Cas Pratique Les Effets Extrapatrimoniaux

visée. [une vérité en entraine une autre] Argumentation à pari : appliquer les mêmes règles de droit à des situations similaires, même en l’absence de textes précisant le raisonnement.  Raisonnement à contrario : consiste à déduire la solution d’un cas non prévu, à partir d’une règle de droit, en inversant le raisonnement et l’interprétation. La loi doit être interprétée par le juge selon ces méthodes ou selon les textes en vigueur, afin de prendre une décision, qui est la conclusion de l’affaire

de la responsabilité civile en mettant en exergue son fondement délictuel ou contractuel. L’article 1383 du même code propose d’articuler le régime de droit commun de la responsabilité civile et les différents régimes spéciaux. Ainsi, sauf dans les cas prévus par la loi, ces règles spéciales de responsabilité s’appliquent à l’exclusion des dispositions du présent chapitre. Les articles 1384 à 1386-18, réunis au sein d’une section 2, comportent les règles relatives aux conditions de la responsabilité

leur vie et après (divorce, décès). Les différents régimes matrimoniaux Il y a tout d’abord le socle des régimes matrimoniaux La séparation des biens : le patrimoine de monsieur et le patrimoine de madame, sécurité de chacune des partis en cas de danger. Si l’un des deux meurt, le survivant ne récupère pas tout, surtout s’il y a des enfants. La communauté universelle des biens : ici tout est mélangé, c’est-à-dire qu’il y a une fragilité mais aussi une sécurité pour le conjoint survivant

formule est impersonnel. La règle de Droit a vocation à s’appliquer à toute personne qui correspond à l’hypothèse visée (tout enfant doit honneur et respect). La règle est nécessairement abstraite car elle a vocation à s’appliquer à un nombre indéfini de cas. Une règle de Droit est composée de deux parties. La première présuppose une certaine conduite, une certaine situation : on appelle ça le présupposé, la présupposition ou l’hypothèse. La seconde énonce l’effet juridique, où la conséquence qui découle

droit instrument de pouvoir ➢ La notion de justice est subjective B- Droit et équité Equité : sentiment sure et spontané du juste et de l’injuste. Règle de droit : rigide : son application stricte peut être injuste Le juge dans des cas exceptionnels peut il tenir compte de l’équité pour modérer l’application des règles de droit ? Non, le juge doit trancher le litige conformément à la règle de droit. L’équité expose 2 risques : ➢ Arbitraire : la solution du litige dépend de

temps ils ne vont faire que des consultations.   Double fonction: la représentation (leur client devant les juridictions) et assistance (de leurs clients devant les juridictions). La représentation va parfois être obligatoire. Dans la plupart des cas.   Il va formuler la défense ou les demandes de son client. Postule et conclue pour les parties, cette représentation est territoriale. (On est avocat du barreau d'une ville)   Date : 1971   Date: 1990 lundi 12 octobre 2009 La défense par

oublié : droit instrument de pouvoir La notion de justice est subjective B- Droit et équité Equité : sentiment sure et spontané du juste et de l’injuste. Règle de droit : rigide : son application stricte peut être injuste Le juge dans des cas exceptionnels peut il tenir compte de l’équité pour modérer l’application des règles de droit ? Non, le juge doit trancher le litige conformément à la règle de droit. L’équité expose 2 risques : Arbitraire : la solution du litige dépend de la sensibilité

catégories. Elle peut être saisit de recours par les plaideurs eux-mêmes. Elle peut également être saisit non pas par le plaideur lui-même, mais par une juridiction nationale qui s’adresse à la CJCE de manière incidente. La CEDH peut être saisit en cas de manquement aux dispositions de la convention européenne des droits de l’Homme. Elle peut être saisit de plaintes émanant soit d’un Etat membre, soit d’une requête individuelle par toute personne physique, toute organisation non gouvernementale ou

groupement qui ont complotés contre intérêt de l'état. Une fiction Par la suite, le législateur a reconnu la personnalité juridique à certain groupement, et ce ponctuellement et au cas par cas. Ce qui inclinerait plutôt à considérer que la personnalité morale est une pure fiction. C’est bien ainsi que cette politique du cas par cas, que l’entendaient les canonistes et c’est plus tard, Savigny qui a systématisé ce point de vue : partant de l’idée que la volonté est nécessaire à l’acquisition et à l’exercice

personnalité juridique sont également reflétées par la reconnaissance de droits fondamentaux (subjectifs, cette fois) pour lesquels toute atteinte est sanctionnée par une contrainte juridique17. De tels droits revêtent des caractères propres : ils sont extrapatrimoniaux (car dépourvus de valeur pécuniaire en soi), intransmissibles18, incessibles19, insaisissables20 et imprescriptibles21. Ces caractéristiques ne possèdent pas un caractère absolu et invitent à la nuance. Certains attributs de ces droits peuvent