Cas Pratique Incapacité Du Mineur

CAS PRATIQUE Les actes de donation qu’a consentie Monsieur Pierre TOMBALE sont-ils légaux ? Comme la libéralité est un contrat, les conditions de validité des libéralités sont les mêmes que les conditions de validité des contrats : art. 1108 : consentement, capacité, objet, et cause. Le consentement est la condition essentielle de validité de toute convention. Il doit être exempt de tt vice (erreur, dol, violence) ; et en matière de libéralité et depuis la loi de 2006 le legs est venu préciser

retrouve à l’article 2 du décret du 27 mars 1992. Le terme enfant peut recouvrir des notions différentes On pourrait en effet penser à définir l’enfant soit par son âge, soit par une composante psychologique et notamment sa capacité ou plutôt son incapacité de discernement. On constate qu’il n’existe pas de définition réglementaire ou consensuelle de l’enfant. Cependant, on peut s’attacher à la définition de la convention internationale sur les droits de l‘enfant du 20 novembre 1989 élaborée au

posséder pour soi et à titre de propriétaire s’il n’est prouvé qu’on a commencé à posséder pour un autre ». L’animus est donc toujours présumé.  Mais cette présomption n’est pas irréfragable, on peut la combattre en rapportant la preuve contraire. Dans ce cas là, la charge de la preuve incombe à l’auteur de l’action en revendication. Pour constater l’existence ou non de l’élément psychologique, on ne regarde pas si la personne qui se prétend possesseur est de bonne ou mauvaise foi. 2)     Les qualités

CM Droit Civil LES PERSONNES Il y a 2 types de personnes : personnes physiques, personnes morales qui n'a pas véritablement de substrat biologique.Dans les 2 cas il y a la personnalité juridique, elle peut être reconnu aux personnes morales et physique ( aptitude a être sujet de droit ). Personnes morales est une fiction et personnes physique réalité même si pour les personnes physiques ont peut parler de fiction ( EX : esclaves considéré comme des biens ; l'embryon n'a pas beaucoup de droit)

Les libéralités et les donations excluent donc les donations pour cause de mort, appelées institution contractuelle (on institue un héritier par contrat). Cependant, dans certains pays étrangers, la donation pour cause de mort existe. Tel est le cas des pays de Common Law dans lequel on retrouve le « TRUST, qui permet d’effectuer des donations à cause de mort. Il y a une volonté en France de s’inspirer du mécanisme du Trust, et qui existait en droit romain : « la fiducia » pour mettre en place

peine de nullité du contrat, ou conditionne l’opposabilité des obligations nées d’un contrat au respect d’une formalité particulière. Des restrictions également au principe de la force obligatoire du contrat car la loi permet au juge, dans certains cas, de modifier le contenu du contrat tel qu’il avait été voulu par les parties. La jurisprudence admet désormais qu’un co-contractant puisse unilatéralement mettre fin à un contrat qui n’est pas à durée indéterminée. Enfin, il y a des restrictions concernant

rapportent aux sources de ce droit commercial et au domaine de ce droit. Les sources du droit : d’où vient ce droit ? Quelles sont les autorités compétentes pour élaborer ces droits ? Ce droit est issu de la pratique et des usages établis au Moyen-âge mais par la suite cette pratique et ces usages ont fait l’objet de codification. En France, on a codifié ces usage commerciaux, d’abord par les fameuses ordonnances de Colbert en 1673 sur le commerce de terre et 1681 pour le commerce de mer et

complément de nouveaux codes: c'est le cas pour la réglementation intégré au code de la consommation par une ordonnance en 2000. Cette codification compilation est un grand succès pour deux raisons: -Elle respecte le principe de clarté elle essaye de réunir des textes éparpillés pour rendre le droit plus cohérent. -Elle respectes les principes d'accessibilité et intelligibilité de la loi cad les textes sont censé être clair cad facilement utilisable en pratique. On peut douter de cette argument. On

voir se multiplier les cas de doubles nationalités.   Le principe de la loi nationale s’avère être une source de complications. Ca serait plus pratique d’appliquer la loi du domicile. Le droit français a soumis finalement à partir de l’arrêt RIVIERE 1953 la matière à la loi du domicile.   Simultanément l’analyse a amené au sein du statut personnel une dissociation des différents aspects pour les soumettre à des rattachements différents. Par exemple si les incapacités sont demeurées régies par

personnes physiques, les règles varieront en revanches d’une personne morale à l’autre. Point 5- Deux parties : l’existence des personnes physiques et morales. Identification, droit personnes physiques, incapacité. Annonce du plan *L’existence l’identification et les droit de la personne humaine *incapacités *personnes morales Première partie : les personnes physiques. Point 6- la « personne » ou «  l’être humain », article 16 du code civil, dignité. Annonce du plan Titre premier- l’existence