Cas Pratique Sur La Qpc

qu'il y ait du droit administratif), il a fallu du temps, et surtout que l'Etat de droit (=/= Etat de police) fasse son œuvre. Etat de droit : Etat qui accepte de se donner des règles, qui s'engage à les respecter, et accepte la sanction du juge en cas de manquement Mais cela ne suffit pas à expliquer un droit administratif exorbitant du droit commun (droit qu'on ne retrouve pas dans la relation de particulier à particulier). En Angleterre, pas de droit administratif, le Common Law s'applique aux

de gouvernement la capacité à entrer en relation avec les autres Etats. A - Un territoire Tous les Etats disposent d'un territoire. Ce territoire est délimité par des frontières, qui, parfois ne sont pas fixées définitivement, par exemple, en cas de conflit avec un autre Etat limitrophe. Il peut s'agir de conflits armés mais aussi de conflits latents, sans guerre, mais dans lesquels l'appartenance d'un territoire est revendiquée par plusieurs Etats. Dans le monde, de nombreux territoires

ressort. Avait été créé par la loi du 28 pluviôse an 8 le conseil de préfecture qui avait une fonction de juge de l’administratifinistration en 1er ressort mais dans des matières limitatives, énumérées par la loi. L’arrêt Cadot de 1899 met fin à cette pratique et le juge administratif se reconnaît juge de 1ère instance à la place des ministres. Le décret loi du 30 septembre 1953 va remplacer ces conseils de préfecture les tribunaux administratif qui vont récupérer la compétence de droit commun en 1er ressort

principe une fonction administrative. Il arrive toutefois marginalement qu'ils le fasse → dans ce cas application du droit administratif ex : lorsque le président de l'AN ou du Sénat sanctionne un parlementaire, il s'agit de fonctions administratives. → arrêt d'Assemblé CE : 5 mars 1999 : président de l'AN (n°100 GAJA) → tribunal des conflits : 27 novembre 1952 : préfet de la guyane (n°66 GAJA) B) Le cas des personnes privées Lorsque des personnes privées sont investies d'une mission d'intérêt général

ressort. Avait été créé par la loi du 28 pluviôse an 8 le conseil de préfecture qui avait une fonction de juge de l’administratifinistration en 1er ressort mais dans des matières limitatives, énumérées par la loi. L’arrêt Cadot de 1899 met fin à cette pratique et le juge administratif se reconnaît juge de 1ère instance à la place des ministres. Le décret loi du 30 septembre 1953 va remplacer ces conseils de préfecture les tribunaux administratif qui vont récupérer la compétence de droit commun en 1er ressort

compris dans un sens large, sont visés l’ensemble des règles écrites ou non qui s’imposent à l’administration dans le cadre de son action particulièrement lorsqu’elle prend des actes administratifs. La violation du principe de légalité entrainera en cas de recours l’annulation de l’acte dans le cadre du recours pour excès de pouvoir. Chapitre 1 : La constitution On peut définir la constitution comme un ensemble de règles écrites ou non écrites placées au sommet de la hiérarchie des normes juridiques

qui va juger selon des règles dérogatoires les litiges entre un particulier et une administration. Cela va se traduire par une situation confuse pendant 10 ans (1789-1799). On va connaitre le principe de « l’administration juge et parti » càd qu’en cas de litige avec l’administration, le citoyen pouvait adresser un recours hiérarchique au supérieur de l’agent public qui avait fait une erreur. Le ministre examinait le recours hiérarchique et la plus part du temps il donnait raison à son agent. Donc

déductible de la nature des choses, ni de règles plaisant à tout le monde (guerre, suicide, bourreau). Exemple : dans les années 60 Lévi-Strauss étudie le tabou de l’inceste pour différencier l’Homme de l’animal mais certaines tribus indiennes le pratique = pas un critère universelle. 2) Les positivismes. Définition : le positivisme juridique est un courant en théorie du droit qui décrit le droit tel qu'il existe dans la société, plus que tel qu'il devrait être. Il s'oppose au jusnaturalisme. Il

dirigés permettent d’approfondir certains thèmes vus en cours. C’est donc un lieu de réflexion, de débat et de discussion : vous devez donc préparer chaque séance, en lisant tous les documents, en relisant la partie du cours correspondante et le cas échéant, des manuels. Pendant la séance, on attend de vous une participation dynamique : le chargé de travaux dirigés guide la séance, pose des questions, lance des débats et c’est à vous d’apporter votre réflexion. C’est un point capital : à l’Université

compose de règles édictés volontairement par les organes de l’Etat et qui prenne nécessairement la forme d’un texte. Le droit non légiféré  Synonyme de droit non écrit. Il se compose de la coutume (place minime – règles nées progressivement de la pratique), mais surtout de la JSP (renvoi aux règles de droit déduites de décisions de justice). CHAPITRE I – LE DROIT LEGIFERE Le droit légiféré, ou loi au sens large, englobe toute une variété de textes écrits  EX : La C°. La loi au sens stricte