B. L’homme est condamné à être libre (Sartre) 21 C. La liberté : un mythe nécessaire ? 22 Conclusion 22 Annexe 23 Quelques idées supplémentaires 23 Quelques illustrations 26 Sujets de dissertation 27 Introduction La liberté… Quel joli mot ! La liberté est un idéal. En fait, nous

moi » (A. Khatibi « Pour une véritable pensée de la différence », entretien in Lamalif, n° 85, Rabat, 1977) à comprendre non seulement comme « l’enfant (…) qui n’est pas mort en moi » (M.T.p.16), mais aussi comme trace évidente des lectures de Sartre « l’enfant mélodieux mort en moi bien avant que me tranche la hache » (J.P.Sartre, Saint Genet comédien et martyr, Coll. NR.F, Éd. Gallimard, 1952, p. 9.) et de Baudelaire « Mais le génie n’est que l’enfance retrouvée à volonté » (Baudelaire,

l’origine de la conscience tragique, il y a donc la dissociation des plans humain et divin – dissociation effrayante (Pascal : « le silence éternel de ces espaces infinis m’effraye ») qui évoque la fameuse « mort de Dieu ». Cette formule est attribuée à Nietzsche, mais on la trouve déjà chez Hegel : la religion de l’époque moderne, dit-il, c’est « le sentiment que Dieu est mort », et de citer Pascal justement : « la nature est telle qu’elle marque partout un Dieu perdu et dans l’homme et hors de l’homme »4