Comparaison Du Régimes Matrimoniaux

definit pas la fml mais envisage des liens familiaux ,ces liens on les envisage a partir de la personne donc on situe une personne avant d envisager la famille ,ds les société traditionnelle la famille etait consideré coe une entité ex: sous l ancien regime c'est le père qui engagé la famille et la fin de puissance maritale a pris fin avec la loi du 18 fev 1938. qd a la puissance paternelle il a fallu attendre la loi du 4 juin 1970 pr que soit supprimé la notion du chef de famille . des liens familiaux

avec le couple et la parenté avec la filiation. Ces deux caractéristiques ont l'une et l'autre évoluées dans le temps, dans leur présentation et dans leur appréhension juridique. Dans les grandes évolutions juridiques, jusqu'à la fin de l'ancien régime, la famille obéissait à un modèle patriarcal autour du pater familias. (Issue du droit romain). Pater familias : dirige la famille. La femme elle, n'a des droit que très réduis, elle n'a pas d'autorité. Cette famille était fondée sur le mariage

la liberté individuelle et la sauvegarde de l’intérêt de l’enfant. On peut présenter la réforme en 3 périodes : - la refondation du droit de la famille (on parle de rénovation CARBONNIER). Exemple : loi du 13 juillet 1965 qui a réformé les régimes matrimoniaux (ce sont toutes les règles qui organisent les rapports entre les époux), on a voulu reconnaître un certain pouvoir à la femme mariée. Exemple : La loi du 3 janvier 1972 qui a complètement refondu le droit de 3 la filiation CAD le sort des

sanctionner l'abandon de domicile ? Il est directement encouragé par cette étrange interprétation des devoirs du mariage... Or, c'est l'un ou c'est l'autre. Mais pas les deux en même temps ! En second lieu, une injustice terrible se profile dans les régimes de communauté : celui qui s'en va maîtrise non seulement la date de fin de l'enrichissement commun, mais il va aussi rendre débiteur son infortuné conjoint au titre de l'indivision post-communautaire. La loi ne l'ignore pas totalement, puisque l'article

au contrat qui peut être résilié par la volonté des parties (locataire qui veut partir), le divorce ne peut résulter que d’un jugement et même si c’est un divorce par consentement mutuel. Le mariage est aussi une institution c’est-à-dire un statut/régime qui dépasse les volontés individuelles. En décidant de s’unir par le mariage, les époux vont adhérer à un statut légal impératif qui va régir aussi bien la formation du mariage que ses effets. Chap 1 : La formation du mariage La formation du mariage

comme étant la rupture du lien conjugal. Il s'agit donc de mettre fin à toutes les obligations du mariage. Ainsi, les époux redeviendront deux « étrangers », l'un par rapport à l'autre. Pour ce faire, il y aura également lieu de liquider leur régime matrimonial (notamment par la répartition de leurs biens). Ce paper à été rédigé dans le cadre du cours de DR006 « Elément du Droit Privé » donné par le professeur De Decker. Il fait une analyse complète du divorce ainsi que ces différentes conséquences

connaître l’origines des règles de droit, et éventuellement à établir une loi générale d’évolution des institutions juridiques, de fournir des éléments de réflexion inépuisables. Le droit comparé : études des systèmes juridiques étrangers, en comparaison au nôtre (surtout à l’époque de l’Europe) ; sert parfois à “ inspirer ” le législateur (cf. Médiateur français et ombudsman suédois). Ce n’est pas du droit international. La philosophie du droit : pour rattacher le droit au reste de l’univers

modes de vie. La famille envisage des liens familiaux, envisagés à partir de la personne. On situe une personne avant d’envisager la famille. Dans les sociétés traditionnelle la famille était considérée comme une entité avec par exemple, sous l’ancien régime, c’est le père qui engageait la famille. La fin de la puissance maritale a pris fin avec une loi du 18 février 1938. Quand à la puissance paternelle, il a fallu attendre la loi du 4 juin 1970 pour que soit supprimée la notion de chef de famille.

pendant le fonctionnement du régime ». En réalité, une récompense peut se définir comme un remboursement entre la communauté et une masse de biens propres. La théorie des récompenses ne s’applique donc qu’aux transferts de valeurs intervenus pendant le fonctionnement du régime c'est-à-dire pendant le mariage ; autrement dit, l’origine de la récompense se situe pendant le fonctionnement du régime. Dès la dissolution de la communauté, l’application du Droit des régimes matrimoniaux cesse et laisse place

des titulaires de droits subjectifs, pris dans leur individualité. Il existe deux catégories de personnes juridiques au regard du droit : les personnes physiques (Chapitre I) et les personnes morales (Chapitre II). Vu les différences de nature et de régime qui les séparent, nous consacrerons des développements distincts à chacune d'elles. CHAPITRE I - Les personnes physiques La personne physique, c'est l'être humain, la personne humaine, l'Homme, l'individu tel que