Beauté Cruelle

les deux est difficile, voire impossible. Dans ce contexte maritime, Baudelaire décrit les marins cruels brutaux et grossiers qui s’en prennent aux albatros. Ces marins apparaissent surtout comme un groupe d’homme « les hommes » « l’équipage » et n’est aucun décrit avec précision. les membres de l’équipage apparaissent même assez différenciés « l’un agace » « l’autre mime » Cet amusement cruel décrit dès le premiers vers du poème » : »souvent pour s’amuser, les hommes d’équipage prennent des

changement à vue rappelle l’esthétique baroque de la surprise, de l’anamorphose. On le voit toute la force de la démonstration s’appuie sur le tableau sans complaisance de l’humaine condition. De quoi dépend son efficace ? II Un tableau vivant et cruel Les procédés de l’hypotypose L’hypotypose est le fait de faire apparaître un tableau dans sa vivacité sous les yeux du lecteur. Ce procédé est permis par l’emploi du présentatif « ici » en début de vers, et « d’autre costé » au

la Renaissance. Le poète se met en scène à partir du v.3 par les marques de la 1e personne « mes » : mais il ne se présente pas comme un vassal de la dame aimée, contrairement au thème pétrarquiste qui met en soumission le poète face à une femme cruelle. Ronsard se met en valeur dans toute sa gloire poétique : « mes vers » : allitération : reprise consonantique du « v » : « vous », « émerveillant » et en se plaçant en début de vers dans la bouche-même de son amante nostalgique présentant ainsi une

règne la misère tant matérielle que morale mais qui est tout de même choisi comme lieu de création poétique. b. La figure paradoxale du soleil- Le soleil évoqué au vers 3 apparaît comme un ennemi : « le soleil cruel frappe à traits redoublés » : on trouve le ch. lex. De l’agressivité : « cruel », frappe », « traits redoublés ».- v. 4 « Sur la ville et les champs, sur les toits et les blés » : le premier hémistiche cite les espaces : ville, campagne, le deuxième répète la même idée en utilisant la métonymie

représentation est la connaissance fournie par le sens ou par la mémoire. Si l’art est la représentation d’une chose, cette chose peut-elle être laide ? La représentation de la laideur peut-elle être une œuvre d’art ? L’art ne doit-il pas représenter la beauté pour être réussi ? Pour répondre à ce questionnement, il faut en premier se demander qu’est-ce que la laideur ? Le laid est quelque chose dont l’aspect heurte le sens esthétique, l’idée que l’on a du beau comme par exemple, un objet laid. La laideur

à l’éducation qu’a reçu la jeune fille. C’est le passage central du texte, qui donne à cette présentation une importance décisive pour la suite. I) L’art du portrait 1) L’effet d’attente C’est par une sorte d’énigme que débute le portrait : « beauté » (L1 et 2) est un terme abstrait. C’est une inconnue qui arrive à la cour ce qui crée un effet de mystère. Le récit marque un temps d’arrêt (L 3 à 21) en revenant sur son passé. On apprend deux éléments objectifs qui nous donnent des indices sur

avec un air de fatuité, comme pour les prier d’ajouter leur approbation à son contentement. “Dans Salon de 1846et non sans ironie, Baudelaire déclarera « l’habit noir et la redingote ont non seulement leur beauté politique, qui est l’expression de l’égalité universelle, mais encore leur beauté poétique, qui est l’expression de l’âme publique ; – une immense défilade de croque-morts, croque-morts politiques, croque-morts amoureux, croque-morts bourgeois ». Pour lui le noir de l’habit, la « livrée

les Ottomans sont associés à une lignée illustre et sont porteurs de beauté et de valeurs guerrières (vers 10 et 11). La beauté s’exprime à travers la métaphore filée des vers 2 et 3, et celle du vers 16 « ville aux dômes d’azur » désignant Athènes, et s’entremêle au courage physique dans la bataille : sa description utilise les couleurs « sombre[s] » et « or », contrastées et évocatrices d’un univers à la fois beau et cruel. Cet entremêlement, correspondant à l’esthétique romantique, se lit dans

muflerie dans le terme « joyeux » qui marque l’insouciance et la lâcheté de celui qui a abandonné la princesse, après l’avoir compromise ; – 2e partie : trahison avec une nouvelle maîtresse, Mme de Noirmoutiers ; trois « raisons » sont avancées : sa «beauté », son « esprit » et elle « donnait beau coup d’espérance », c’est-à-dire opposait moins de résistance ; on sent l’ironie sous-jacente dans cette expression. Le calvaire de la princesse de Montpensier Phrase après phrase, on suit la progression

Séduisante , séductrice , cruelle , malheureuse , joyeuse , la femme chez Munch est d'une beauté pleinement assuré. Il semble plutôt mettre en scène la toute puissance de la beauté et de la sensualité féminines. Le tableau que je vous présente est une femme en pleurs , un nu , peint en 1913. Au premier plan une femme nu , défaite et brisée c'est du moins l'impression qu'elle nous donne. Le fait qu'elle est cache son visage avec ses longs cheveux de couleur brun donne l'impression d'une femme