Barbusse Le Feu

les obus, est décrite minutieusement ainsi que la souffrance des soldats-martyrs. A l’Ouest rien de nouveau sera brulé lors des autodafés. Remarque sera condamné à l’exil et la nationalité allemande lui sera retirée. Vue des français : Barbusse écrit Le Feu, en 1916. C’est l’un des premiers livres à décrire les horreurs de la guerre. Il s’engage volontairement au sein de l’armée française en 1914 alors qu’il est âgé de 41 ans. Il est remarqué pour son courage. Il change vite d’avis sur la guerre

LITTERATURE FRANCAISE M.JULY HISTOIRE VUE PAR LES ECRIVAINS Roman historique Le feu H. Barbusse Problématique de la chronique de guerre ; Chapitre un et deux pour la semaine prochaine ; Œuvre de pleine guerre prix Goncourt ; dénonce la fleur au bout du fusil, roman qui va subir plusieurs contestations farouches et contradictoires ; critiquée par les militaristes ( propos pacifiste) et par les pacifistes : le propos politique n’est pas évident , l’auteur a enjolivé sa chronique pour en

|49/51 Rue Emile Zola – 93189 Montreuil Cedex. | | | | |FEU VERT : |11, Allée du Moulin Berger – BP 70162 – 69136 Ecully. | | |

1916 21 février-18 décembre : la bataille de Verdun Déclenchée par l’état-major allemand, la bataille de Verdun a pour but de "saigner à blanc" l’armée française. 15 décembre : Henri Barbusse reçoit le prix Goncourt pour Le Feu Engagé volontaire en 1914, puis pacifiste convaincu, Henri Barbusse signe l’un des tout premiers témoignages de vétérans des tranchées. A lire également : Les Croix de bois de Roland Dorgelès et A l’Ouest, rien de nouveau d’Erich Maria Remarque. 1917 2

Adrien Gustave Henri Barbusse, né à Asnières-sur-Seine le 17 mai 1873 et mort à Moscou le 30 août 19351, est un écrivain français, Il est issu d'une famille protestante d'origine cévenole (attestée au XVIIe siècle) dans un hameau d'Anduze, près d'Alès. Il s’est fait connaitre grâce au concours de poésie de L'Écho de Paris de Catulle Mendès. Son premier recueil de poèmes, Pleureuses, est publié en 1895. Admirateur de la Révolution russe, il anima le mouvement et la revue Clarté et chercha à définir

survivre et tenir au front. -1914-1918 : survivre et combattre. -Au front, l’enfer du combattant. -La vie quotidienne des soldats durant la 1GM -Combats et violence pendant la guerre (1914-1918) I. La violence des combats A. Une puissance de feu jamais atteinte auparavant (mortiers, obusnombreux et long bombardements : 60millions d’obus à Verdun entre fév. et juin 1916, fusils et mitraillettes) B. Des assauts inefficaces et meurtriers (inefficace car tranchées protègent : description, meurtriers

injonctions plus ou moins déguisées des différentes instances soviétiques et, d'autre part, avec des positions plus souples revendiquées par Henri Barbusse qui bénéficiait d'un important crédit littéraire en France (son livreLe Feu, prix Goncourt de 1916, avait été un énorme succès) et en URSS puisque Staline lui-même ne cachait rien de sa sympathie pour l'auteur. Barbusse se proposait d'être le chef de file d'une littérature engagée indépendante et ouverte aux auteurs bourgeois (les « compagnons de route »)

inventé. Ainsi, en les couchant sur papier, c'est une façon de ne pas oublier le Passé. En poèmes comme G.Apollinaire dans Poèmes à Lou où, Apollinaire entretient une correspondance avec sa bien aimée ou tout simplement dans un livre comme Le Feu d’Henri Barbusse. Ces témoignages sont ceux de guerres qui se sont déroulées il y maintenant longtemps et peut être bientôt n’existera t-il plus personnes pour être racontées. On garde aujourd'hui le souvenir de personnalité qui ont dénoncé la guerre

de côté comme un jouet rebondissant. Je me rappelle avoir enjambé un cadavre qui brûlait, tout noir, avec une nappe de sang vermeil qui grésillait sous lui, et je me souviens aussi que les pans de la capote qui se déplaçait près de moi avaient pris feu et laissaient un sillon de fumée. A notre droite, tout au long du boyau 97, on avait le regard attiré et ébloui par une file d’illuminations affreuses, serrées l’une contre l’autre comme des hommes. En avant ! Maintenant on court presque. On

nombreux romans sont publiés par les combattants. On en dénombre une trentaine environs. Les principaux étant : Dorgelès – La Croix de bois. (1917) Barbusse – Le feu. (1916) Genevois – Ceux de 14 => La mémoire des poilus fabriquent un type de romans. On remarque qu'un certain même nombre de choses reviennent. Si l'on prend l'exemple du Feu de Barbusse, la parole donnée aux soldats reste dans la langue d'origine, le roman prend alors plus de sens et plus de force. Il s'agit entre autre du roman qui