Comparaison Platon Descartes

difficulté à résoudre pour la philosophie et c’est Descartes qui s’y attelle en déterminant ce que nous pouvons savoir avec certitude. Pour le philosophe, même si nous ne pouvons pas croire tout ce que nous lisons ou ce que nous disent nos sens, nous pouvons nous fier à notre raison si nous prenons le temps, si nous nous arrêtons pour penser. Nous pouvons compter sur la raison pour nous dire ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas. Ainsi Descartes affirme que le fait seul que l’Homme puisse

prend le contre-pied de la vérité. Rien ne s'est formé dans le corps à notre usage; mais ce qui s'estformé on en use.''2 B) Un cosmos finalisé (Platon et Aristote) Mais les deux plus grands philosophes de l'Antiquité, Platon et Aristote, ont dédaigné ce genre de constructions d'où toute intelligence organisatrice du monde serait absente. Platon raconte dans le Phédon comment Socrate avait été d'abord enthousiasmé par ce qu'il avait entendu dire de la philosophie d'Anaxagore - un autre grand

c’est de prendre deux élements vrais et de les confondre, de considérer la définition de l’un comme celle de l’autres par exemple. Il n’est donc pas encore strictement déduit du vrai, il est simplement une erreur du vrai. C’est une idée que prend Platon dans Théétète, où justement il tente de définir le faux, et pour cela il prend l’exemple d’un bloc de cire, qui représenterait notre cerveau, notre entendement, il est donc logiquement différent pour chacun, avec des tailles ou des textures différentes

réalité ainsi que de porter des jugements critiques sur ses actions. Ce pouvoir de la raison qui donne à l’être humain son autonomie a été affirmé depuis l’antiquité grecque par des philosophes comme Platon et Aristote, et a été repris par la tradition philosophique du 17e siècle. Quand Descartes affirme que l’être humain est ‘’maître et possesseur de la nature’’, il illustre bien la supériorité de l’être humain, grâce à sa raison, sur tous les autres êtres vivants. Même si nous partageons avec

PHILOSOPHIE Bac2 – 2013/2014 © Alexandra Crismer De l'histoire de la philosophie : la Grèce. Chapitre 1 : Socrate, Platon et Aristote Introduction Nous mène en Grèce Ancienne, le lieu de tous les commencements. Un idéal démocratique s'est formé petit à petit en Grèce, on est passé d'une civilisation tyrannique à des assemblées du peuple (ecclesia) dans lesquelles le pouvoir est réparti équitablement => Apparition de la démocratie. Pour le rapport au savoir, se passa un miracle similaire. Qui savait

Aristote invite à une remise en question, à réexaminer par soi-même le savoir, ce quii a des conséquences majeures : on s’aperçoit d’erreurs , il faut donc refonder ces savoirs : pour entre en contradiction avec Aristote, on se sert de la philosophie de Platon . Deuxième aspect : l’élargissement des horizons lié aux découvertes, le fait d’avoir un rapport plus direct aux ouvrages fait que de plus en plus pour parler d’une chose, il faut soit être témoin direct, soit avoir un véritable rapport direct et

philosophie au sein de la génération suivante s’attachent à cette question. Descartes consacre trois chapitres à la place occupée par le rire au sein des émotions dans son dernier ouvrage, Les passions de l’âme de 1648. Hobbes soulève un grand nombre des mêmes questions dans The Elements of Law et de nouveau dans Léviathan. Spinoza défend la valeur du rire dans le Livre IV de L’éthique. Et nombre des disciples avoués de Descartes expriment un intérêt particulier pour ce phénomène, notamment Henry More

sont des jugements téméraires, et toutes nos vérités, sans exception, sont des erreurs redressées. On comprend que le liseur ne regarde pas à une lettre, et que, par un fort préjugé, il croit toujours l'avoir lue, même quand il n'a pas pu la lire. Descartes disait bien que c'est notre amour de la vérité qui nous trompe principalement, par cette précipitation, par cet élan, par ce mépris des détails, qui est la grandeur même. Cette vue est elle-même généreuse ; elle va à pardonner l'erreur , et il est

Gorgias de Platon Commentaire d’un dialogue entre Socrate et Calliclès (492a – 493c) Comment se comporter face à ses passions pour trouver le bonheur? Telle est la question qu’une partie du dialogue entre Socrate et Calliclès dans le Gorgias de Platon cherche à résoudre après que Calliclès ait fait l’éloge de l’homme fort et l’ait présenté comme celui capable, à l’aide de son intelligence et de son courage, d’assouvir ses passions. Au cours de l’échange, la thèse qu’expose Calliclès est réfutée

emprunté à la Praxis Médica, ouvrage paru en 1696, écrit par Baglivi (1668-1706), médecin italien de l'école des iatromécaniciens. Cette école des iatromécaniciens fondée par Borelli a subi, semble-t-il, de façon incontestable, l'influence de Descartes, bien qu'en Italie on la rattache plus volontiers à Galilée, pour des raisons de prestige national (4). Ce texte est intéressant parce qu'il met sur le même plan, comme principes d'explication, le coin, la corde, le ressort. Il est clair pourtant