Autorité Publique Diderot

avantage. Le rôle des lobbyistes n'est pas de soutenir une doctrine, une idéologie. Il informe le politique, est un de ses partenaires, mais ne se substitue en aucun cas à lui. En résumé le lobbyiste n'est pas un commercial ni un chargé des relations publiques mais il est une interface entre celui qu'il représente et le monde politique. Il faut ensuite apprendre à reconnaître qui est lobbyiste et qui ne l'est pas. Par exemple, l'acte d'informer le politique qui est la base de l’action du lobbyiste n’est

souverains, il a le pouvoir de faire la loi. ● de l'autorité à la liberté ? Monarchie absolue sous l'AR → jusqu'en 1789 (en théorie). Le Roi n'est pas soumis à l’obéissance des lois et de la justice (Il est la loi et la justice!) Il y a une autorité large du roi: elle est à la fin du XVIII fortement critiquée, qualifiée de arbitraire. Autrefois considérée comme légitime, elle est désormais sujet à débat. On demande que le roi soit soumis à la loi, il doit respecter les libertés personnels. La

du Pyrée de manière géométrique et rationnelle .Cella permet à Athènes de sortir de son anarchie, et de définir aussi la cité idéale divisée en 3 classes artisans, combattants et agriculteurs. Le quadrillage sépare les espaces de la cité : sacré, publique et privé. Platon reprend ces idées en fondant dans la République une cité idéale dans un lieu utopique l’Atlantide qui est une critique de l’Athènes archaïque. Dans l’ancien testament La Jérusalem céleste décrite par Ezéchiel est une des plus

rivalité naissante va se conjuguer avec un deuxième facteur de discorde : l'appropriation. (qui laisse perplexes les indiens d'Amérique- Comment peut-on posséder le vent, les montagnes ou les rivières ??? – cf Supplément au voyage de Bougainville – Diderot). Les plus forts, les plus cupides vont se servir les premiers et aggraver les inégalités parmi les hommes. Contre ceux qui contestent, ils diront : « J’étais là le premier », se référant à un supposé droit du premier occupant. Pour Rousseau, l’appropriation

représente un moment décisif de cette histoire par le lien qu’il établit entre la volonté générale et la simplicité des voies divines. Elle a été employée enfin en un sens laïque et politique par plusieurs auteurs, entres autres, par Montesquieu et Diderot. Il s’agit donc d’une longue progression, celle de la « transformation du divin en civique », qui a assuré la sécularisation de la volonté générale avant qu’elle ne soit utilisée par Rousseau. S’il en est ainsi, la question qui se pose désormais

fait sien l’article de la Constitution qui reconnaît implicitement l’égalité des sexes en matière pénale [art. VII, VIII, IX et X de la Déclaration des droits de la femme]), de droit fiscal (obligation pour les femmes de participer aux dépenses publiques, la contrepartie de cette participation à l’impôt devant être l’accès des femmes à toutes les fonctions officielles [art. XIII, XIV et X]), du droit d’expression (la liberté, qui se définit pour la femme par le droit à la dignité de citoyenne, comportant

intérêts particuliers Portalis : « trop de lois tuent la loi ». Fin XVIIIème siècle : deux sortes de règles de droit : - loi - autres textes Catherine II de Russie ; différence loi et autres règles : la loi perdure dans le temps. Diderot ; la loi créé le bonheur constant, décret = bonheur instantané. Rousseau ; la loi exprime la volonté générale, et le décret a vocation à permettre l’exécution de la loi. B) Une loi sacrée par ses caractères Loi reflet du droit naturel, vocation

on pas penser que parfois , ce procédé est porteur pour l'homme ? En effet , si Galilée face à ses détracteurs avait renoncer à montrer en quoi il avait raison , nous serions peut être encore soumis aux lois trompeuses du géocentrisme.De même , si Diderot n'avait pas chercher à avoir le dernier mot face aux censures répétées de la publication de l'Encyclopédie Française sous l'égide de l'Etat et la religion , les populations du 18 ème siècle et des siècles suivants auraientt sans doute étaient privées

des citoyens, exerce lui-même sur lui-même. Il n’est pas même sûr que cette autorité souveraine soit fondée, en dehors ou en deçà de ce « corps politique7 » effectivement assemblé, par exemple dans une nature humaine qui résiderait en dernier ressort à l’échelle des individus et de leur raison. Ainsi, c’est en se faisant que le peuple se constitue et s’institue comme seul facteur de légitimité. C’est lui qui fera autorité, qui dictera la loi. « Peuple », ici, ne doit pas s’entendre au sens social

------------------------------------------------- Année Académique : 2012-2013 ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- THEME ------------------------------------------------- PHILOSOPHIE ET VIE PUBLIQUE ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Réalisé et présenté par : -------------------------------------------------