Beauté Cruelle

Lecture analytique n°18 : « Une Charogne » de Badelaire Baudelaire, auteurs de Les Fleurs du Mal, condamné en 1857 pour « outrage à la morale publique » avait en effet un objectif novateur : atteindre la beauté poétique même par le biais du mal, comme le suggère d’ailleurs le titre. Le poème « Une Charogne », poème de la section « Spleen et Idéal » supprimé à la suite du procès, nous permet ainsi d’assister à la naissance d’une de ces fleurs du Mal. Ce poème présente d’abord une description macabre

de la dualité, surtout la dualité entre le Bien et le Mal. Il correspond profondément à esthétique du poète, qui consiste à « extraire la beauté du Mal », son projet donné dans la préface. Il faut retenir d’abord le caractère paradoxal du titre, puisque le mal ne donne habituellement pas lieu à la beauté. La fleur représente en poésie baudelairienne la beauté et la pureté, elle symbolise la femme. Le mal est tout au contraire symbole du malheur et de la misère, sociaux, physique ou métaphysique,

Cérémoniale monstrueux (a-b) a)Répétitif (imparfait, « jamais », « souvent », un déroulé/ scénario) Sacré (beauté de la femme= déesse= sacré) Corneille personnification femme b) Excès beauté (oxymore « inhumaine beauté », énumération beauté fm, excès provoque dégout= contraste) Déportés « monstrueux » (énumération laideur) Plaisir sadique et cruel Gargantua Auteur : Rabelais Date : 1534 Genre : Utopie

dépendance par ex). Les « vieux » ne sont plus partie prenante de la société, ils ne travaillent plus. Peut-on encore penser en termes de solidarité ? Sous quelle forme ? La société actuelle est une société qui privilégie avant tout la santé, la beauté. L’essai dénonce également le « jeunisme » : On oublie le relai historique et oral que sont les personnes âgées ; on ne prend plus le temps de les voir et de les écouter : « altération de leur identité sociale » Il s’agit d’un essai complémentaire

malheureux dans ma petite boule, mais je n'étais point satisfait. J'ignore encore comment j'ai pu être un si grand amoureux, d'ou surgissent mes mots et comment dans les phrases qu'elles composent font la beauté du discours. Parfois je suis surpris par mes propres propos. Tu m'as ouvert sur un monde de beauté et de jouissance hors pair, un monde dont j'ai cru avoir perce l'intimité mais qu'avec toi si près de mon coeur m'a révélé encore plus de surprises, encore plus de dimensions. Chérie je t'aime comme

brutalité d'un viol. Les navires sont désignés par un pin ("pinus") métonymique, dont la silhouette verticale est plantée sur les "ondes azurées" ("caeruleas undas"), ainsi bafouées et méprisées ("contempserat") par des gens incapables d'admirer la beauté de la mer, puisqu'ils sont animés par un utilitarisme sordide. D'une manière analogue la pierre plantée ("fixus … lapis") dans les champs, pour devenir une borne, achève de détruire un paysage idyllique, car les champs sont une dégradation de la nature

leur annoncer le retour du beau temps. Sa robe était nouée par cette fameuse ceinture sur laquelle paraissent les grâces, les cheveux de la déesse étaient attachés par derrière négligemment avec une tresse d'or. Tous les dieux furent surpris de sa beauté, comme s'ils ne l'eussent jamais vue, et leurs yeux en furent éblouis, comme ceux des mortels le sont, quand Phébus, après une longue nuit, vient les éclairer par ses rayons. Ils se regardaient les uns les autres avec étonnement, et leurs yeux revenaient

Lecture cursive Séquence 1 Etude d’une œuvre intégrale : La Princesse de Clèves, Mme de La Fayette, 1678 Problématique : En quoi La Princesse de Clèves est-elle une femme symbole du renoncement ? Textes :  « Il parut alors une beauté à la cour […] pleins de grâce et de charmes. » (tome 1)  « Le lendemain qu’elle fut arrivée […] une passion et une estime extraordinaires. » (tome 1)  « Elle passa tout le jour des fiançailles […] ne put admirer que Mme de Clèves. » (tome 1)

serviteurs si ils ont fait tout ce qu’elle leur a dit de faire, page 35, puis elle énumère les défauts qu’ils ont laissé, haut de la page 36.! ! Dans la deuxième partie, il y a un champ lexical dit par Coelio à sa mère pour faire l’éloge à sa beauté, qui commence par « belle » l.57, et qui continue par gradation à la noblesse « noble front » l. 58, puis a la royauté « port majestueux d’une reine » l.60 et qui finit par comparer Hermia à une déesse « Diane chasseresse » (Déesse latine de la

aux Montagues, je repousserai les hommes du mur et j’y adosserai les femmes. GRÉGOIRE La querelle ne regarde que nos maîtres et nous, leurs hommes. SAMSON N’importe ! je veux agir en tyran. Quand je me serai battu avec les hommes, je serai cruel avec les femmes. Il n’y aura plus de vierges ! GRÉGOIRE Tu feras donc sauter toutes leurs têtes ? SAMSON Ou tous leurs pucelages. Comprends la chose comme tu voudras. GRÉGOIRE Celles-là comprendront la chose, qui la sentiront. SAMSON