Beauté Cruelle

blanches » ; beauté « vos yeux si beaux » et douceur « vous » rime avec « doux »  poète essaie de la rendre complaisante à l’égard de ses fautes « que je dorme un peu » dernier vers  atténue la dm car il sait que la réponse est précaire et incertaine + signe d’un amour qui n’est pas durable Conclusion : Ainsi, on trouve beaucoup de grâce et d'émotion dans ce poème où Verlaine évoque la femme dans toute la plénitude de ses différents rôles : capable de faire le mal si elle est cruelle, rassurante

guerre qui attire avant tout son attention. b) La guerre est harmonieuse (auditivement et visuellement) Visuel : Accumulation d'adjectifs mélioratifs (l.1), renforcée par l'adverbe d'intensité « si » → hyperbole Champ lexical de la beauté « beau, brillant, ordonné, harmonie » Symétrie harmonieuse par « l'avaient traité de même » l.18 et les deux rois qui se font chanter des Te Deum l.9 et de « chaque côté » l.4 Auditif : Accumulation l.1-2 d'instruments de musique = harmonie

qui célèbre une parie du corps de la femme de manière élogieuse, le contre-blason dévalorise et se moque de la femme. Ici, le poète est particulièrement cruel dans ces attaques. Il prend le contrepied de la tradition amoureuse de la poésie. Nous pouvons penser que Scarron se moque de Ronsard qui, dans son recueil Les amours, avait célébré la beauté des femmes et notamment celle d’Hélène de Surgères. « A mademoiselle » Oui, femme, quoi qu'on puisse dire Vous avez le fatal pouvoir De nous jeter

métaphores pour leur rappeler que leur beauté est éphémère. (Citation associant la beauté de la femme à celle de la fleur) – Mais le poète peut aussi faire le choix d’une image provocante de réalisme pour nous contraindre à appréhender le temps qui passe… Queneau s’inspire bien de la nature quand il évoque la beauté de la "fillette" dont il admire "la taille de guêpe" ou "le teint de rose"… Mais il quitte ce langage imagé pour révéler avec une trivialité cruelle le devenir de sa muse, condamnée au

m'ont-ils rendu la proie ! Je souffre tous les maux que j'ai faits devant Troie. Vaincu, chargé de fer, de regrets consumé, Brûlé de plus de feux que je n'en allumai, Tant de soins, tant de pleurs, tant d'ardeurs inquiètes... Hélas ! fus-je jamais si cruel que vous l'êtes ? Pyrrhus pousse tout de même le bouchon un peu loin en comparant ses remords aux horreurs du massacre des Troyens. Il s'en rend compte sans doute qui suspend ses jérémiades par trois points de suspension. Franchement, à la place

idéal. La femme incarne le calme, la douceur, la tendresse. En effet dans le 2ème cycle consacré à madame Sabatier est marqué par le calme, la douceur, la tendresse. Exemple, « l’invitation au voyage », Baudelaire écrit « là, tout n’est qu’ordre et beauté, Luxe, calme et volupté » vers 13. Cet accès à l’idéal a souvent lieu dans l’irréel du rêve ou du souvenir. Par exemple dans le poème « le balcon », Baudelaire évoque le souvenir de la femme aimée. Femme, figure du spleen : femme représente le mal

d'animaux malades et sort de l'assemblée avec assurance. Tous furent émerveillés par sa beauté; de son pelage roussâtre d'automne et surtout de ses longs bois brillants sur son front. Puis d'une voix claire et forte, il déclara : " - Je vous salue, chers amis et animaux, dans cette période difficile dans laquelle nous sommes tous concernés. Cependant, permettez-moi de vous remettre en question sur cette solution cruelle et injuste. Tout d'abord, depuis le début de ce conseil, je n'ai entendu peu

amour serait solitude… une vie sans tendresse serait cruel…une vie sans confiance serait vide… mais sans ami ce ne serait pas une vie Dans notre monde, tout change, mais une chose reste certaine: tu resteras toujours mon ami, au-delà des mots, au-delà du temps et au-delà de la distance J'ai gagné 6 billets d'avions vers le Bahamas et comme tu es un ami proche j'ai pensé à toi pour………sortir les poubelles merci Il y a 7 merveilles du monde: la beauté, la gentillesse, l'humour, le sexe, la fidélité,

Acte III, scène V NOMS NOM Mère, il me faut vous informer D’un secret que mon cœur ne peut plus renfermer. Hélas, un cruel destin me poursuit, Mais qu’ai-je fais pour que les dieux me punissent ainsi ? Moi qui, contre l’amour souvent révolté J’ai pourtant croisé le regard de cette Cléomée. Et mes yeux soudainement enchantés, On vus en elle sa grâce et sa beauté. Mes yeux alors, mes yeux n’avaient pas vu le roi, Dont l’âme s’était épris de la même que moi. Mais las, quel parti prendre

venir ici,» -Sonnet 29, «Je hais plus que la mort un jeune casanier,» -Sonnet 30, «Quiconque, mon Bailleul, fait longuement séjour» -Sonnet 31, «Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,» -Sonnet 34, «Comme le marinier, que le cruel orage» -Sonnet 36, «Depuis que j’ai laissé mon naturel séjour» PréfaceJe me suis toujours posé la question de savoir quelle était la vraie pensée du poète lors qu'il écrivait un poème et comment savoir que notre interprétation est la bonne, car