Beauté Cruelle

l’influence des femmes aimées, ce recueil illustre les ambivalences du poète, déchiré entre le Spleen, l’angoisse, et la recherche de l’Idéal, c’est-à-dire de la beauté. Le titre de la principale section est d’ailleurs Spleen et Idéal. Il s’agit pour Baudelaire de tirer « les fleurs » du « mal », c’est-à-dire de transformer l’horreur et l’angoisse, en beauté. « L’Horloge » est le quatre-vingt-cinquième poème de la section Spleen et Idéal ». Composé de six quatrains d’alexandrins, le poème montre la victoire

ne pouvait que perpétuer et renforcer de tels comportements à l’égard des roux. Comme le développe l’ouvrage Une Histoire Symbolique du Moyen-âge, de Michel Pastoureau, l’individu aux cheveux roux, dans l’imaginaire collectif, demeure par nature cruel et laid. Toutefois, les défauts qu’il porte dans son identité capillaire évolue avec la doctrine chrétienne et s’apparentent progressivement à la malignité et à la trahison. Parallèlement, un basculement s’opère au sujet des femmes rousses. Leur

tableau gardera une telle beauté et que lui par contre s’enlaidirait (sentiment inspiré par Harry qui lui parle des méfaits du temps). Par la suite Dorian rencontre une comédienne, Sibyl, et ils tombent amoureux. On apprend peu à peu que c’est seulement de son art qu’est amoureux Dorian puisque par la suite, la comédienne perdant ses moyens, destabilisée par l’amour qui la lie à Dorian, elle perdra son talent et par la même occasion, l’amour de Dorian. Il lui tient un discours cruel, lui disant que sans

lent. L'évocation de la fin de la journée "au soir" V.1 fait penser à la fin de la vie. Il y a une opposition futur/passé avec "serez" V.1 "direz"V.3 "célébrait" V.4 = la femme était la muse du poète et "j'étais" V.4, souligne la différence entre la beauté de la jeunesse et la vieillesse. - Evocation de vieillesse et la mortmes explications à développer : le premier tercet et le premier vers du second tercet opposent la mort du poète avec la présence du champ lexical de la mort : "sous terre" V.9 "fantôme"

blesse, comme lorsque que quelqu'un tente de s'enfuir d'un chien, mais qu'il est rattrapé et mordu sur le talon. Dans toute cette angoisse tout semble noir, comme par exemple dans les vers suivants « Par moments, voyant l'homme ingrat, fourbe et cruel, Satan lui prend la main sous le linceul de l'ombre. » (p.347, vers 20-21). Victor Hugo utilise une métaphore en disant linceul de l'ombre pour créer une image de nuit. Alors il insinue que lorsqu'il fait nuit, l'homme fait de mauvaises choses quand

jeune orpheline de seize ans, élevée par sa mère selon de rigoureuses règles de morale, parait pour la première fois au Louvre. Le prince de Clèves, honnête homme d'une grande droiture morale, tombe amoureux d'elle dès qu'il l'aperçoit. Ébloui par sa beauté, il la demande en mariage. Mlle de Chartres n'a aucune expérience de l'amour et l'épouse sans être amoureuse de lui. Après s'être mariée, Mme de Clèves rencontre, à la cour, le duc de Nemours. Naît entre eux un amour immédiat et partagé. Mme de Chartres

soit pour se débarrasser de ses maux. Le poète, un être sensible, est envahi par la sensation d'étouffement. Tout ce qui se passe dans ce monde, ce qui ne l'accepte pas et ce que lui, n'accepte pas non plus, le serre et il devient victime de ce monde cruel ou de ses sensations. Le sentiment qui domine ici et qui est peut-être le plus dangereux est le sentiment d'impuissance. Il voit très bien qu'il est seul et que le monde est beaucoup plus fort. Tout ce qui lui reste est de se renfermer dans son être

parut alors à la cour », cela marque un effet de rupture, une sorte de première apparition qui attire le regard « tous les regards ce portent vers cette beauté ». Le regard et l'apparence sont important, importance également du mot « admiration », dans ce mot il y a une louange et de l’étonnement. Le mot « beauté » est repris deux fois, c'est une beauté qui dépasse celle des autres femmes. D'abord on est frappé par les termes élogieuse. Le récit marque un temps d 'arrêt qui permet de revenir sur son

vitesse des mouvements : début lenteur ≠ fin précipitation. III- Un conte cruel a) Un univers manichéen * JVJ -> méchant, effrayant : * Eclairage crépusculaire : transformation négative (l.42). * Son physique : pesanteur, massivité. * être instinct (« brusquement », « rapidement », « convulsivement »). * Opposition avec l’image de l’enfant -> frais, pur, innocent (l.55) : beauté, jeunesse, trivialité. * Contraste saisissant. b) Objet de la quête

la beauté est quelque chose ou quelqu’un digne d’admiration. En effet, le premier poème de notre anthologie, " Les Ingénus » de Paul Verlaine (1844-1896) dresse le portrait d’une belle femme. Celles-ci sont le septième poème des Fêtes galantes. Le titre à lui seul indique des personnages qui parlent d'une innocente franchise et de leurs sentiments. Verlaine reprend dans ce poème le même ton désabusé et désenchanté de l'amour à travers un groupe de "belles rêveuses" présentées comme cruelles. Dans