Cas Pratique Sur Le Viol

nos recherches que les avortements clandestins ont toujours été présents. En effet, en 1965 le nombre d'avortements clandestins pratiqué était estimé à plus de 200 000. Malgré l'adoption de la loi Veil en 1975 son nombre reste très important et cette pratique n'a toujours pas disparu, par exemple en 1980 il était de l'ordre de 90 000. L'avortement clandestin est une pratique très dangereuse. Naissances_ou_avortement_(France).png Graphique extrait du site internet wikipédia

« chiffres noirs ». Un article publié dans la revue médicale « The Lancet » en janvier 2009, évaluait à 10% en moyenne la proportion d’enfants maltraités ou négligés dans différents pays développés. Par conséquent, on peut se demander, à travers les cas étudiés, comment la violence perturbe-t-elle la vie des enfants ? Afin de répondre à cette question, nous étudierons dans un premier temps la maltraitance dans l’affaire Fiona, puis la pédophilie dans le cadre de la polémique de Roman Polanski et enfin

jeunes filles adolescentes partout dans le monde mais plus principalement en Afrique et en Asie à cause des traditions et par intérêt économique. Sommaire  [afficher]  | ------------------------------------------------- Histoire[modifier] La pratique du mariage forcé était très commune dans les classes aisées européennes jusqu'à la fin du xixe siècle. Cependant la culture occidentale et l'organisation des Nations unies voient aujourd'hui le mariage forcé comme une atteinte aux droits de l'homme

l’avortement n’a pas toujours été légal. Avant cela l’avortement était formellement interdit, si bien que certaines femmes se sont fait avorter illégalement (« 343 Salopes »). C’est depuis peu, seulement 35 ans, que les femmes sont libres de le pratiquer si nécessaire. Mais quels sont les facteurs qui ont permis de modifier le rapport de la société sur l’avortement ? Pour répondre à cette question, nous allons traiter le sujet en trois points : en premier lieu, nous exposerons toutes les illégalités

de graves conséquences telles que des rapports sexuels non consentis, c’est-à-dire des viols, des grossesses non voulues, des violences de couple, une perte d’autonomie et de liberté, des dépressions… Physiques violence familiale et conjugale viol conjugal Crimes d’honneur Familiales (conditions de vie) Rupture avec la famille et la communauté Rupture des liens sociaux Rupture de la scolarité Stigmatisation, ostracisme Psychologiques Menaces de déportation dans le pays d’origine Pressions

la vie étaient les idées qui s’opposaient dans ce débat. Dans ce travail, nous allons nous positionner face à cette question en exposant les deux avis. Pour les opposants à l’avortement, leur argument principal est le droit à la vie. Selon eux, pratiquer l’avortement est commettre un meurtre. En effet, ils pensent que dès la conception, le foetus est considéré comme un être humain à part entière, qui ne mérite pas qu'on abrège sa vie. De ce fait, il n’a pas le choix et ne possède aucune défense.

Délit ( peine d’emprisonnement , amende égale ou supérieure à 3750 euros) - Contravention ( amende inférieure à 1500 euros ou 3000 en cas de récidive) Une autre classification est opérée par le législateur qui se fonde sur la nature de l’intérêt pénalement protégé : infraction de droit commun , infraction politique , infraction militaire . On distingue deux cas de figure : la qualification simple et la qualification complexe . La qualification simple a lieu lorsque la situation pénale suppose

2) Boulimie (page 5) 3) Lien (page 6) III. Homosexualité (page 7) IV. Fugue (page 8) V. Dépendance 1) Alcool (pages 9 10) 2) Drogues (pages 11 12) 3) Tabac (page 12) VI. Dépression (page 15) VII. Suicide (pages 16 17) VIII. Viol (page 18) Conclusion (page 19) Source Introduction : L’adolescence est une phase de la vie humaine de transition entre l’enfance et l’âge adulte. Son âge varie suivant les cultures comme par exemples aux États Unis où elle commence vers

on assiste à l’émergence d’une volonté politique certaine ayant abouti à une responsabilisation plus accrue des femmes. En ce qui concerne le statut personnel, depuis le 1er janvier 1973, date d’entrée en vigueur du code de la famille, certaines pratiques dégradantes qui avaient cours auparavant, telles que notamment, les unions forcées, les mariages d’enfants, la répudiation, le déni de liberté de travail et les mauvais traitements etc… n’ont plus droit de cité chez nous . Le volet pénal de la protection

doit aller en justice pour « faire jouer » la responsabilité civile du responsable. Pour avoir gain de cause, la victime doit prouver 3 éléments (1.les conditions). Mais il existe des excuses grâce auxquelles le responsable peut être exonéré (2.les cas d’exonération). Les bases de la responsabilité civile sont posées à l’art.1382 du code Civil. « Tout fait quelconque de l’homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé, à le réparer. I. LES CONDITIONS :