Cas Pratique Réticence Dolosive

temps : Précisé la notion même de contrat Suivre le processus de formation de ce contrat Envisager son exécution. Chapitre I : La notion de contrat En tant qu’acte juridique le contrat est une manifestation de volonté, mais dans la pratique on constate que la volonté qui est le fondement principal du contrat peut être à l’origine d’une infinité de contrat Section I : Définition du contrat. La définition légale est donnée par l’article 1101CC : « le contrat est une convention par

établissement ; exemple : buvette ou le restaurant installé à l’intérieur d’un stade, d’une gare ou d’un hippodrome. La jp a pris position par un important arrêt d’assemblée plénière du 24 avril 1970 dans lequel la cour précise qu’il faut déterminer au cas par cas si la clientèle qui fréquente ces commerces est ou non indépendante de celle attirée par l’autre établissement. Dans l’affirmative, la clientèle est personnelle à l’exploitant qui a donc la propriété d’un fonds de commerce et a donc droit au statut

ds le rapport entre le créancier et le débiteur la personne elle même est prépondérante. Du coup, le lien d’obligation n’est pas transmissible à ses héritiers. Le lien d’obligation est incessible, on ne peut le céder de son vivant (=> dans certain cas ce cède) donc l’obligation dure autant que la personne elle même. ¨ Conception restrictive des obligations qui se manifeste aussi bien en drt des contrats qu’en drt de la responsabilité. Aussi bien des coté des actes juridiques que des faits juridiques

des pertes, le groupe supportera les pertes, pas seulement une personne. On trouve aussi ce prémisse cela dans le code d’Hammourabi (18ième s avant JC). Mais la vraie assurance va apparaître chez les grecques et les romains à la suite de la pratique du commerce maritimes. On va voir apparaître un vrai contrat qui n’est pas encore le « contrat d’assurance » en tant que tel mais qui va être à l’origine de celui-ci. Dans ce contrat le risque à protéger c’est le transport par mer, ces bateau

erreur, dol) .Violence : contrainte moral ou physique à acheter, abus de position dominante… .Erreur : erreur sur la substance de la chose (non sur la valeur) .Dol : manœuvre pratiquée par une personne pour en tromper une autre (silence : réticence dolosive) * Capacité des parties : aptitude à être titulaire de droits (deux types d’incapables : mineurs, majeurs protégés). * Objet : réel et licite (quoi ?) * Cause : réel et licite (pourquoi ?) Sanction du non respect : nullité

l'arrêt immédiat des spots publicitaires sur les ondes de diffusion dans le but de cesser le trouble illicite, la publication obligatoire dans les journaux et revus exigés par le Tribunal et, réalisée aux frais du condamné. Pour ce qui est des recours en cas de publicité trompeuse ou mensongère, le consommateur peut soit, prévenir les associations de consommateurs qui peuvent se porter partie civile auprès des tribunaux, afin de condamner les auteurs, soit adresser une plainte au Procureur de la République

également observer qu’en droit notarial on utilise également le mot obligation, il s’agit d’un acte authentique constatant qu’une personne est débitrice d’une somme d’argent envers une autre personne, par exemple c’est le cas d’un prêt garanti par une hypothèque, on parle dans ce cas là d’obligation hypothéquée. Section II – les caractères de l’obligation On peut donner trois caractères significatifs de l’obligation, elle est d’abord un droit personnel de nature patrimoniale, elle est ensuite un

moralement tenu sans y être juridiquement contrainte. L’obligation naturelle peut être consécutive à une obligation civile privé des faits ou être indépendante de toute obligation civile pré existante : - l’obligation naturelle est admise dans des cas ou il a existé une obligation civile mais qui ce trouve privé des faits soit parce qu’elle est frappé de nullité soit parce qu’elle a été atteinte par le prescription (ainsi le paiement volontaire du totale de sa dette par celui qui a bénéficié d’une

le droit peut vous contraindre de respecter une obligation morale ? Non, il ne peut pas, on ne peut pas être forcé de respecter une obligation morale. En revanche, si on ne paie pas notre loyer, le bailleur peut engager des poursuites contre nous. Cas particulier, l’obligation naturelle: Si on donne une somme d’argent sous forme de don et que l’on change d’avis par la suite en voulant récupérer l’argent. On ne peut faire des réclamations car quand l’obligation morale non obligatoire est exécutée

exécution successive (clause prévues pour y remédier : clause d’indexation ou clause d’imprévision qui permet de revenir sur l’économie du contrat). * Effet relatif des contrats (hors le cas de la stipulation pour autrui) Le contrat n’a d’effet qu’entres les parties du contrat qui l’ont passé en dehors du cas de la stipulation pour autrui (clause contractuelle) c’est-à-dire une clause que l’on passe en faveur de quelqu’un d’autre (ex. assurance vie). Article 1134 Code Civil : les conventions légalement