Commentaire De Texte Hannah Arendt

exigences reliées au travail intellectuel. Il a donc été revu et enrichi de nouvelles rubriques pour l’adapter aux besoins actuels. Comme son nom l'indique, ce document vous servira de guide dans la réalisation d’un certain nombre de tâches. Lire un texte, bien en comprendre la signification et la portée, rédiger un travail de recherche documentaire, etc., ne sont pas des tâches que l’on maîtrise spontanément; il faut en faire l’apprentissage. Il en est de même pour la prise de notes, l’exposé oral

Commentaire : La glorification du fascisme italienHerman DE VRIES DE HEEKELINGEN, Le fascisme et ses résultats, Paris, Social Éditions, 1928, pp. 7-12 « Le fascisme est une chose telle que lorsqu'elle imprègne l'âme elle ne la quitte jamais. » C'est à la suite de cette phrase, prononcée par Mussolini dans un discours le 5 octobre 1926, que commence l'introduction de l'ouvrage Le fascisme et ses résultats, qui constitue notre extrait. Il s'agit d'un ouvrage, publié et écrit en français en 1928 qui

expression des idées et de l’esprit 1 C. Le bien 1 1. L’art au service de la libération suprême (Schopenhauer) 1 2. L’art au service de la vie (Nietzsche) 1 3. L’art au service du bien (Tolstoï) 1 4. Le goût comme faculté éthique et politique (Kant, Arendt) 2 5. L’art au service du politique (Platon, totalitarisme, art engagé) 2 6. Art et distinction sociale (Bourdieu) 2 Annexe 2 Résumé 2 La question de l’imitation de la nature 2 Toute une partie de l’art imite la nature (Arasse) 2 L’art ne vise pas

d'obéissance d'un individu devant une autorité qu'il juge légitime et à analyser le processus de soumission à l'autorité, notamment quand elle induit des actions qui posent des problèmes de conscience au sujet. Les résultats ont suscité beaucoup de commentaires dans l’opinion publique, mais la méthode utilisée a fait naître critiques et controverses chez les psychologues et les philosophes des sciences. L'objectif réel de l'expérience est de mesurer le niveau d'obéissance à un ordre même contraire

1993, p. 2. 3. Philosophie du droit, vol. 1 : Définitions et fins du droit, 3e éd., Dalloz, Paris 1982, p. 131. 4. « Droits de l’homme, une généalogique complexe », in Projet, Paris, septembre-octobre 1988, p. 53. 5. « L’empire de la morale », in Commentaire, Paris, automne 2001, p. 503. 6. La formation de la pensée juridique moderne, Montchrétien, Paris 1975, p. 663. 7. Le Léviathan, Sirey, Paris, 1971, p. 128. 8. De cive, Sirey, Paris 1981, p. 91. 9. Le Léviathan, op. cit., p. 48. 10. Les sources

Introduction à la théorie politique 3 Philosophes étudiés Marx Arendt Michel Foucault 1926-1984 Ce qui les relie: ces 3 philosophe se saisissent d'un constat → la domination existe, elle est criminelle et meurtrière. 3 philososphe animé par cette sensibilité particulière. On ne doit pas s'en accomoder, considérer que c'est inévitable, inhabiuel. Au point de départ de leur réflexion il y a une nécessité de proposer une alternative, de s'affranchir, de s'émanciper. Selon ces philosophe, si

ces formes de triangles peuvent se réduire ou se ramener. Ce sont les mathématiques qui repèrent ces propriétés essentielles. On n’est jamais sorti du noyau de la pensée de Platon. L’allégorie de la caverne se trouve dans la République qui est un texte politique, pour but de repérer les sens, qui permet à n’importe quelle constitution politique d’atteindre la perfection. Le noyau de théorie c’est l’idée qu’il y a des essences immuables, des normes éternelles de vérité qui peuvent et doivent être

le croire. Que serions-nous sans travail ? Nous avons besoin du travail pour bien d'autres raisons que des raisons économiques. Nous en avons besoin pour le plaisir même d'agir, pour satisfaire au besoin de se sentir utile, de se sentir quelqu'un, (texte) etc. Privée de travail, notre vie serait privée de sens. Le travail a un sens et il est pourvoyeur de sens, bien plus qu’il n’est peut-être une nécessité extérieure. En quel sens peut-on dire que le travail est une nécessité ? *  * * A. La tradition

Paraît-il plus facile d’expliquer un sonnet de Du Bellay que trois pages de Queneau, une courte scène de Racine qu’un long extrait de Beaumarchais ? Que les candidats se rassurent : l’examinateur a quelque conscience de la relative accessibilité de tel texte, de tel style, voire de tel auteur, et module ses critères d’évaluation en conséquence. Aucun piège n’est tendu : il suffit de bien lire, d’utiliser ses connaissances afin de discerner les enjeux de l’extrait proposé. Quels enjeux ? À titre d’exemple

n’est sans doute pas à négliger non plus, Jarry s’inscrivant certainement en faux contre les représentations (plus) traditionnellement enjolivées de l’auteur. LE DÉNOUEMENT 10. La dernière scène fait l’objet d’un commentaire composé. Nous y renvoyons donc pour son étude détaillée (texte 23 p. 118) et ne proposons ici que des éléments de réponse. La scène finale reprend un certain nombre de conventions habituelles : c’est tout le camp du Père Ubu qui est présent sur la scène. La tradition classique