Cas Pratique Clause De Non Concurrence

pour chacune des deux parties, le contrat sera rédigé en français, en italien. En cas de discordance entre les différentes traductions du présent contrat, seul le texte français fera foi en cas de litige. Article 2 : Définition du territoire contractuel et de la loi applicable  La loi applicable au contrat sera celle du lieu ou le brevet à été déposé. Autrement dit il s’agit de la loi française. Article 3 : Clause d’arbitrage En matière de litige relatif à la compétence civile ou commerciale

DROIT DE LA CONCURRENCE Année universitaire 2008/2009 – UPB Prise de notes du cours de Madame le Professeur CLAUDEL Sites : www.europa.eu.int www.autoritedelaconcurrence.fr Droit de la concurrence – Mme Claudel – 2008/2009 Notes prises par T.A. 2 Droit de la concurrence – Mme Claudel – 2008/2009 INTRODUCTION Section 1 – Historique du droit communautaire de la concurrence On se trouve dans le contexte de l’après-guerre avec le souci de l’intégration des économies nationales

• Les conventions collectives étendues L’extension du texte rend obligatoire les dispositions d’une convention pour tous les employeurs et salariés qui sont compris dans son champs d’application. Que ceux-ci soient signataire ou non des textes, adhérents ou non d’une organisation signataire. Il faut répondre aux critères géographiques et économiques. L’extension est prononcée par le ministre du travail après avis d’une commission : la commission nationale de la négociation collective.

légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites. Elles peuvent être révoquées que de leur consentement mutuel, ou pour les causes que la loi autorise. Elles doivent être éxecutées de bonne foi » Art 1135 : «  Les conventions obligent non seulement à ce qui est exprimé, mais encore à toutes les suites que l’équité, l’usage ou la loi donnent à l’obligation d’après sa nature » 1) Le principe de la force obligatoire Le contrat s’impose : Aux parties contractantes : Qui ne peuvent

Droit communautaire de la concurrence Champs d’application et applicabilité : Section 1 : étendue des incompatibilités Droit communautaire de la concurrence = Concurrence : fruit de malentendu avec la diabolisation du droit communautaire de la concurrence (ex : pendant le référendum du traité constitutionnel). Ce mot est compris comme le résultat de la libre circulation. Lorsque l’on parle de libre concurrence politique n’est pas la libre concurrence dans le sens européen. Ce n’est pas issu

autres acteurs de l’Internet. A coté des règles traditionnelles qui gouvernent le droit des contrats, ce sont des principes et des modèles contractuelles nouveaux qui apparaissent constamment et se confrontent au droit d’auteur, au droit de la concurrence ou au droit de la consommation. Cette étude tend à présenter, étudier et analyser ces nouvelles règles pour répondre aux interrogations des praticiens du commerce électronique. INTRODUCTION : L’Internet est une toile (« web ») articulée par des

Droit de la concurrence Droit éco : -> droit de la conso : commerce et vente DEUXIEME SEMESTRE -> droit de la concurrence : PREMIER SEMESTRE = régit les relations entre les entreprises et a comme objectif d’équilibrer les relations sur le marché : entre distributeur et fournisseur, entre les distributeurs entre eux.. On protège le consommateur des déséquilibres entre les etps : entente / abus de position dominante pour augmenter les marges en augmentant les prix. Les nouveaux textes

commerces L’acte de commerce s’oppose à l’acte civil (=acte qui est passé entre des particuliers pour leurs propres besoins personnels). RAPPEL : Acte juridique (conséquences voulues et fait intentionnel) ≠ Fait juridique (conséquences non voulues mais fait intentionnel ou non intentionnel). A) Les actes de commerces par nature Un certains nombre d’actes sont toujours qualifiés d’acte de commerce si ils répondent à des critères précis : Les actes sont réalisés par une entreprise qui souhaite en tirer

graphologique de la lettre de motivation, etc.). II. Le contrat de travail A. Les conditions du contrat de travail Comme tout contrat, le contrat de travail répond aux conditions générales de validité des contrats : -Consentement mutuel -Eclairé et non vicié -Capacité des parties -Un objet et une cause licites. Définition de la jurisprudence : Contrat par lequel une personne réalise un travail au profit d’autrui contre rémunération et en se plaçant sous sa subordination juridique.  Trois critères

divisé en deux secteurs et le salarié démissionne. Le salarié dit en espèce qu’il a refuse travail au nouvelle condition il a pas été licencié donc il devait être licencié. Mais le CC va dire que non le contrat n’a pas était rompu . Le Doyen Varquez, nous dit que cette distinction substantielle et non substantielle est trompeuse et artificielle. Doc. 2 : Cass. Soc. 12 juillet 2010 (modification de la rémunération et prise d’acte) Vu les articles 1134 du code civil et L. 1231-1, L. 1237-2 et