Au-delà de la gloire

s'intéresse ; J'admire ton courage, et je plains ta jeunesse. Ne cherche point à faire un coup d'essai fatal ; Dispense ma valeur d'un combat inégal ; Trop peu d'honneur pour moi suivrait cette victoire : À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. On te croirait toujours abattu sans effort ; Et j'aurais seulement le regret de ta mort. DON RODRIGUE D'une indigne pitié ton audace est suivie : Qui m'ose ôter l'honneur craint de m'ôter la vie ! ____________________________________________

l’enjambement : Tu contiens, mer d’ébène, un éblouissant rêve De voiles, de rameurs, de flammes et de mats : Un port retentissant où mon âme peut boire A grands flots le parfum, le son et la couleur ; Ouvrent leurs vastes bras pour embrasser la gloire D’un ciel pur où frémit l’éternelle chaleur. Je m’enivre ardemment des ardeurs confondues De l’huile de coco , du musc et du goudron. 3) La modification volontaire du réel par la rêverie. Ø On peut relever des phrases-programmes

quant lui, ne goûte vite plus aux charmes de la nymphe et ne partage plus sa couche que parce qu’elle le souhaite. Il passe toutes ses journées à pleurer, à littéralement se liquéfier, toutes ses pensées et ses regards portés vers la mer et, au-delà, vers son oikos. Ainsi, elle est celle qui, possessive et autrement solitaire, le retient pendant sept longues années. Plus encore, durant ces sept ans passés dans la grotte de la déesse, Ulysse est dissimulé au regard des autres mortels. Ne

pour se satisfaire, c'est l'amour des distinctions. Par amour des distinctions il entend. Le besoin de se distinguer, d’être unique ou différent aux yeux des autres ?et ce pour y arriver plusieurs alternatives s’offrent à nous telles que : la gloire, le luxe, la notoriété ?etc... Dans ce cas-ci il a pris comme exemple : le luxe On fait tout pour s'enrichir, mais c'est pour être considéré qu'on veut être riche On fait tout pour s’enrichir, non parce qu’on est pauvre et qu’on est dans

prend pour un héros et il utilise des termes hyperboliques comme « laurier » « gloire » « triomphe » (l36-38). Ces termes montrent que Valmont amplifie la réussite d’une séduction, il se voit comme un chevalier prêt a tout pour gagner ce qui fait écho a sa vision militaire des conquêtes amoureuses. Il parodie les valeurs chevaleresques et le registre épique. Comme Don Juan il se prend pour pour un conquérant. Au delà des effets rhétoriques cette métaphore de conquête récurrente a un sens dans le

ses convictions inflexibles l’amènent rapidement à la tête de l’ordre cistercien - ordre de moines qui repose sur des règles de vie très strictes (travail manuel ; grande pauvreté). Appelé désormais Bernard de Clairvaux, il développe son ordre au-delà des frontières du royaume de France et fonde de nombreux monastères dans toute l'Europe catholique. Il devient un des hommes les plus influents de son temps, intervenant dans les affaires de l'Église et des royaumes. Fervent défenseur de la croisade

sans mâts, sans mâts, ni fertiles îlots... Mais, ô mon coeur, entends le chant des matelots! Mallarme 3) Élévation Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par delà le soleil, par delà les éthers, Par delà les confins des sphères étoilées, Mon esprit, tu te meus avec agilité, Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde, Tu sillonnes gaiement l’immensité profonde Avec une indicible et mâle volupté. Envole-toi bien

ceux qui les visitent. Les navigateurs sont considérés ennemis c’est pourquoi les Sirènes, en invoquant le savoir, leur souhaitent la mort. De plus elles ne demandent pas à leurs visiteurs qui ils sont, elles le savent déjà : « Viens Ulysse fameux, gloire éternelle de la Grèce ». D’ordinaire, les créatures monstrueuses ne connaissent pas L’Iliade, c’est-à-dire la guerre de Troie, mais pourtant les Sirènes, bien qu’inhumaines, la connaissent et en font même mention dans leur chant : « Nous savons en

cheval, qu’il nomme Veillantif. Mais il tient ferme sur ses étriers d’or fin : où qu’il aille, il ne peut pas tomber. Texte 2 : Stendhal, La Chartreuse de Parme (1839) Un jeune noble milanais, Fabrice del Dongo, rêve de gloire et de liberté. Pendant les Cent Jours, il brûle de rejoindre l'armée de Napoléon. Sa tante Gina del Dongo, âme également généreuse, l'aide à réaliser son dessein. Voilà donc Fabrice à Waterloo ... Nous avouerons que notre héros était

l’enjambement :   Tu contiens, mer d’ébène, un éblouissant rêve De voiles, de rameurs, de flammes et de mats :   Un port retentissant où mon âme peut boire A grands flots le parfum, le son et la couleur ;   Ouvrent leurs vastes bras pour embrasser la gloire D’un ciel pur où frémit l’éternelle chaleur.   Je m’enivre ardemment des ardeurs confondues De l’huile de coco , du musc et du goudron.   3) La modification volontaire du réel par la rêverie.          On peut relever des phrases-programmes