Cas Pratique Meubles Immeubles

TAXE D’HABITATION BASE IMPOSABLE Détermination de la valeur locative La taxe d’habitation est assise sur la valeur locative des immeubles, déterminée par voie de comparaison par la commission de recensement .Cette valeur locative est fixée d’après la moyenne des loyers pratiqués pour les habitations similaires situées dans le même quartier. Lorsqu’une unité d’habitation est occupée par un ou plusieurs copropriétaires dans l’indivision et qui versent un loyer aux autres copropriétaires n’occupant

exprime la plénitude des prérogatives du propriétaire sur le bien : plena in re potestas. B.- Le droit de propriété en droit féodal. Le droit féodal est marqué par la distinction entre les meubles et les immeubles. Les meubles sont considérés comme ayant peu de valeur : res mobilis, res vilis. Les immeubles font l’objet d’un régime juridique complexe, preuve de leur valeur (politique et économique). Trois idées principales peuvent être dégagées : - nécessité de conserver les biens dans la famille

relative au suretés dans le sous-titre II concernant les meubles et dans le sous-titre III concernant les immeubles ;l’article 7 de cet ordonnance de 2009 crée un chapitre VIII dans le sous-titre III relatif à la cession de la propriété d’un bien immobilier résultant d’un contrat de fiducie ;ce chapitre comprend les articles 2488-1 à 2488-6 qui étendent au immeubles les nouvelles règles imposées aux fiducies suretés portant sur les meubles. L’article 2488-1alinéa1 du code civil, dont il est question

PICOD, 1999, Montchrestien. – J. MESTRE, E. PUTMAN et M. BILLIAU, Traité de droit civil, t. 2, Droit spécial des sûretés réelles, 1996, LGDJ. – A. PIEDELIÈVRE, Les sûretés, 4e éd., 2004, coll. « Cursus », A. Colin. – M. PLANIOL et G. RIPERT, Traité pratique de droit civil français, t. 12, 13 et 14, par X. BECQUÉ, LGDJ. – G. RIPERT et J. BOULANGER, Traité de droit civil, t. 3, 1958, LGDJ. – P. SALVAGE-GEREST, Les sûretés. La publicité foncière, 1994, PUG. – J.-B. SEUBE, Droit des sûretés, 2002, Cours

injectio. Elle permettait de s'emparer de la personne du débiteur et de l'enfermer dans des prisons privées. La loi des 12 tables au VIIIeme siècle avant JC permettait de garder le débiteur pendant 60 jours. A ce moment, le créancier pouvait, en cas de non paiement, présenter le débiteur à trois marchés successifs afin de susciter l'intervention d'un parent ou amis pour payer la dette. On le présente mais on ne le vend pas encore. Le défaut de paiement, le débiteur pouvait, au choix du créancier

évalué car la chose est au service de le personne. Donc tout ce qui n'est pas humain ne possède pas la personnalité juridique mais est une chose protégée. De plus tout être humain jouit de la personnalité juridique. Ce n'a pas toujours été le cas, l'esclave était dépourvu de personnalité juridique. Lors de l'adoption du Code Civil l'esclavage s'est maintenu dans les collectivités françaises. Il a fallu attendre 1848 pour que l'esclavage soit aboli par le décret Schoelcher. Aujourd'hui l'esclavage

d’usages, dont une seule répond aux caractères de la coutume. *La coutume C’est une règle de droit née de la pratique habituelle et prolongée considérée peu à peu comme obligatoire. Son application habituelle permet aussi d’expliquer son caractère obligatoire. Pour qu’il y ait coutume, deux éléments doivent être réunis : -Elément matériel : il faut une pratique, un comportement répété. Cette pratique doit avoir un caractère : - général : elle doit être largement répandue ; - constant : elle doit être régulièrement

régime qui s’apparentait à ce qu’on appela ensuite le régime de la communauté des meubles et acquêts. Suivant ce régime, les immeubles qui avaient été acquis par un époux avant le mariage ou qui lui étaient transmis pendant l’union par donation ou succession lui demeuraient propres. En revanche, les immeubles dont un époux faisait l’acquisition à titre onéreux durant la vie matrimoniale, ainsi l’intégralité des meubles appartenaient en commun aux deux époux et étaient affectés aux besoins de la famille

civiles d’exécution => article 16 : l'État est tenu de prêter son concours à l’exécution des jugements et des autres titres exécutoires. Précisions sur le concours de la force publique : Les cas de concours de la force publique : il peut être recouru à la force publique en cas d’obstruction c'est-à-dire de résistance du débiteur à la mise en œuvre des mesures d’exécution. L’huissier de justice a été chargé d’accomplir les mesures d’exécution qui demande ce concours en formant une

encadrées par la loi (l’aide à autrui). Paragraphe 1 : les caractères de la règle de droit A. La règle de droit est générale Caractère général de la règle de droit Un cas particulier peut être à l’origine d’une règle de droit (légitimation des enfants adultérins par Pétain) cependant, elle n’est pas faite pour régir des cas particuliers (« la loi doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse », article 6 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen). Il existe