Beauté Cruelle

Certes la femme est liée à la nature mais elle est dangereuse ? Dans le vers 1 le groupe nominal est associé à un adjectif qualificatif négative. D’ailleurs la première repose sur une antithèse mise en valeur par le connecteur d’opposition « mais ». La beauté cache donc le danger/le poison. L’image de la nature est donc dégradée, elle perd même sa dimension poétique. C’est un espace clos qui est fermé qui est évoqué. Il a une dimension prosaïque (contraire de poétique), il sert à parquer les vaches. Il

les traits d’une femme, le plus souvent par l’utilisation de la majuscule. C’est le cas pour la nature « Du temps que la Nature en sa verve puissante » (XIX), la mort « La Mort nous tient souvent par des liens subtils » (XL), la beauté « Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques » (XXI), la douleur « Sois sage, ô ma Douleur », l’élégance, la force « L’Élégance et la Force abondent, sœurs divines » (XX), la folie « Te pavaner aux lieux que la Folie encombre » (XXXVII), la nuit « Où, seul

Comme on voit sur la branche /…/ Comment le poète parvient-il à vaincre la mort ? Introduction 1. L'éloge de la beauté : 1.1. la comparaison Marie // la rose 1.1.1. la structure du poème : séquence 1 texte 3 1 comparaison (comparé = Marie, Comparant = la rose, terme générique) "Comme" et "Ainsi", rôle de la volta, vers 9. Sonnet 2 quatrains (éloge de la rose et mort), 2 tercets (éloge de Marie, mort et obsèques). rendre hommage à la jeune femme à travers l'image de la rose et tout ce dont cette

=>résume la doctrine amoureuse de DJ arg2 -''lorsqu'on est maître une fois, il n'y a plus rien à souhaiter'' =>Il ne peut y avoir d'amour sans nouveautés et sans multiplication des conquêtes. arg3 -abondance des pluriels ''toutes les autres beautés, toutes les belles, aux autres, le mérite de toutes, les inclinaisons naissantes'' =>multiplication des conquêtes. Renforcé par l'anaphore ''tout'' c-La conquête amoureuse associée à une conquête guerrière arg1 -champ lexical de la guerre

la vue, puis l'odorat et enfin l’ouïe. Le poète emploie « verdâtre et le rose lutin » pour la vue, « exhalant l'odeur et la santé » pour l'odorat, et finalement « des chansons » pour l’ouïe. Hymne à la beauté Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme, Ô Beauté ! ton regard, infernal et divin, Verse confusément le bienfait et le crime, Et l'on peut pour cela te comparer au vin. Tu contiens dans ton œil le couchant et l'aurore ; Tu répands des parfums comme un soir orageux ; Tes

EN PRISON : « CHANTER SON MAL… » • DISSERTATION • SUJET 7 C O R R I G É La poésie 07_FRA051126_03C.fm Page 65 Jeudi, 26. juillet 2007 3:47 15 Pour Musset, la raison ne peut engendrer la beauté et si, pour lui, les « chants les plus désespérés sont les chants les plus beaux », c’est qu’ils émanent du cœur. Le cœur, siège du désespoir et de la souffrance, est aussi le principe créateur poétique, seul capable de génie esthétique : « Ah ! Frappe-toi le cœur ! C’est là qu’est le génie

interrogé sur la beauté qui semble continuellement lui échapper. Elle s’inscrit dans le cadre d’une évolution continue, conditionnée par le changement des codes, la mutation des discours sur l’esthétique et l’originalité des créations via divers modes de représentation. Le souci pour le beau a existé depuis longtemps, même s’il est considéré parfois comme un sujet futile. En réalité, c’est un débat qui concerne aussi bien les hommes que les femmes. Avec le temps, la beauté est devenue un véritable

cle unique         b. mise en scène visuelle   ­anaphore de l’adverbe d’intensité “si” ,énumération précédée d’une tournure superlative de supériorité  “rien n’ “   => spectacle au summum de la beauté & aspect cérémonial   ­ “les deux armées” “ ordonné”  => impression d’ordre, d’harmonie et de beauté   ­“ du théâtre de la guerre” (polysémie= plusieurs sens) => lieu de la guerre + guerre vue comme un  spectacle, une représentation théâtrale  ccl:​  La réalité est déformée pour assimiler la guerre à un divertissement sonore & visuel 

larmes, L'air brisé, la stupeur, la morne volupté, Ses bras vaincus, jetés comme de vaines armes, Tout servait, tout parait sa fragile beauté. Etendue à ses pieds, calme et pleine de joie, Delphine la couvait avec des yeux ardents, Comme un animal fort qui surveille une proie, Après l'avoir d'abord marquée avec les dents. Beauté forte à genoux devant la beauté frêle, Superbe, elle humait voluptueusement Le vin de son triomphe, et s'allongeait vers elle, Comme pour recueillir un doux remerciement

Ronsard dans ce sonnet adressé à Hélène. Si elle se reconnaît dans l'image cruelle d'une jeune femme nostalgique, elle comprendra qu'il faut profiter du présent. La vie humaine est aussi brève que celle des roses.  On pourra analyser successivement :  I. L'originalité de la demande amoureuse.  II. La célébration de la poésie  I. ORIGINALITÉ DE LA DEMANDE AMOUREUSE  1. Une image peu flatteuse.  Sa beauté est passée. Ce sonnet a été écrit pour Hélène, or il ne cherche pas à la célébrer