Bentham

l’accroissement des libertés de chacun, par l’affaiblissement de l’appartenance à une entité collective. En revanche, l’individualisme utilitariste, surtout celui de Jeremy Bentham, se différentie peu de l’égoïsme. Il connaît toutefois une certaine évolution et une certaine socialisation en fonction des époques et des auteurs. Bentham veut affranchir l’économie de la morale et s’appuyer sur le seul calcul des avantages et désavantages pour la richesse de l’individu et de la nation. Le terme utilitarisme

Formé par son père, James Mill, il adopta aussi les principes de la philosophie utilitariste de Bentham qu’il interpréta avec une largeur de vue nouvelle. Bien qu’individualiste et libéral, il prôna l’intervention de l’État en faveur de la classe déshéritée, proposa une modification du droit de propriété et la formation de coopératives de production. Il fut un partisan de la libération politique de la femme. Les thèmes directeurs : 1°) La politique économique. Son problème : arriver au meilleur

se consolira spontanément avec l’intérêt général sois sans intervention de l’Etat ) * Jerémie BENTHAM : 19e , philosophe, moraliste , juriste et pénaliste John STUARMILL : * Principe utilitariste : ce qui utilise ce qui sert les intêrets particuliers et ce qui produit le plus de plaisir soit le principe de l’hédonisme qui est garantie par la main invisible. * 2e principe : BENTHAM comme les plaisirs que nous recherchons dépendent dabs une grande mesure des autres il est sage de rechercher

ouvert à la population du Québec. Dans un premier temps, je ferai une analyse de la situation ayant pour but de mettre en évidence les différents éléments en conflits par rapport à la problématique. En suite, j’appliquerai la théorie utilitariste de Bentham, puis je poursuivrai avec Aristote et son éthique des vertus. Finalement, j’exprimerai ma position personnelle et émettrai une ouverture pour relancer le sujet et amener à d’autres réflexions. Analyse de la situation La situation est la suivante

l’instrumentalisation de l’animal à un haut niveau. S’il on adopte cette conception, on peut donc faire n’importe quoi sur les animaux. A l’opposé, on trouve l’utilitarisme avec Jeremy Bentham, qui définit le plaisir comme l’absence de douleur. On peut le concevoir dans un premier temps comme le bonheur dans la société humaine, mais Bentham a été un peu plus loin en disant que si un animal est capable de souffrir, et que l’utilitarisme cherche avant tout à supprimer cette souffrance, on doit prendre en compte

de cet idéal et de son optimiste croyance au bon vouloir des libertés humaines. C'est en ce même sens que Rabelais gravait à l'entrée de l'abbaye de Thélème l'impératif « Fais ce que voudras ». Utopique ? De quel bonheur est-il question ? Jeremy Bentham affirme en 1789 que le travail du législateur est d'associer la recherche du bonheur au principe économique de l'utilité, premier motif de la conduite humaine car « le plus grand bonheur pour le plus grand nombre est la mesure du juste et de l'injuste

différents pays européens, pour voir de quelle manière les personnes étaient privées de liberté dans l’attente de leur jugement. A la fin du XVIIIième siècle en 1787 il va publier ses observations qui seront reprises. Un de ces disciplines Jérémy Bentham va poursuivre la réflexion relative au système pénitentiaire. De la même manière il va parcourir un certain nombre de pays à l’occasion desquels il visitera bon nombre d’établissement pénitentiaire, il va mener une réflexion originale puisque cette

3 Analyse générale 4 Contenu 4.1 Préambule 4.2 Contenu des articles 4.3 Contexte de l'adoption de la Déclaration 4.4 Autres droits à valeur constitutionnelle ne figurant pas dans cette déclaration 5 Critiques 5.1 Critiques de Burke et de Bentham 5.2 Critique marxiste 5.3 Critique féministe 5.4 Droits des habitants des colonies 6 Applicabilité juridique 7 Postérité 7.1 Mémoire du monde 8 Voir aussi 8.1 Bibliographie 8.2 Articles connexes 8.2.1 Déclarations universelles 8.2.2

du philosophe anglais Jeremy Bentham, qui en serait l'inventeur. Autant dire qu'il est récent : le mot apparaît pour la première fois dans son Introduction to the principle of morals and legislation, à la fin du XVIIIe siècle, où l'auteur introduisait une distinction entre droit national et international. Le concept n'était pas nouveau, mais on parlait alors de « droit des gens »(traduction littéral du latin jus gentu) pour qualifier le droit international. Bentham considérait son néologisme comme

dissuasion générale. Dissuasion spécifique Quelle quantité de la peine Proportionnelle La moins cruelle possible Pour quelle soit efficace il doit avoir la certitude, et prompte. Un autre philosophe utilitariste Jeremy Bentham (1748-1832) Le 30 janvier 2015 Bentham : -L’utilitarisme (L’enfermement) -d’après le principe de l’utilité, les peines légales sont des maux infligés, selon des formes juridiques, à des individus convaincus de quelque acte nuisible, défendu par la loi, et dans