Cas Pratique Abus De Position Dominante

labels facultatifs nationaux, souvent appréciés des consommateurs, peuvent être appliqués. Législation sur la concurrence : * l'interdiction des ententes Les règles communautaires de concurrence distinguent plusieurs cas de figure : les ententes, les abus de position dominante, les concentrations et les aides d'Etat. Les ententes sont interdites dans le marché intérieur en vertu de l'article 81 du traité de Rome. Par le terme entente, on désigne notamment tout partage de marché, fixation de quota

sociale des relations où domine un souci d'égalité des positions dans la relation économique entre celui qui offre (vendeur) et celui qui demande (acheteur). Elle comprend également la libre concurrence qui est un système où chacun dispose de la liberté d'exercer une activité, de produire et de vendre aux conditions qu'il souhaite et où l'Etat n'intervient que pour garantir le libre jeu des règles de l'économie, interdiction des abus de position dominante et des ententes. La concurrence pure et parfaite

la concurrence désigne essentiellement le droit des pratiques anticoncurrentielles (ententes et abus de domination), le contrôle des concentrations ainsi que le contrôle des aides d'État. En France, la doctrine rattache également au droit de la concurrence, le droit des pratiques restrictives de concurrence, inséré au titre IV du Livre IV du Code de commerce ("De la transparence, des pratiques restrictives de concurrence et d'autres pratiques prohibées"[1]) ainsi que le droit de la concurrence déloyale

IV) Application de la loi sur la concurrence Créer et maintenir les conditions d’une concurrence active par l’élimination des Pratiques Anticoncurrentielles (PA) : Entente ; Abus de position dominante ; Exploitation d’une situation de dépendance économique ; - Les pratiques anticoncurrentielles portent atteinte au fonctionnement de tout un marché. - Les pratiques restrictives ont un effet premier entre deux partenaires économiques. - L’ordre public économique participe, essentiellement du

concurrence européenne par une simple notion de définition juridique. Pour la concurrence européenne c’est la notion d’activité économique qui prime. Remarque : nous pouvons évoquer le principe des entités publiques (ou entreprise publique). Dans ce cas il faut que l’entité ait des droits spéciaux parfois exclusifs où elles peuvent également gérer des services d’intérêt général. Une entité publique doit être considérée comme une entreprise lorsqu’il est établi qu’au travers de cette entité l’état

passée entre deux parties ou davantage, ayant pour objet l'établissement d'obligations à la charge ou au bénéfice de chacune de ses parties, qui se voient ainsi engagées, liées, par la convention signée. Aujourd’hui, le contrat est devenu une pratique très courante et constitue un des éléments fondamentaux des rapports entre les personnes physiques ou morales, de droit privé ou de droit public et la base des relations humaines, il est largement sollicité dans plusieurs transactions afin de qualifier

1986, une ordonnance du 1er décembre va poser le principe de liberté de prix qui s’oppose à tout blocage des prix ; ainsi l’article L. 410-2 alinéa 1er du Code de commerce qui reprend l’article 1er de l’ordonnance de 1986 dispose que « Sauf dans les cas où la loi en dispose autrement, les prix des biens, produits et services relevant antérieurement de l'ordonnance n° 45-1483 du 30 juin 1945 sont librement déterminés par le jeu de la concurrence. » Le principe de liberté, dont les fondements reposent

politique monétaire pour l’ensemble de la zone euro ? Face à l’hétérogénéité des situations économiques des pays membres de la zone euro, il est difficile de conduire une politique monétaire qui soit cohérente avec la conjoncture de chaque pays. Dans le cas précis de l’année 2009, après la crise des subprimes, les conjonctures des pays de la zone euro sont assez concordantes en ce sens qu’elles ne sont pas du tout inflationnistes. Une même politique monétaire accommodante serait une solution acceptable

prévaloir de représenter directement la volonté des peuples, donc il est quand même super légitime ! -La cour de justice des communautés européenne. Elle s’assure du respect du droit communautaire. (Arrêt Van jend en Loss et Costa de 1963 et 1964). En cas de conflit entre une loin nationale et le droit communautaire, qui l’emporte ? C’est le droit communautaire. Spécificité du modèle communautaire qui est assez inclassable entre état fédéral et états souverains. Section 2 de l’introduction : Les

ressources globales de la collectivité »5. En pratique, et en fonction de la pondération des politiques de concurrence, les règles de droit de la concurrence et plus largement du droit économique ont vocation, concomitamment ou alternativement à : autoriser, voir stimuler la concurrence entre les entreprises garantissant : l’accès au marché ; la transparence du marché ; protéger la concurrence existante en sanctionnant la concurrence déloyale ; les pratiques élusives de concurrence ; limiter ou interdire