Arrêt 3 Novembre 1992 Bonne Foi

comptes, modification des statuts, filiales et participations), les dirigeants sociaux encourent une responsabilité pénale particulière au titre de leur gestion. 2 Les articles L 241-3, 4° (SARL) et L 242-6, 3° (SA) du Code du commerce incriminent le fait, pour les dirigeants, de faire, de mauvaise foi, des biens ou du crédit de la société, un usage qu'ils savent contraire à l'intérêt de celle-ci, à des fins personnelles ou pour favoriser une autre société ou entreprise dans laquelle ils

civ : 5 conditions : - arbitre doit être compétent : la validité de la clause d’arbitrage ( si la clause est nulle ,juge étatique annulera la sentence) - le tribunal arbitral doit avoir été régulièrement constitué ( ex: les parties voulaient 3 arbitres et ils en ont eu qu‘un... Les arbitres doivent être indépendants et impartiaux -les arbitres doivent avoir respecté leurs missions: pas avoir statuer ultra petita : accorder des choses que les parties ne demandaient pas L’arbitre peut avoir

ce qu’il a dit commet un péché. La noblesse n’avait pas le droit de contracter des contrats commerciaux. Les religieux non plus n’avaient pas le droit à certains contrats. Le droit intermédiaire (de la révolution française). Toute référence à la foi catholique est à bannir. Le contrat est l’émancipation. On parle de contrat social. On laisse de plus en plus de libertés aux gens de contracter des contrats qu’ils souhaitent. C’est la fin du formalisme et on se consacre au consensualisme (pas de formule

observations sur l'infraction : 1ere observation : seul un texte peut déterminer ce qu’est une infraction et prévoir les peines applicables. C’est le principe de la légalité criminelle qui est énoncé en tête du code pénal par les articles 111-2 et 111-3 du code pénal. Le juge ne peut pas créer arbitrairement des infractions ou choisir discrétionnairement des peines. Il doit toujours se référer à un texte pénal. Fondement no 1 tiré d’une nécessité de politique criminelle : il est important que le citoyen

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comme la « fidélité à tenir ses engagements », ou par le Littré comme ce « qui obéit aux lois de l'honneur et de la probité » , la loyauté renvoie, sans exhaustivité, à la fidélité, la probité, la (E. Littré, Dictionnaire de la langue française, t. 3, Librairie Hachette et compagnie, 1876, p. 352) droiture, l'honnêteté, la franchise ou encore la sincérité. La loyauté serait ainsi un « devoir de comportement général de tout citoyen » qui consisterait à adopter « un comportement cohérent donc prévisible »

opérations effectuées. A ce titre, la soumission du compte bancaire à la logique mathématique est indiscutable. Mais sa force probante est celle du livre comptable qui le contient. Le compte bancaire (du moins les écritures qui le caractérisent) fait donc foi au profit de celui qui le tient (l’établissement de crédit). Dans les relations entre la banque et une personne non commerçante, on revient au droit commun de la preuve : l’écriture ne fait preuve que contre son auteur. Cependant, dans les rapports

règle). Au delà de la 12ème semaine la volonté de la femme de permettra pas de décider. On parlera d’embryon jusqu'à 15 semaines d’aménorrhée, jusqu’à 15 et 22 semaines on parlera de fœtus et après les 22 semaines on parlera d’un enfant. Si on accouche à 3 semaines il n’y aura pas d’être viable. Etablir la viabilité. L’OMS considère le fœtus fiable à partir des 22 semaines d’aménorrhée (4/2 ou s’il fait 4 gramme), tout enfant né est présumé viable sauf carence d’un organe essentiel. Le 6 février 2008

MEMBRES DU JURY Président : M. Mohamed BELHKAYAT ZOUKKARI –Expert -Comptable DPLE Directeur de recherche : M. Larbi EL AOUFIR – Expert-Comptable DPLE Suffragants : M. Mohamed HDID – Expert-Comptable DPLE ; M. Kamal KADIRI – Professeur à l’ISCAE Novembre 2005 REMERCIEMENTS Je tiens à présenter mes remerciements les plus vifs à Monsieur Larbi EL OUFIR, mon directeur de recherche, pour les conseils précieux qu’il m’a prodigués pour l’encadrement de ce travail de recherche. Mes remerciements vont

3 Droit du travail 3.1 Les sources du droit du travail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.1.1 L’Organisation Internationale du Travail) OIT . . . . . . 2 3.2 3.3 3.1.2 Traités bilatéraux ou multilatéraux . . 3.1.3 Les sources européennes . . . . . . . . 3.1.4 Sources étatiques (nationales) . . . . . 3.1.5 Sources professionnelles (nationales) . . Contrat de travail . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2.1 L’embauche . . . . . . . . . . . . . . . 3.2.2 Loi du 31 décembre 1992 . .