Cas Pratique La Liquidation Successorale

temps. B-Les apports en natures Ils peuvent concerner soit un bien meuble ou immeuble ,corporel ou incorporel ,leur évolution est souvent difficile à effectuer en raison d’une part la tendance des associés à les sous estimer ou les sur estimer selon le cas, et d’autres part en raison de la nature même du bien considéré ,leur montant estimé en espèce s’incorpore dans le capital social et permet de fixer les droits de chacun des associés ,l’apport en nature peut être fait en pleine propriété à la société

S2 : la saisine du juge compétent C’est l’aptitude pour une juridiction à juger d’un litige c’est compétence sera essentielle en pratique car si on saisit un juge qui n’est pas compétent, on devra alors recommencer une nouvelle procédure ce qui fera perdre du temps et de l’argent. De plus si l’on se trompe dans la compétence, l’adversaire gagne du temps. (Sera dans le QCM). SS1 : les règles de compétence Concerne les juridictions du 1er degré car les problèmes de compétence ne se posent pas au

liquidatif Le meilleur moment pour donner à ses enfants : le plus tôt possible (contradiction entre la logique civile & fiscale) Besoin du code civil (Dalloz) Examen : la dernière séance est une copie conforme Une grande partie de synthèse + 5 cas pratique Droit au code civil & barème fiscale Rapport des libéralités : tenir compte de ce qu'il s'est passé avant la succession Mariage d'un point de vue patrimoniale Un étage commun quelque soit le mariage (article 212 à 226) = Régime primaire

4. De sexes différents 18 2. Le mariage dans le CC 19 1. Laïcité 19 2. La liberté du mariage (Cst 54) 19 4. Les dispositions positives de protection du mariage 19 § 2 formation du lien conjugal 19 a. Les fiançailles 19 1. Définition 19 2. Effets en cas d'inexécution 19 3. Les conditions pour conclure les fiançailles 20 1. La capacité de discernement (16) 20 2. L'absence d'empêchements définitifs au mariage (CO 20) 20 3. Le consentement si néc des représentants légaux 20 b. la Conclusion du mariage

puissance paternelle qui si il était mort ou si il n'était pas là. Depuis cette loi dit que les parents doivent exercer tous les deux cette autorité parentale. Autre réforme : Loi du 11 juillet 1975, c'est le divorce. Cette loi a ouvert 3 autres cas de divorce, il est devenu possible de divorcer par consentement mutuel ; Divorce accepté – d'accord pour divorcer par d'accord sur les effet ; Divorce pour la séparation depuis plus de 6 ans ; pour faute. Loi 2004 : altération définitive du lien

1ère séance de droit des successions: Cas pratiques Cas n°1: Alfred disparaît durant l'hiver 2011 dans un naufrage en mer. Sa famille se compose de sa femme Carla, son père Robert, sa grand-mère maternelle Anna, son arrière-grand père Gérald, son frère Richard, son neveu Banton (fils de sa soeur prédécédée), son cousin issu de germain Durio, sa tante maternelle Dorée ainsi que son cousin issu-issu de germain Dupio. Nature et degré du lien de parenté existant entre le défunt et chaque membre

époux entre eux et vis-à-vis des tiers durant le mariage mais aussi à sa dissolution. Le droit des successions : l’ensemble des principes qui organisent la transmission des biens d’une personne décédée. Les règles qui organisent la dévolution, la liquidation et le partage des biens de la personne décédée. Les libéralités : actes juridiques de disposition à titre gratuit. Entretiennent des relations étroites avec le droit des successions elles sont d’ailleurs très souvent traitées en même temps. Car

de participation aux acquêts. Ce ne sont que des options. Dans l'immense majorité des cas les futurs époux ne choisissent pas de régime matrimoniale. Dans ce cas et par défaut le CC prévoit que le régime matrimonial qui s'appliquera sera un régime de communauté qui le régime de communauté légale prévu par le CC et qui est aujourd'hui un régime de communauté réduite aux acquêts. Cela n'a pas été toujours le cas jusqu'en 1965 le régime légale de communauté était un régime de meubles et des acquêts

...........................................................29 25.1 La notion..............................................................................................29 25.2 La vocation successorale....................................................................29 25.3 La dévolution successorale ................................................................32 25.4 Problèmes particuliers, exercices, jurisprudence............................33 Chapitre 2 : les objets de la vie économique

récompenses dues par la communauté L’article 1433 précise en son alinéa 1er que « La communauté doit récompense à l’époux propriétaire toutes les fois qu’elle a tiré profit des biens propres ». Il ne s’agit pas ici de faire une liste exhaustive des cas où la communauté serait redevable à l’époux. Nous allons simplement éclairer notre propos avec l’exemple d’un époux qui a financé un bien commun, avec des deniers propres, que ce soit en tout ou partie. Ici, il n’est fait référence qu’à la notion