Beccaria La Torture

absorbent ici l’héritage de la pensée du droit naturel : les citoyens possèdent des droits en société et les hommes possèdent des droits d’ordre privé. Ainsi tout être humain a droit à la vie et à l’intégrité de son corps, la peine de mort et la torture sont donc illégitime. L’exercice de la liberté se trouve donc contenu par l’exigence d’universalité. Le principe d’universalité : Si tous les êtres humains possèdent un ensemble de droits identiques, il s’ensuit qu’ils sont égaux en droit : la

rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre . Cependant, l'Assemblée nationale constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort, mais elle supprime la torture. C'est également avec cette loi qu'est uniformisée la méthode d'exécution, « Tout condamné à mort aura la tête tranchée », cette phrase restera dans le Code pénal français jusqu'à l'abolition . En 23 ans, 19 criminels de droit commun ont été guillotinés

le Maroc. I- La peine de mort : situation dans le monde 1- Un long débat sur la peine de mort : 30 novembre 1786 : Sous le règne de Pietro Leopoldo, le Grand Duché de Toscane est le premier Etat à abolir la peine de mort et la torture. C’est à cette époque que Cesare Beccaria avait publié son traité « Des délits et des peines » qui prônait la suppression de la peine capitale, alors que l’abolitionnisme n’était que très peu répandu. 12 février 1876: Thubten Gyatso, 13e dalaï-lama, voit le jour. « Avant-gardiste

introspectif : infractions contraires à la morale et à la religion. Il était brutal : peines de mort mais aussi peines corporelles. B) Rupture de la révolution : code pénal de 1791 Beccaria a écrit un traité « Traité des délits et des peines » en 1764. Sous l’influence de Montesquieu et Beccaria les évolutionnaires vont adopter le principe de la légalité des délits et des peines. Ce principe veut dire que les infractions et les peines leur correspondant sont prévues d’avance. On passe

d’un système de jugement de Dieu et d’ordalies. La suite de ces jugements a été la légalisation de la torture qui a été employé pendant tous l’AR comme instruments d’investigation avant le procès c’est à dire pour obtenir l’assurance que la personne que l’on allait juger était coupable. Autre problème sous l’AR : la torture bien pour les vilains, les nobles n’étaient pas soumis à la torture ni exécuté de la même manière : on ne pendait pas un noble. Alors il y avait donc plusieurs justices

des Lumières contre les pratiques de leurs temps ne remet pas en cause la peine de mort, mais le plus souvent le déroulement des procès (où, selon eux, règnent la déraison et les passions religieuses) ou certaines pratiques jugées barbares comme la torture. Dans Le Dernier Jour d'un condamné (1829), Victor Hugo montre que la peine capitale peut se révéler un crime. Certes elle tue avant tout un criminel, mais ce faisant elle tue aussi indirectement sa vieille mère et son épouse malade qui ne peuvent

des Lumières avec des auteurs qui ont marqués les esprits comme Victor Hugo, et sa première abolition remonte à 1786 avec le grand-duc Pierre-Léopold de Toscane (futur empereur germanique sous le nom de Léopold II) sous les conseils du criminologue Beccaria. Les principales méthodes d’exécutions utilisés sont l’injection létale (Chine, États-Unis, Guatemala, Thaïlande), la chambre à gaz, l’électrocution (Etats-Unis), la décapitation (Arabie saoudite), l’exécution par arme à feu (Biélorussie, Chine

n’y a pas que le dommage social qui importe. 2. La justification utilitariste On s’abstrait de la justification religieuse, on s’interroge sur l’utilité sociale de la peine. Raison de la punition : porter atteinte aux règles de la société. Beccaria, Montesquieu, avec leurs écrits, font basculer la conception de la peine après la Révolution : il faut punir pas plus qu’il n’est juste, pas plus qu’il n’est utile. 3. Réaction à la doctrine traditionnelle L’école positiviste. Enrico Ferri :

grâce, réservé au souverain, permettait cependant d'échapper à la sentence dans certains cas. Jusqu'au XVIIIe siècle, nul ne songeait à remettre en cause la peine de mort comme sanction des crimes les plus graves. C'est un juriste italien, Cesare Beccaria, qui le premier défendit la thèse de l'abolition totale de la peine capitale. Son traité Des délits et des peines, paru en 1764, connut un très grand succès dans toute l'Europe et fut traduit dans plusieurs langues. II)Les exécutions : 1)Les

pourquoi syst est en crise suralimentation du systéme, protagoniste appartient partie + précarisé. Système maintient + précaire d’entre nous. La crise se manifeste par le maintien des + précaires ds le système de justice pénale. Le comité europ ctre la torture certaine peine st ctrr à l’art 3. Définie pas la sanction, tte discipline scientifique doit avoir 1 objet et conforme aux ppes fdtx. Définie pas la fonction ds la loi ms jpdce et doctrine.- les choses st def + la lib est grde. Si def crime on