Arrêt 79 1

Jurisprudence Les Références de la décision Cour de cassation L'acte d'enfant sans vie Chambre civile 1 Enfant mort-né 6 février 2008 N° du pourvoi : 06-16498 Les Faits Mme Y accouche le 20 mars 1996 d'un fœtus mort-né, pesant 400 grammes et de 21 semaines d'aménorrhée, mais personne ne l'a déclaré à l'état civil dans le but de faire un acte d'enfant sans vie comme l'indique l'article 79-1 alinéa 2 du code civil, il aurait dut y avoir un acte d'enfant sans vie qui soit effectué. La Procédure

Séance 2. La portée de l’arrêt Objectifs de la séance : • Replacer la solution d’un arrêt de la Cour de cassation dans son contexte jurisprudentiel. Il est nécessaire d’apprendre à : - utiliser le Code civil - établir des liens pertinents entre les données jurisprudentielles et l’arrêt à étudier • Maîtriser les conditions d’existence d’une personne physique • Distinguer les régimes juridiques de l’enfant à naître, l’enfant mort-né, l’enfant né vivant et viable • Circonscrire le champ

TD n°5wTD n°5 : les droits subjectifs- Les titulaires -Questions: 1) vous lisez attentivement l’article 16 du Code civil et expliquez la distinction opérée entre la personne et l’être humain. Vous vous interrogez sur la qualification de personne au sens juridique. « La loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à la dignité de celle ci et garantit le respect de l’être humain dès le commencement de sa vie ». Au sens juridique, une personne est un individu, homme ou femme

la naissance. Arrêt n°1 : Cass.1reciv.10 décembre 1985 Cet arrêt de cassation est rendu par la première chambre civile, de la Cour de cassation, le 10 décembre 1985. Cet arrêt est rendu d’après le moyen unique selon lequel, l’enfant conçu est réputé né chaque fois qu’il y va de son intérêt, relatif à l’acquisition de la personnalité à partir de la conception. Monsieur Segers, père de trois enfants dont deux issu d’un premier mariage, trouve la mort dans un accident le 1 mars 1980, alors

toutefois lieu à la rédaction d'un acte de l'état civil. *Art 79-1 du C.civ (envisage 2 hypothèses) : L'enfant qui vient de naître avant même que sa naissance est été déclarée. L'officier d'état civil va rédiger en même temps un acte de naissance puis un acte de décès. Les parents doivent rapporter un certificat médical démentant la naissance de l'enfant vivant et viable, il indique aussi la date et heure de la mort (Art 79-1, al.1er du C.civ) . L'enfant est mort au moment de sa naissance

constitutive d’une infraction dont la répression est prévue par le code pénal. - Responsabilité civile : est de nature contractuelle, basée sur l’arrêt Mercier depuis 1936 (1), entraînant une obligation de moyens. Notre pratique médicale engage notre responsabilité professionnelle. En matière de responsabilité civile, la loi du 4 Mars 2002 (1) dite loi Kouchner, a finalisé les évolutions jurisprudentielles des années 90. Notre travail va s’intéres- ser à cette modification juridique et à ses conséquences

ordonné à l’officier d’état civil d’établir un acte d’enfant sans vie conformément aux dispositions du deuxième alinéa de l’article 79-1 du Code Civil, en précisant que l’enfant se prénommait Z et de nommait X. Les époux X ont été déboutés de leur demande par jugement du 9 décembre 2003. Les époux X interjettent appel. Le 17 mai 2005, la Cour d’Appel de Nîmes rend un arrêt confirmatif. Les époux X forment un pourvoi en cassation. Le 6 février 2008, la première chambre civile de la cour de cassation

Université Montesquieu Bordeaux IV Droit des personnes et de la famille 1ère année Licence Droit- Série 2 2013-2014 Séance n°1 : Le statut juridique de l'embryon 2- Application 1. Marie souhaite que les trois "enfants" soient enregistrés à l'état civil. Pourra-t-elle voir son souhait exhaussé et selon quelles modalités ? Il convient de traiter le cas de chaque enfant individuellement. → (Qualification juridique des faits) S'agissant du « premier enfant » (mort pendant

droit marocain (♦) Mohammed Amine BENABDALLAH (∗) Professeur à l’Université Mohammed V Rabat-Souissi L’histoire de la voie de fait au Maroc est liée à celle de son contentieux administratif qui a connu une évolution s’étendant sur bientôt un siècle (1). D’une unité de juridiction et de dualité de droit (2) à une dualité incomplète de juridiction (3) instaurée avec la mise en place des tribunaux administratifs (4), qui s’affirme davantage avec l’entrée en fonction récente des cours d’appel administratives

D'ARRET N°1 (Cour de Cassation, chambre commerciale, mardi 10 février 1981 / N° pourvoi : 79-15687) Les compétences territoriales et clauses attributives en ce qui concernent la qualité du commerçant, peuvent faire l'objet de relation conflictuelle entre les différents partenaires commerciaux d'une société et ces litiges peuvent être traduit en justice. Ce fait, la chambre commerciale de la cour de cassation l'a traité dans cet arrêt rendu le mardi 10 février 1981, numéro au pourvoi 79-15687. Au