Comparaison Descartes Nietzsche

envers la réflexion théologique, grâce à ses nombreux contacts interreligieux. Après sa mort, le spinozisme, condamné en tant que doctrine athée, eut une influence durable. Gilles Deleuze le surnommait le « Prince des philosophes »1, tandis que Nietzsche le qualifiait de « précurseur », notamment en raison de son refus de la téléologie John Locke John Locke (Wrington, Somerset, 29 août 1632 - Oates, Essex, 28 octobre 1704) était un philosophe anglais, l'un des principaux précurseurs des Lumières

différence radicale entre l'action humaine et le comportement animal : l'homme est capable de penser à ce qu'il fait. Il possède la raison. Au contraire l'animal agit sans réflexion. C'est Descartes qui permet de mieux saisir la différence entre action humaine et comportement animal : l'animal, selon Descartes, n'agit pas. Il fonctionne. Diriez-vous d'une machine qu'elle se comporte de telle ou telle manière ? Imaginons un robot qui fixe les portières à la carlingue dans une usine d'automobile :

. − [La pensée comme faculté] A. − Principe de la vie psychique. 1. HIST. DE LA PHILOS. [Chez Descartes et ses continuateurs] Activité psychique dans son ensemble. Aussi bien, les exemples de pensée que Descartes aime à rappeler sont-ils tous des actes. Concevoir, affirmer, vouloir, imaginer, sentir, ce sont là des opérations comme il le note dans l'Exposé «géométrique», aussitôt après la définition de la pensée (R. Verneaux, Les Sources cartésiennes et kantiennes de l'idéalisme fr., Paris, Beauchesne

enthousiastes convaincus d’avoir découvert l’unique voie du paradis, ne se sentent pas coupable de leur soutien au régime. Ils se cachent derrière leur ignorance. Œdipe en revanche, également ignorant, se crevait les yeux et partait de Thèbe. Cette comparaison sera publiée dans un magazine et poursuivra Tomas jusqu’au moment où il déménagera à la campagne. 8 Décrivez le rapport entre l’auteur et les personnages du livre. Un des caractéristiques typiques des romans de Kundera est sa déconstruction

entourée de sommeil…". "To be or not to be…" Calderón de la Barca : « Qu'est-ce que la vie ? Une folie. Une illusion, une ombre, une fiction et le bien suprême a peu de valeur car la vie n'est qu'un rêve…» (pièce "La vie est un songe"). Le thème de la comparaison entre vie et rêve était déjà dans le conte arabe des « Mille et une nuits ». Mais aussi bien avant, en Inde et en Chine, par exemple un vieux sage chinois Tchouang-tseu (env. 350 av. J.C.) : « Un jour j'ai rêvé que j'étais un papillon, et à présent

manquer de se présenter avec une foule d’autres à partir du moment où l’on prétend se maintenir dans l’absurde, négligeant son vrai caractère qui est d’être un passage vécu, un point de départ, l’équivalent, en existence, du doute méthodique de Descartes. L’absurde en lui-même est contradiction. Il l’est dans son contenu puisqu’il exclut les jugements de valeur en voulant maintenir la vie, alors que vivre est en soi un jugement de valeur. Respirer, c’est juger. Il est sûrement faux de dire que

Rimbaud et Verlaine par sa parfaite maitrise du latin et du grec et remporte des tas de prix en versions, thèmes latins et en concours de versification latine. Il a reçu une culture classique très importante. A l’époque, années 40, on redécouvre Descartes dans l’enseignement : renoue avec le rationalisme : philosophie importante. Ayant passé son bac et eut des fréquentations qui ne plaisent pas à sa famille, sa mère prend la décision de l’envoyer aux indes et de la mettre sous curatelle de son notaire

demanderait d’adopter le point de vue de l’ensemble ou du tout. Garder son identité, « persévérer dans son être » (Spinoza). Les pensées de la Vie : faut-il vraiment distinguer les philosophies de la Vision (Platon, Descartes) des philosophies de la Vie (Boehme, Spinoza, Leibniz, Freud, Nietzsche) ? La Vie, chez Platon, n’est-elle pas retrouvée dans la contemplation ? De la même façon, la division tripartite classique entre matérialisme -philosophie de la seule Matière-, vitalisme -philosophie de la seule

francophones et théorie postcoloniale, PUF 1999. 7) Marcel Détienne, Comparer l’incomparable, Seuil, 2000. 8) Michel Espagne, Le paradigme de l’étranger. Les chaires de littérature étrangère au XIXesiècle, Editions du Cerf, 1993. 9) Étiemble, Comparaison n'est pas raison, Gallimard, « Les Essais », 1963. 10) Étiemble, Ouverture(s) sur un comparatisme planétaire, Christian Bourgois, 1988 11) Fin d’un millénaire. Rayonnement de la littérature comparée, sous la dir. de Pascal Dethurens et Olivier-Henri

premier groupe : philosophie comme réflexion critique : Socrate | Deuxième : philosophie comme art de vivre : Socrate ; stoïciens, épicuriens, sceptiques grecs | Troisième : philosophie comme métaphysique (savoir absolu) : philosophes du 17ème (Descartes, Leibniz, Spinoza) ; pré-socratiques | Nous cherchons ce qui peut bien être commun à ces types de discours ou plus généralement d'activité. Ce qui présuppose, bien entendu, qu'il y a des ou un point commun à ceux-ci, sans quoi, nous n'aurions aucune