Cas Pratique Vice Du Consentement

qui s'imposeront aux partis, et qui auront pour objectifs de réduire le déséquilibre de départ. L'Etat intervient de plus en plus dans les échanges économiques par le biais de lois impératives §2 – les manifestations du déclin Dans certains cas le législateur intervient pour supprimé ou pour réduire la liberté contractuelle. Il crée parfois une obligation de conclure un contrat ( ex : contrat d'assurance pour les voitures ) ou pour supprimer la liberté de choisir son co contractant ( ex :

mariages (naturels) et ceux nés pendant le mariage (mais pas encore les adultérins) 1974 : Majorité a 18 ans 17 janvier 1975 : loi sur IVG == 1975 : Grande réforme sur le divorce jusque la divorce autorisé s’il y avait faute. Mnt on peut par consentement mutuel. 1975 : avant 1975 le choix de résidence appartient désormais au deux époux 25 juin 1982 : égalité entre filiation légitime et naturelle, montrer au juge que pdt un certains temps s’est comporté comme un père avec l’enfant ensemble de

pouvoir de contrainte mais si le frère ou la sœur verse spontanément une pension il ne pourra jamais les récupérer car on considèrera qu’elles étaient dues. Par ailleurs, dans certains cas, on peut aller plus loin et on peut considérer qu’il y a eu transformation de l’obligation naturelle en obligation civile. C’est le cas notamment pour des obligations naturelles assumées par un père biologique à l’égard de son enfant sans qu’il t ait eu établissement de la paternité sur le plan juridique. Cette obligation

ex. la vente, prêt, bail, mandat … - Les contrats innomés. Ils ne relèvent d’aucune réglementation spécifique. Cette distinction semble radicale. Mais elle est en grande partie artificielle. Bien des contrats innomés en effet sont connus de la pratique et de la jurisprudence au point de s’être vu attribués une dénomination particulière : contrat d’hôtellerie, de franchise, d’affacturage, de location de coffre-fort. Ils ne sont pas règlementés par la loi, mais peu à peu un régime plus ou moins précis

contractuelle : c’est la liberté de contracter ou de ne pas contracter ; liberté de choisir son co-contractant et de déterminer librement le contenu du contrat. Sur la forme du contrat, conséquence : le consensualisme signifie que l’échange des consentements suffit à la conclusion du contract * la force obligatoire du contrat : ce que les parties ont convenu s’impose à elles, la FOC concerne aussi le juge parce que dans son travail d’interprétation le juge va rechercher qu’elle a était la commune

juridique, selon cette hypothèse ? Ici, c’est bien un fait juridique car les conséquences juridiques sont déterminées par la loi et non par la volonté de la personne. Exemples : • Aller au cinéma acte juridique contrat (même si invitation, dans ce cas contrat à titre gratuit). • Passer devant le stade Malherbe, une porte est ouverte, il y a un match à l’intérieur, l’individu rentre, il n’y avait pas d’interdiction de rentrer. Est-on en présence d’un contrat ? Tous les spectateurs ont payé, sauf

Leroy, conseillère à la Cour d’Appel d’Aix en Provence, - Dominique Nolet, conseillère à la Cour d’Appel de Pau, - Martine Escolano, première vice-président du tribunal de grande instance de Nancy - Dominique Avon, conseillère à la Cour d’Appel de Montpellier, - Alfred Birgert, vice-président du tribunal de grande instance de Nancy, - Chantal Giraud, vice-présidente du tribunal de grande instance de Besançon, - Michel Blanc, président du tribunal de grande instance de Blois, - Dominique Martin

l’approche adoptée par la première Chambre civile dans le présent arrêt n’en est cependant pas dénuée d’un certain intérêt quant aux principes du droit des contrats (et, par extension, du droit des obligations) ainsi qu’à la notion des vices du consentement. En l’espèce, les époux Fouquet s’étaient portés cautions solidaires d’une société (ci-après : l’emprunteur ou le débiteur) pour le compte d’un établissement bancaire, le Crédit industriel de l’Ouest (ci-après : la banque ou le créditeur). L’emprunteur

c- Contrat réel Les contrats réels sont ceux dont la formation requiert non seulement l’échange des consentements mais aussi la remise de la chose sur laquelle porte l’obligation. Le contrat est dit réelle car en latin RES veut dire chose (ex : le contrat de dépôt). 2- L’intérêt de la distinction En matière de contrat solennel si la formalité requise n’est pas accompli, le contrat est nul, et il s’agit d’une nullité absolue. De même en matière de contrat réel si la chose n’est pas remise le

par l'autorité parentale. EX: un couple divorce, la femme prétend que son mari a des tendances pédophiles et aussi envers leur enfant de 2 ans : procédure pénale envers le père donc on empêche le père de revoir son enfant pendant la procédure. En cas d'allégation de pédophilie le père voit l'enfant dans des sortes de crèches dans lesquels il y a des travailleurs sociaux, de sorte que le père n'est jamais seul, il est aussi filmé, et ceci permet de voir son comportement avec l'enfant. Les mariages