Beckett Marivaux Genet

Question sur le corpus. Le corpus de texte qui nous est présenté rassemble 5 scènes de 5 pièces de théâtres. Jean Genet avec Les bonnes, Marivaux avec la deuxième scène de L’île des esclaves, Beaumarchais avec Le mariage de Figaro acte I scène8, Samuel Beckett avec un extrait de l’acte I de En attendant Godot, et la scène 5 de l’acte III dans  Ruy Blas  de Victor Hugo. Chacune de ces pièces datent du XVIII, XIX et XXème siècle avec des registres variés : deux comédies, une tragédie, un drame romantique

qu’il révèle au niveau du personnage mais aussi l’effet qu’il donne à son auditoire. Le corpus de texte qui nous est présenté rassemble 5 scènes de 5 pièces de théâtres. Jean Genet avec Les bonnes, Marivaux avec la deuxième scène de L’île des esclaves, Beaumarchais avec Le mariage de Figaro acte I scène8, Samuel Beckett avec un extrait de l’acte I de En attendant Godot, et la scène 5 de l’acte III dans Ruy Blas de Victor Hugo. Chacune de ces pièces datent du XVIII, XIX et XXème siècle avec des

effectivement il est composé de trois extrait de pièce théâtrale et d'une photographie mettant en scène des couples maître esclave. En effet, est présent L’île des esclaves de Marivaux datant du 18 ème siècle et donc des Lumière. Puis deux passages d’œuvre du 20ème siècle , Jean Genet, Les Bonnes , 1947 et Samuel Beckett, En attendant Godot de 1952 s’attachant tous deux au courant de l'absurde . La photographie de 1961 introduite dans ce groupement de texte est prise d'une représentation théâtrale

Godot de Beckett ➢ Lectures • La scène d’exposition (lecture dirigée p. 9 à 16) • La tirade de Pozzo (lecture analytique p. 51-52) • La tirade de Lucky (lecture analytique, p. 62-65) • L’échange Vladimir-Estragon (lecture analytique p. 87-88) ➢ Questions d’ensemble • La tragédie • Un nouveau langage dramatique ➢ Documents complémentaires • Corpus autour de la question du conflit théâtral (Marivaux, L’île des esclaves, Genet, Les bonnes

et des personnages antiques. Il attend plutôt un spectacle d’actualité. De même la comédie n’&a plus le succès qu’elle connaissait au 17ème s. 2. Les nouvelles tendances : * le drame bourgeois Drama : action en grec, pièce de théâtre. Marivaux et Beaumarchais sont les grands représentants de la comédie au 18 ème s et ils préfèrent faire sourire que rire. La satire sociale devient la principale source de comique dans la comédie du 18 ème : les petits sont victimes de la violence des grands

XXème siècle comme Les Bonnes, de Jean Genet expriment bien ce malaise. En effet, l'intrigue tourne autour de deux bonnes qui ont tout au long de leur vies été soumises et décident de s'abandonner dans un jeu en prenant chacune a tour de rôle, le rôle de la maitresse de maison, tandis que l'autre joue le rôle de sa sœur. La confusion est telle qu'elles en perdent leur identité et ne savent plus qui elles sont. Pour comprendre le choix qu'a fait ici Jean Genet de mettre en scène deux personnes que

Comédie-Italienne. Marivaux écrivit pendant vingt ans pour les Italiens (de 1720 à 1740). Plus tard, la comédie italienne reprit à la France, en le perfectionnant, ce que celle-ci lui avait emprunté, et les pièces de Molière passèrent pour la plupart, réduites à leur canevas, dans le répertoire mobile de la commedia dell’arte. 10) Les dramaturges du XVIII° siècle qui orientaient leur théâtre vers l analyse psychologique et la satire sociale Ces dramaturges sont : • Fontenelle • Marivaux

1STI2D1 – Séquence 1 : Le Jeu de l’amour et du hasard, Marivaux (OI) Objet d’étude : Le texte théâtral et sa représentation, du XVIIème siècle à nos jours. Problématique : Le Jeu de l’amour et du hasard n’est-il qu’un jeu ? Lectures analytiques : • Texte 1 : I,1 (en intégralité) • Texte 2 : II,9 (de « Ah, ma chère Lisette, que je souffre ! » à la fin de la scène) • Texte 3 : III,6 (de « Chère petite main rondelette et potelée » à la fin de la scène) Etudes d’ensemble : • La comédie ; les formes

aussi en partie le personnage de ses pièces. C’était un homme qui avait un mélange d’intelligence, d’intuition et de grande naïveté, quelque chose de presque enfantin par moments, un grand créateur qui a inventé un monde, comme on peut le dire de Beckett… même si ces deux mondes n’étaient pas proches, du moins d’après la définition qu’en donne Essling dans « Le Théâtre de l’absurde » qui me semble aujourd’hui très approximatif. Ionesco affirmait d’ailleurs que « son théâtre est un théâtre de la dérision

de théâtre comporte de nombreuses didascalies, par exemple dans Les Bonnes de Jean Genet, les didascalies sont très fréquentes et indispensable à la compréhension de la pièce. En effet, à l'incipit de celle-ci, les didascalies jouent un rôle important, car comme Claire et Solange s'attribuent des rôles, on ne pourrait pas savoir qui joue qui sans les indications des didascalies et les précisions de l'auteur. Genet a d'ailleurs écrit « Comment jouer les Bonnes » afin de préciser encore plus l'idée