Cithare

GRECQUE Difficultés  Rareté des sources musicales Manque, inexistence de témoignages écrits Absence d’instruments conservés Atouts : Très riche iconographie musicale : Joueuse d’aulos, femme qui joue de la musique ds un cadre très précis. Cithare joué par un citharède. Répertoire  Ecrits musicaux conservé sous forme de papyrus, du marbre. Alypius  Traité musicographique vers 360 avt notre ère Contexte philosophique  Homère (fin 7ème siècle avt JC) dit que la musique agit sur les passions

l'antiquité Homère Il apparaît comme un vieil aède barbu et chenu, un de ses poètes itinérants qui composaient puis récitaient ou chantaient leurs textes de ville en ville devant des auditoires attentifs, en s'accompagnant de la lyre ou de la cithare. La légende lui a aussi donné les traits d'un vieillard aveugle, les yeux fermés au monde extérieur, comme pour mieux voir dans son esprit les personnages et les tableaux nés de son imagination. Il était considéré comme un homme exceptionnel , inspiré

plusieurs par coeur. Elle se montre également concernée par ses plaidoiries, et lorsque Pline donne une lecture publique, elle fait discrètement remarquer sa présence derrière un rideau. Enfin, elle récite les vers de son mari en s'accompagnant à la cithare. Àcause de cette dévotion, Pline est certain que leur affection réciproque grandira de jour en jour. Le dernier commentaire de Pline sur les vertus de son épouse est significatif. Selon lui, Calpurnia ne porte pas attention à son âge et son apparence

plus fort que l'amour, même Vénus ne peut sauver Adonis. Comment l'amour est-il lié aux métamorphoses ? Il provoque une sorte de métamorphose : Phébus amoureux devient "oublieux de ce qu'il est lui-même", et se détourne de sa cithare. Vénus "n'a plus cure des rivages de Cythère" et se transforme en Diane chasseresse pour accompagner Adonis. Myrrha, fille sage et soumise, trouve dans le désir la force de commettre un crime qui lui fait horreur, et le sage Pygmalion, qui s'était

poème tragique, comme aussi la comédie, le dithyrambe et, pour la plus grande partie, le jeu de la flûte et le jeu de la cithare, sont tous d'une manière générale des imitations; […] tous réalisent l'imitation par le rythme, le langage et la mélodie, combinés ou non »31. Et après avoir cité des exemples où l'imitation n'est que mélodique et rythmique (le jeu de la flûte ou de la cithare), et où elle n'est même que rythmique (la danse), il note ceci: « Quant à l'art qui imite par le langage seul, prose

JAÏDI et ABDESSADEK CHAQQARA chantent Dieu, l’amour, la nature et l’ivresse mystique. La musique andalouse compte onze modes et ses instruments sont surtout à cordes frottées ou pincées : violon, alti, luths, rébab, le rébec médiéval européen ou cithare, en plus du tar et de la derbouka. Au plan historique, cette musique est passée du stade archaïque entre le IXème et XIIIème siècle à un art plus technique sous l’influence de Ziryab, musicien du IXème siècle originaire de BAGHDAD. Sous l’influence

élidé se trouve sans doute dans ce tableau qui a retenu l’attention de Lacan le 4 mars 1964, le tableau des Ambassadeurs d’Holbein. Il représente deux respectables ambassadeurs entourés de divers objets des sciences et des arts : planisphère, livres, cithare… Au-devant de la scène flotte un objet oblong non identifié. Il s’agit d’une anamorphose que l’on obtient par un procédé optique ingénieux. Celui-ci ne livre son énigme que lorsque l’on quitte le tableau et que l’on se retourne avant de sortir : il

Livre X (jusqu’au vers ) et XI (jusqu’au vers 66), traduction de Danièle Robert. Lyre / cithare / corde / jouer d’un instrument cava (v. 464) « lyre » neruis (livre X, v. 15 ; livre XI, v. 5) neruosque (livre X, v. 40) lyraeque (livre XI, v. 11) citharae (livre XI, v. 18) lyramque (livre XI, v. 50) « vibrer sa lyre » « frappant ses cordes » « vibrer sa lyre » « lyre » « cithare » « lyre » Chanter / chant / chants canebat (v. 466) cantu (v. 471) carmine (v. 510)

partir des chefs d'oeuvres du théâtre grec[14]. Il développe néanmoins une théorie générale de l'imitation qui peut s'appliquer à différents arts : « L'épopée, la poésie tragique, la comédie, la poésie dithyrambique, le jeu de la flûte, le jeu de la cithare, sont toutes, de manière générale, des imitations. » (ch. 1). Pour Aristote, les arts se différencient par les objets qu'ils imitent et par les moyens artistiques utilisés pour réaliser cette imitation. L'art imite la nature ou bien achève des choses

VIIIe, début VIIe av. JC, soit il y a 2800 ans) est un aède qui chantait les récits de la guerre de troie et les aventures du retour dʼUlysse dans son royaume dʼIthaque. Un aède était un poète musicien qui chante en sʼaccompagnant dʼune lyre ou dʼune cithare, comme il y en avait beaucoup à cette époque. Ils voyageaient et étaient reçus dans les grandes maisons et chez les rois. Homère fut si célèbre quʼon lʼimagina descendant dʼOrphée, le dieu qui charmait les bêtes sauvages et faisait danser les arbres