Beckett Koltes

», in Carnets de JLK, <http://carnetsdejkl.hautetfort> [consulté le 06/02/2007] 12 Sieghild Bogumil, « La légèreté de n’être. Le théâtre contemporain des dramaturges femmes », in Seighild Bogumil et Patricia Duquenet-Krämer (dir.). Bernard-Marie Koltès au carrefour des écritures contemporaines. Louvain- la Neuve : Centre d’études théâtrales, N°. 19/2000, pp. 24-31 13 Ibid. op. cit. , p.166 12 Sous contrat Creative Commons : Paternité-Pas d'Utilisation CommercialePas de Modification 2.0 France

CAMISCIOLI Elisa, « Intermarriage, independent nationality, and the individual rights of French women. The law of 10 august 1927 », French Politics, Culture and Society, n° 3-4, 1999. C AMPBELL James, Exiled in Paris. Richard Wright, James Baldwin, Samuel Beckett and Other on the Left Bank, Berkeley, University of California Press, 2003. CAMPT Tina, Other Germans. Black Germans and the Politics of Race. Gender and Memory in the Third Reich, Ann Arbor, University of Michigan Press, 2005. CANDACE Gratien, « Une

Paneloux ». GIONO, Les Grands Chemins, « La partie de cartes ». BECKETT, En attendant Godot, « Fin de partie » (fin de l’acte I). MALRAUX, Oraisons funèbres, « Commémoration de la mort de Jeanne d’Arc ». QUENEAU, Les Fleurs bleues, « La demande en mariage ». PEREC, W ou le souvenir d’enfance, « La fracture de l’omoplate » ; « Les Jeux sur W ». SARRAUTE, Enfance, « Quel malheur ! ». BRASSENS, Poèmes & Chansons, « Les Ricochets». KOLTES, Roberto Zucco, « Zucco au soleil ». Conclusion et conseils aux

atelier 2 avec laquelle il a mis en scène de nombreux textes classiques et contemporains, en France et à l'étranger : Le Nom de Jon Fosse ; Le Bourgeois Schippel de Carl Sternheim, en langue allemande (2001/02) ; Fin de partie – Endspie lde Samuel Beckett, en langue allemande et française (2000/01) ; Inside-Outside ou Eloge de la radio de Denis Levaillant, (1999/2000) ; Les Vacances / La Mort viendra de Jean-Claude Grumberg / Ingeborg Bachmann (1999/2000) ; Lulu de Frank Wedekind (1999/2000) ; La

accueille principalement des pièces assez littéraires. Cette année, le programme sera constitué de certains textes de Jean Genet, Marguerite Duras ou encore Samuel Beckett. Le TNP garde comme tradition de revisiter des œuvres de l’esprit. La saison 2011/2012 verra des auteurs comme Shakespeare, Jean Genet, Victor Hugo ou encore Bernard Marie Koltès. 68 La comédie de l’est de Colmar gardera, dans sa programmation, un mélange de textes classiques et contemporains. Pour ne citer que les auteurs les

parvient à représenter l'univers où errent des personnages jouets de la providence divine.   | Doc. 2 : Paul Claudel | 3. Comprendre le renouvellement du langage dramatique : l'après-guerre Eugène Ionesco avec La Cantatrice chauve (1950), Samuel Beckett avec En attendant Godot (1953) et Jean Genet avec Les Bonnes (1947) sont les trois pôles emblématiques du théâtre de l'après-guerre également baptisé « théâtre de l'absurde ». a. Les moyens du changement – La dislocation du langage Les dialogues

Surrealists Art and commerce Social comment Ideas The psychologists Poets of illusion Other playwrights Salacrou Cocteau Claudel Giraudoux Anouilh Conclusion 1940–68 The mainstream The literary play The philosophical play Sartre Camus New Theatre Ionesco Beckett Genet 346 347 348 350 350 351 351 352 352 353 353 353 354 354 354 355 355 356 357 357 358 359 359 359 360 360 361 362 363 363 364 364 365 365 366 366 368 369 370 CONTENTS xvii 371 372 372 373 373 374 375 375 376 376 377 378 379 380 381 382

Demain. 7/14 novembre 1957 41 celle-ci édulcorer l’authenticité de ses pensées ? De plus, cette langue qu’il utilise, estelle véritablement celle de Molière ? Ne fait-elle pas partie du patrimoine marocain moderne ? Comme l’auteur irlandais S. Beckett qui affirmait se servir d’« un langage volé » [après avoir écrit quelques œuvres en anglais, il publia en langue française En attendant Godot (1953) et Fin de partie (1957)], Driss Chraïbi utilise lui aussi une langue dérobée à un autre. Dans le cas

7/14 novembre 1957 41 celle-ci édulcorer l’authenticité de ses pensées ? De plus, cette langue qu’il utilise, estelle véritablement celle de Molière ? Ne fait-elle pas partie du patrimoine marocain moderne ? Comme l’auteur irlandais S. Beckett qui affirmait se servir d’« un langage volé » [après avoir écrit quelques œuvres en anglais, il publia en langue française En attendant Godot (1953) et Fin de partie (1957)], Driss Chraïbi utilise lui aussi une langue dérobée à un autre. Dans le

et docteur d’État. Il a longtemps préparé en France aux concours des E.N.S. De 2002 à 2006, il a enseigné la méthodologie et préparé à l’agrégation de français à l’École Normale Supérieure de Tunis. Il a consacré plusieurs ouvrages à Giraudoux et à Koltès. Il est président d’honneur de la Société internationale des études giralduciennes (SIEG). 1 1 AVERTISSEMENT Si un principe a inspiré la mise en forme de ces corrigés, accompagnés de quelques réflexions de méthode, c’est assurément que