Behavioriste

l’être humain dans sa théorie sur le comportement ? Pourquoi ?Watson est le père du behaviorisme, de la philosophie du comportement, avec son article qui sera considéré comme le manifeste de la nouvelle école : « La psychologie comme le voit un behavioriste ». Cette théorie rejette toute notion de conscience comme accès à la connaissance psychologique, et analyse le comportement déclenché par des stimuli. C’est ainsi que Watson compare l’humain à l’animal. Le but de Watson était de faire considérer

fondateur de l’éthologie moderne, autrichien Agression, une histoire naturelle du mal (60s) - base instinctive chez animaux et hommes qui explique le comportement agressif - acquis culturel: nature ↔ culture, instinct ↔ information 5.1.2 Approche béhavioriste - béhaviorisme = attitude des chercheurs qui veulent se limiter à l’observation, relier à des phénomènes observables dans le milieu - ne pas tenir compte des causes psychologiques ou instinctives Pavlov médecin russe - père du „réflexe

l’introspection et en accord avec la philosophie positive ambiante. C’est une volonté d’objectivité que seul l’observation garantie. C’est un recours à la méthode expérimentale pour établir des lois scientifiques entre les phénomènes observés. Conception béhavioriste de la psychologie : étude des lois qui régissent deux types d’observables, les stimulus appelés S et les réponses appelées R. Ces lois doivent permettre de prévoir les réponses quand on connaît les stimulus. Les mécanismes qui interviennent entre

les évaluations nationales 1. L’intéraction entre enseignement, apprentissage et évaluation En matière d’éducation, l’apprentissage peut être considéré : ( comme un résultat de l’enseignement, visant ici une conception béhavioriste qui est mise en avant comme dans la pédagogie par objectifs qui caractérisent actuellement le système éducatif français. La qualité de l’enseignement consiste à fournir aux élèves des situations stimulantes. Ce courant fournit à l’enseignement

siècle avec Tarde et Le Bon (les phénomènes de foule)) Méthode de collecte de données : Observations Expérimentations Enquêtes psychosociologiques Méthode d’analyse des données : Théories, ex : théorie de l’attribution Deux approches : Behavioriste : expérimentation sur les comportements animaux et sur les humains dans des situations précises Cognitiviste : expérience portant d’avantage sur la raison du comportement aux stimuli. Définitions de la discipline : Etudes de relations réelles

satisfaction ou non [pic] = 2. Le modèle d’Howard et Sheth [pic] L’expression « boîte noire » signifie qu’il s’agit de processus que nous pouvons choisir de ne pas explorer parce qu’ils sont difficiles à analyser. Dans l’approche behavioriste, les processus centraux du comportement (perception, mémorisation, apprentissage, prise de décision) sont considérés comme appartenant à une boîte noire, et de fait ne seront pas analysés. Ils introduisent trois niveaux de réponses comportementales

échec en 1968. Parfois il n’y a pas de stimulation directe, il y a même des stimuli sans réponse, beaucoup de nos comportements ne s’expliquent pas forcément par les stimuli de l’environnement, mais souvent de ceux de la boîte noire. Pour les behavioristes les comportements seraient appris par attitude habituelle (Cf. Taylorisme), pour eux l’intelligence n’est pas au cœur de leurs préoccupations, les comportements seraient alors machinaux, or tout n’est pas appris, surtout le langage, qui ne s’apprend

sociale peut interagir sur ladimension technique. Il est nécessaire de laisser développer le travail en équipe pour avoir un groupe autorégulé. Il y a un transfert de pouvoir (aux ouvriers et salariés) pour intégrer ces dimensions. V.II. L’ECOLE BEHAVIORISTE Approche comportementaliste (≠ approche sociale) VII. I. HERBERT SIMON Il remet en cause la rationalité parfaite. Rationalité parfaite : « Homo œconomicus » soit l’homme économique La maximisation du profit (Producteur) La maximisation de

d’IA. Perspective cognitive L'approche cognitive ou cognitiviste en psychologie s'est constituée dans le cadre plus large des sciences cognitives vers le milieu des années 1950. Cette approche s'est fondée sur une opposition à la tradition béhavioriste qui considérait l'esprit humain (et animal) comme une « boîte noire » dont les réponses (c.-à-d. le comportement) devaient être analysables comme une fonction des entrées (c.-à-d. les entrées sensorielles), sans qu'il soit nécessaire de faire des

(1992)[21] : empreinte, conditionnement, construction. Franc Morandi (1997) : tradition, pédagogies actives, maîtrise, différenciation, autonomisation. Selon Labédie et Amossé : transmission (pédagogie traditionnelle), stimulus-réponse (pédagogie béhavioriste), construction (pédagogie active), socio-construction, métacognition.[22] * les mouvements pédagogiques sont des "organisations militantes, inspirées par une idéologie éducative novatrice, regroupant des enseignants mus par le même idéal"