Cas Pratique Liberté Matrimoniale

ce n’est donc plus la femme qui était désigné comme la plus apte d’assurer le rôle de mère au foyer et pourtant en cas de séparation c’est aux femmes quasi systématiquement que les enfants étaient confiés (quelques soient les torts). - Les couples mariés étaient de plus en plus nombreux à se désunir et pourtant la voie du divorce était de moins en moins utilisé. - En cas de décès dans le couple, la situation du conjoint survivant qui n’était pas un héritier était souvent précaire et pourtant

cette diversité, le droit a décidé de supprimer la distinction entre la famille légitime et la famille naturelle. Ordonnance du 4 juillet 2005 a supprimé l’appellation de filiation légitime et naturelle. L’ordonnance de 2005 intervient bien après la pratique du concubinage ou de l’union libre. Le droit nous dit qu’il n’y a plus de différence entre les familles mariage ou hors mariage mais ce n’est pas vrai. Présomption de paternité ne régit que les enfants en mariage. Le concubin d’une femme n’est

ainsi que des données morales de l’époque. De nombreuses questions au cœur du Droit de la famille ont fait l’objet de débats animés. Exemple : le cas par le passé de l’IVG, des enfants adultérins, des procréations médicalement assistés). C’est toujours le cas aujourd’hui pour l’ouverture du mariage aux homosexuels, l’accouchement sous X. ce sera le cas demain pour les questions ayant attrait à la procréation pour autrui. En Droit de la famille, il n’est pas rare que des groupes de pression (des lobbies)

Dissertation : La liberté du mariage Actuellement en campagne présidentielle, les candidats à l’élection s’attardent sur de nouvelles considérations dans le but de faire évoluer la société, les mœurs. Il n’est donc pas impossible que certains relancent le sujet du mariage et notamment celui du mariage homosexuel. En effet de nos jours les homosexuels sont la catégorie de couple n’ayant pas la possibilité de contracter mariage. Cette question relève donc de la liberté que possède tout un chacun de

réellement rigides et regroupent des questions diverses. PARTIE I : LES REGLES SPECIALES DE CONFLITS DE LOIS TITRE I : LE STATUT PERSONNEL TITRE II : LE STATUT REEL TITRE III : LE STATUT DES OBLIGATIONS TITRE IV : LE STATUT DES REGIMES MATRIMONIAUX TITRE I : LE STATUT PERSONNEL Intéresse la personne en tant qu’individu mais aussi ce qui intéresse la personne dans ses relations avec d’autres personnes notamment dans le cadre de la famille : le statut familial. Le principe de en DIP est

époux au mariage - Document n° 2 : Cass.civ. 1ère, 28 octobre 2003 - Document n° 3 : CA Pau, 24 février 2009 - Document n° 4 : Cass. civ. 1ère, 4 juillet 2007 - L’intégrité du consentement des époux - Document n° 5 : CA Douai, 17 nov. 2008 III – CAS PRATIQUE I – Simon et Louise qui se connaissent depuis l’enfance, se marient le 21 juillet 2010. Très pratiquant tous les deux, ils se sont promis de rester vierge jusqu’à leur mariage. Seulement, Leelou une amie de lycée de Simon vient faire des révélations

lors de l’adoption de l’Edit du novembre 1787 qui a permis aux protestants de se marier devant l’autorité civile. Les philosophes du 18ème siècle vont contribuer à la laïcisation des institutions familiales en véhiculant des idées favorables à la liberté du divorce, à la suppression de l’autorité paternelle sur les enfants à partir de 21 ans. Ce droit intermédiaire est remis en cause par la Révolution. L’Etat civil est confié aux municipalités par un décret du 20 septembre 1792. Cette laïcisation

l’individu peut vivre seul, c’est de l’ordre privé : Il a donc choisi de vivre seul, c’est une liberté de choix, et donc aussi de contrainte. Chapitre I Le couple Pendant longtemps le mariage était le seul moyen de former un couple, et donc de bénéficier des droits de couples. Les concubins étaient ignorés par la loi, donc leurs enfants aussi. On disait que le mariage est une institution. La liberté du mariage doit être absolue ! Rien ne doit venir entraver les gens de se marier. Le mariage

également une indépendance de l’homme et de la femme : libéralisation du divorce en 1975, suppression de la puissance paternelle en 70… Il y a un désengagement relatif du droit : « La liberté est pour les autres, le devoir moral n’est que pour moi » Jean Carbonnier. Le droit se détache de la morale, la liberté est affirmée avec plus d’intensité dans le droit contemporain. Développement du rôle de la volonté en droit de la famille : développement des accords, bilatéraux ou unilatéraux.

qu'il est difficile pour le droit de se confronter à l'évolution des mœurs. Est-ce que le droit doit anticiper l'évolution ou attendre que l'évolution soit ancré dans la société pour s'impliquer, agir? Par exemple, jusqu'en 1975 il n'existait qu'un cas de divorce, le divorce pour faute. Mais l'ennuie et l'usure dans le couple poussaient les gens à créer des fautes. Les praticiens ont fini par constater l'évolution et la démocratie du divorce et y ont ajouté différentes formes. Les nouveaux piliers