Barbusse Le Feu

et les soldats perdent leur humanité , ils avancent dans le brouillard inconscient du destin qui les attend . 2ème plan : Le ciel est orageux , obscur , et menaçant , les soldats ont écrasé par la fatalité arrivant sur eux , le rougeoiement du feu , du combat , et de la fumée qui s'en dégagent présente la réalité de la guerre . Présence de la roue qui signifie le début d'un cycle : un combat à mort qui est un éternel recommencement . Sur ce coté-ci du triptyque la lumière vient de la gauche mais

Dans ce chapitre Barbusse nous d’écrit la vie dans les tranchées, leur habitudes, il nous présente les soldats de son régiment … Ce chapitre est donc plus en rapport avec « le journal d’une escouade » -chapitre 3 : Ici on voit la relève, les différents régiment ce relève pour aller au front, la première ligne en rapport avec l’exposition au tire des balles, être sous le feu -chapitre 4 : L’histoire de Volpatte et de Fouillade et l’élément qui est le plus en rapport avec le feu, en effet il avait

récits de guerre Malgré la divergence de leurs positions politiques , l'ecrivain Henri Barbusse (1837-1935) est une reference constante pour Céline.Il publie en 1916 son ouvrage le plus connu Le Feu qui relate l'experience collective des tranchées en faisant le procès de la société . Son succès est considerable , il obtient le prix Goncourt (recompense que convoitera Celine en 1932 sans succès) .Dans le sillage de Feu de très nombreux récits sur la vie et la mort des combattants surgissent après l'armistice

un premier qui est au sol, un second blessé à la tête ensanglantée secouru par un troisième qui est sans casque, sans uniforme, sans masque, sans armes. Ce dernier qui ressemble à un fantôme regarde le spectateur. A l’arrière-plan, on distingue le feu du champ de bataille dans le ciel noirci par les fumées des bombardements. Dans la prédelle, un abri pour soldats endormis ou un caveau est représenté. On y aperçoit aussi des toiles d’araignées et des rats. b. Que veut exprimer l’artiste dans

les tranchées dangereuses. Les soldats peuvent y mourir noyer. À ces souffrances physiques, il faut ajouter des souffrances morales tels le risque de mourir lors d’une attaque et ne plus revoir sa famille ainsi que voir ses camarades tombés sous le feu de l’ennemi. Le nombre de morts élevé lors des attaques, comme à Verdun en 1916, poussent même certains soldats à se mutiner dans le but d’améliorer leur conditions de vie. II. La fatigue des corps et des esprits La fatigue des corps et des

souffles de la mort nous poussent, nous soulèvent, nous balancent. On bondit ; on ne sait pas où on marche. Les yeux clignent, s'aveuglent et pleurent. Devant nous, la vue est obstruée par une avalanche fulgurante, qui tient toute la place. Henri BARBUSSE, Le Feu, Journal d'une escouade, 1916, © Flammarion, 1917.

environnement dans lequel tous les sentiments sont poussés à l’extrême. De ce fait nous pouvons remarquer que la nature humaine se révèle plus particulièrement ici. La question de la condition humaine à la guerre prend alors tout son sens. Barbusse, dans le feu, explicite l’horreur de la guerre caractérisée par les bombardements incessants, la faim, les conditions de vie précaires, la mort omniprésente : la corvée, p405 « des corps gisaient s’érigèrent à moitié hors du linceul de boue qui, de leur

après l'horreur des combats, la paix se justifie. En effet, comme l'on peut le voir dans beaucoup d'ouvrages sur la guerre, les conditions dans lesquelles les hommes mènent les combats sont très souvent terribles. C'est le cas nottament dans Le Feu de Barbusse où l’horreur des combats, la peur permanente de mourir, les conditions de vie terribles dans les tranchées ainsi que l’épuisement physique et moral des hommes résument parfaitement l'horreur des combats. On peut également remarquer cela dans Les

|conflit mondial |(Dorgelès) livre et/ou film |(Kubrick) | |Thrène à la mémoire des victimes | | | | |- Le Feu (Barbusse) |- La Grande Illusion | |d’Hiroshima | | | | |- Cris (Gaudé) |(Renoir)

 Analyse sémiotique du texte “Le premier amour” de Henri Barbusse Etudiante: Ceban Veronica Le projet de la sémiotique consiste à décrire le sens. Les textes sont des manifestations du sens. Ils sont faits pour être lus. Un texte repose sur une logique : c'est une construction. Lire en sémiotique consiste donc