Beckett Citations

cela dans cette citation de Maud : « Elle ne pensait à personne, à rien d’autre qu’au gouffre angoissant de la journée dans laquelle elle s’enfonçait lentement et qui semblait se refermer sur elle comme une mer sur une épave encore vivante, trop lente à mourir, trop lente à atteindre le fond. » (Ibid, Pages 233-234). De plus, cet ennui provient aussi d’une impression d’immobilisme et d’un sentiment de solitude que ressentent les personnages. Pour illustrer cette idée, deux citation de la jeune Francine

verbe augeo, qui signifie « augmenter »). - A la fin du siècle, Montaigne se dresse contre les abus de l’allégorie, de la recherche du « sens caché » des textes, tout comme il résiste à l’autorité des auteurs, condamnant à la fois l’accumulation de citations « des anciens auteurs pour se faire honneur », et l’abondance de commentaires sur ces mêmes auteurs. En outre, Montaigne exprime le désir de découvrir l’individu derrière les écrivains : « J’ai une singulière curiosité ... de connaître l’âme de mes

adéquates, bref, que tous les goûts seront satisfaits. On nous dit que la concurrence, surtout lorsqu'elle est associée au progrès technologique, est synonyme de «création» (je pourrais assortir chacune de mes assertions de dizaines de références, et de citations, en définitive assez redondantes).  Mais on nous dit aussi que la concurrence des nouveaux entrants, beaucoup plus puissants, qui viennent des télécoms et de l'informatique est telle que l'audiovisuel a de plus en plus de peine à résister; que les

Le thème développé dans l’extrait d’En attendant Godot de S. BECKETT est celui de la pendaison et donc du suicide. Cette idée apparaît comme une tentation simplement à la vue de l’arbre : « Et si on se pendait » dit Estragon à Vladimir à la ligne 3 de l’extrait. (2 points) Barême : 2 points quand : - j’ai cité l’auteur, le titre de l’œuvre (1 point) - quand j’ai indiqué en le justifiant (citation) quel thème étant développé dans l’extrait suivant. (1 point)

Adamov de rendre au théâtre sa littéralité. Ceci correspond à cette citation d’Adamov : « Le théâtre tel que je le conçois est lié entièrement et absolument à la représentation. (…) Je crois que la représentation n’est rien d’autre que la projection dans le monde sensible des états et des images qui en constituent les ressorts cachés3 ». Nous pouvons apercevoir que ce théâtre d’avant-garde refuse toutes les idéologies. Pour Beckett, par exemple, ne vouloir rien dire est devenu vouloir dire le rien

1952 ("Herman Melville"). La comparaison de ces deux textes - peu importe la conjoncture de leur rédaction - fait saillir la différence entre une critique cérébrale, scolaire, sans la moindre "goutte d'eau" de lyrisme (Hamm, dans Fin de partie de Beckett: "Il y a une goutte d'eau dans ma tête") et une critique lyrique dont la nappe couvre même, par reflux, un premier alinéa pourtant rien que dénotatif. Ce lyrisme critique, de Stimmung évidemment et non de genre ou de mètre, n'est pas du tout le lyrisme

quelques pages plus loin, Robbe-Grillet prendra très explicitement ses distances avec cette même gauche… Pour le reste, il faut remarquer la superposition (par glissement) de trois notions : l’individualisme (dans le paragraphe qui précède notre citation, le « roman de personnages » est dit avoir marqué « l’apogée de l’individu »), la « bourgeoisie » (dite « balzacienne ») et l’anthropocentrisme (autrement dit, « culte de l’humain »). Ce glissement de l’individualisme à l’humanisme (i. e. de l’anti-individualisme

ce sont ses confessions, auxquelles il donna le nom d’Essais.   Dans ce livre, Montaigne a voulu, avant tout, peindre l’homme en se peignant lui-même. Il y ajoute des réflexions personnelles qu’il émaille d’un grand nombre de citations grecques et latines ; ces citations rendent la lecture du livre un peu fatigante. La narration n’est point suivie, l’auteur commence un chapitre sur un sujet, mais bientôt il abandonne son idée, et le chapitre se termine sur un sujet tout à fait différent. Il parle

rappeler, l’effet en retour – celui de la mise en scène sur le texte – est loin d’être systématique. On sait par exemple à quel point le dramaturge Vinaver dénie à la mise en scènetout pouvoir d’intervention . Et on se souvient qu’un auteur comme Samuel Beckett, pourtant convaincu du jeu interactif entre texte et représentation (voir infra), a désavoué totalement la mise en scène de Fin de partie proposée par Gildas Bourdet à la Comédie Française. Il n'est pas étonnant qu'un auteur se laisse tenter par

l'humaniste en abordant des sujets d'une grande diversité. L'auteur n'hésite pas a aborder un sujet de controverse en créant des personnages qui lisent la Bible. Michel de Montaigne (1533-1592): «Essais» (1580-1595). L'auteur corrige, rajoute des citations et des developpements à certains chapitres. Erasme (1469-1536): «L'éloge de la folie» (1509). Il étudie le latin puis l'enseigne ainsi que le grec et l'hébreu qu'il enseigne dans toute l'Europe et en Angleterre. Dans son oeuvre, il prends un