Beauté Cruelle

parfaite du bal. Le désordre extérieur est à l’image du désordre intérieur de la princesse. B) Les points de vue Plusieurs points de vue différents se détachent de cette scène de bal. L’extrait commence par un point de vue externe. «  L’on admira sa beauté et sa parure » (L.1). Ensuite nous avons un point de vue interne « L’arrivée du Duc » (L.2 à L.11). Ce sont les pensées de la princesses, «  elle se tourna » (L.5), « elle vit » (L.5), « elle crut » (L.5). Point de vue interne du Duc (L.12/13). Point

la cruauté, comme trait spécifique de la nature humaine. L’enjeu du poème est de montrer que les différences sociales peuvent être dépassées. En effet, une égalité symbolique entre le riche et le pauvre est possible, celle-ci étant due à la nature cruelle de l’homme qui commence dès l’enfance. Désormais, nous procéderons à l’analyse de l’écrit. Pour ce faire, nous avons décidé de diviser notre poème en six parties. La première partie qui se situe aux deux premières lignes s’intitule "intervention de

naturalisme et s’aligne à Paul Verlaine (pierre angulaire du décadentisme) par les thèmes mis de l’avant: pessimisme, rêve, mélancolie, symbole de la femme, etc… Or, est-il juste d’affirmer que, dans les poèmes « Mon Rêve familier », de Verlaine, et « Beauté cruelle », de Nelligan, la représentation de l'amour est similaire? Nous répondrons à cette question en observant l’ouverture des femmes face à l’amour, la vision onirique de cette entité et la description des modèles féminins symbolisés. Tout compte

première lecture j'ai rapidement observé que que la femme n'avait pas de prix, vous rendait heureux, pareille à un surhomme. Je l'ai déduit grâce aux nombreuses allégories féminines présentes dans le recueil. On peut donc y voir la femme représenter la beauté car cette dernière « marche sur des morts dont [elle se] moque ». On peut aussi la voir représenter la nature car « en sa verve puissante [elle] concevait chaque jour des enfants monstrueux ». Ou encore, la femme est tel la mort, elle « nous tient

la cour d'Henri II, les personnages sont idéalisés et sont porteurs de valeurs morales. Résumé de l’intrigue : Mademoiselle de Chartres vient tout juste, à seize ans, d'arriver à la cour d'Henri II. Cette demoiselle est très vite remarquée par sa beauté sans égale, notamment par le Prince de Clèves et le duc de Guise. Conseillée par sa mère qu'elle admire énormément elle devient Princesse de Clèves. Malheureusement, elle n'éprouve que de l'amitié pour cet homme et tombe amoureuse du duc de Nemours

élogieux: « belle », « pénétrants », « agréable », « jolie »… Superlatifs: « Peut-on rien voir de plus agréable? », « je n’ai jamais vu une si charmante personne », « elles sont les plus belles du monde ». Véritable assaut verbal, les mots « beau », « beauté », « beau » reviennent six fois dans le texte. Dom Juan, qui a compris la secrète ambition de Charlotte, flatte aussi habilement sa vanité et son désir d’ascension sociale: elle mérite mieux qu’un simple paysan. B) Le charme: Des déclarations d’amour:

Mais une foule d'amants de Dulichium, de Samos et de la superbe Zacinthe, s'attache sans cesse à mes pas. Ils règnent dans ta cour, sans que personne s'y oppose. Ils se disputent mon cœur et tes richesses. Te nommerai-je Pisandre, Poybe, Médon le cruel, Eurimaque, Antinoüs aux mains avides, et tant d'autres encore, que ta honteuse absence laisse se repaître des biens acquis au prix de ton sang ? L'indigent 23 Irus et Mélanthe, qui mène les troupeaux aux pâturages, mettent le comble à ta honte

Et les océans auront beau se soulever et les cieux s’embraser, jamais le chlore de tes yeux n’édulcoreront le supplice de ton sourire dévastateur et de tes caresses cruelles. Je m’abandonne à ton naufrage, à notre ivresse ténébreuse, pour retrouver un peu de haine qui me tenaillait autrefois les entrailles, lorsque les fleurs étaient encore jalouses des roses, pour que désormais, le martyr tombe amoureux de son bourreau. Mon visage entre tes mains pourpres, les lèvres empoisonnées d’attentat indécent

vôtre pareil. Las! voyez comme en peu d'espace,2 Mignonne, elle a dessus la place, Las, las ses beautés laissé choir O vraiment marâtre Nature, Puisqu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne Tandis que votre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez votre jeunesse: Comme à cette fleur, la vieillesse Fera ternir votre beauté. Pierre de Ronsard, Odes, I, 17 (1550/1552) 1. vesprée= ce soir 2. espace =temps  Originalité

contexte) et fixion (= personnages) met en place une héroïne romanesque idéalisée Plan Une beauté incomparable Un effet d'attente Idéalisation de sa beauté Idéalisation de sa personnalité Du portrait à une réflexion sur les dangers de l'amour Un discours moraliste Vertu de l'Amour Critique de la société Développement Une beauté incomparable Une effet d'attente au début de l'extrait : auteur ne donne pas le nom de l'héroïne