Cithare

littérature grecque, une ode, du grec ωδή (chant), est un poème lyrique en strophes, accompagné de musique. D’une rare virtuosité, les Odes d’Horace étaient des chansons dont nous avons perdu la musique et qui étaient vraisemblablement accompagnées de la cithare. Quis multa gracilis te puer in rosa perfusus liquidis urget odoribus grato, Pyrrha, sub antro? cui flavam religas comam, simplex munditiis? Heu quotiens fidem 5 mutatosque deos flebit et aspera nigris aequora ventis emirabitur insolens, qui nunc

de la raison, des arts et plus précisément de la musique et de la poésie. Enfin, c’est un des dieux de la divination, consulté, entre autres, à Delphes, où il rendait ses oracles par la Pythie. Il est parfois suivi des muses, il joue aussi de la cithare, sorte de lyre. Lusignan et Biron : Nerval pensait descendre d’une ancienne famille du Périgord, apparentée aux Biron et Lusignan. Lusignan était un comte de Poitou qui devint roi de Chypre et qui, selon la légende épousa la fée Mélusine (abréviation

les musiciens sont au même titre que les acteurs. La musique est toujours accompagné d'un acteur contant des vers, celui-ci vous contera le prologue de la pièce ainsi que l' épilogue. La pantomime est très accompagnée musicalement: syrinx, lyre, cithare, trompette, orgue. La musique est exécutée par les tibicines (joueurs de flûte) sur deux flûtes (tibiae), l'une de ton grave, dextra, l'autre de son aigu, sarrana ou sur des flûtes doubles, graves et aiguës. Le ton est choisi en fonction du rôle,

Synthèse sur le théâtre DEFINITIONS Selon Aristote dans la Poétique : Sa définition des arts de l’imitation : « L'épopée, la tragédie, la comédie, le dithyrambe, la plupart des airs de flûte et de cithare, toutes ces espèces sont, en général, des imitations. Mais, dans ces imitations, il y a trois différences : les moyens avec lesquels on imite, l'objet qu'on imite, et la manière dont on imite. »chapitre 1 Dans sa la Poétique, Aristote distingue deux types de mimèsis : la simple imitation de

et coutumes à table (chant Deux), l’habillement (chant Trois) ; les soins et la médecine (chant Trois p. 63) ; les occupations des femmes (chant Trois p. 49, chant Vingt-Deux) ; les arts et les distractions (chant Neuf, Achille jouant de la cithare) ; l’architecture et le décor des palais (chant Six), les aspects de la ville (chant Vingt-Deux) etc. ; les gestes quotidiens (chant Huit, les soins aux chevaux p. 123) ; l’hospitalité (p. 195). « Hécube descendit alors dans la chambre aux

Orphée, selon les diverses légendes, régnait sur cette plaine et jusqu'en Macédoine. Jeune homme à la beauté sans égale, il use, comme Apollon, de ses dons de musicien et de chanteur pour convaincre et charmer. Il passe pour être l'inventeur de la cithare et joue à la perfection de la lyre. Quand il en jouait dans les bois et chantait, les bêtes sauvages le suivaient, les branches des arbres s'inclinaient, tant étaient douces ses mélodies. Orphée intervient comme personnage secondaire dans plusieurs

XIIIème et il désigne alors un ouvrage en vers. La Pléiade étend son sens : ouvrage en vers d’une certaine ampleur et solennité. En 1948, F. Ponge publie un ouvrage intitulé Proêmes : c’est un vieux mot qui désignait l’exorde, un prélude joué à la cithare pour commencer un récital ou le poème en l’honneur des dieux pour introduire à la solennité des fêtes ; mais comment ne pas entendre dans « proême » l’annonce d’une curieux métissage entre de la prose et du poème ? 4. Un poème peut être long

cette extrait à quel point l’amour de Pâris est superficielle, il n’y a que la beauté qui compte, il ne savait même pas à quel homme Hélène était mariée. «Tu aurais su alors de quel homme tu détiens ta florissante épouse. Rien ne te servira, ni ta cithare, ni les dons d’Aphrodite, ni ta chevelure, ni ta belle prestance, lorsque tu seras roulé dans la poussière.» (Iliade) Pour Priam, la cause est clairement divine, ce n’est pas la faute d’Hélène, elle fait partie des victimes. «Pour moi tu n’est pas

du genre poétique du tombeau et apparaissent comme un chant des ténèbres (« Ce livre doit être lu comme on lirait le livre d’un mort », rappelle la préface). [Une copie pourrait se référer au mythe d’Orphée et évoquer par exemple le poème « La Cithare » de Théodore de Banville ou encore « Le Poète dans ses révolutions », du recueil Odes et ballades, dans lequel la figure orphique est déjà convoquée par Victor Hugo comme une image du poète].  Du silence au chant : l’écriture des Contemplations

piano sur un poème d’amour. Pas encore très développée avant, on en ressent déjà la présence explicite avec un lexique musical dans l’ensemble du recueil : CHANSON des ingénues, CHANSON d’automne, aèdes, violons, luths, cithares, harpes, guitares, air, musique, chants, flûtes, rythme, mélodieux, chanter, voix, mandoline, refrain, ... La musique est aussi dans le style d’écriture de Verlaine : comme montré précédemment, il donne une importance particulière