Voyage de nuit-victor hugo
L'angoisse fait faire toutes sortes de choses, dans ce cas-ci, tout est perçu d'un point de vue négatif, comme s'il empêchait toutes formes d'optimistes, on le remarque au vers suivant : « Ce qu'un prête édifie, un prêtre le détruit » (p.347, vers 3). Un prêtre ne va pas forcément détruire ce qu'il édifie, on voit que le côté négatif ressort beaucoup. Dans cet extrait l'utilisation d'un parallélisme réussit à bien mettre en lien les deux choses qu'un prêtre peut faire. Il n'y a pas que des pensées négatives, il y a aussi un souvenir négatif de Victor Hugo qui est refoulé dans ce vers : « Que le vieux temps revient et nous mord les talons » (p.347, vers 15). Victor Hugo fait allusion au décès de sa fille quand il parle du vieux temps. Il utilise une métaphore pour nous exprimer sa douleur en disant « nous mord les talons ». Il créer un image de ce qui le poursuit et qui le blesse, comme lorsque que quelqu'un tente de s'enfuir d'un chien, mais qu'il est rattrapé et mordu sur le talon.
Dans toute cette angoisse tout semble noir, comme par exemple dans les vers suivants « Par moments, voyant l'homme ingrat, fourbe et cruel, Satan lui prend la main sous le linceul de l'ombre. » (p.347, vers 20-21). Victor Hugo utilise une métaphore en disant linceul de l'ombre pour créer une image de nuit. Alors il insinue que lorsqu'il fait nuit, l'homme fait de mauvaises choses quand Satan lui prend la main. La noirceur nous est démontré de plusieurs façons dans le texte, comme on le voit dans cet extrait : « Nous appelons