Arrêt 3 Novembre 2011 Remèdes De L Inexecution

du contrat: il se forme par l’accomplissement de certaines formalités. Il faut qu’on prononce des formules rituelles. Le contrat se forme par la remise d’une chose, ou par l’inscription dans un registre. Pour les romaines, si une de ces 3 formalités n’est pas accomplies il n’y a pas de contrat. Le droit romain fonctionne comme le droit anglais actuel: il faut qu’il y est une action pour pouvoir avoir un droit car pour les romains il y a un certains nombres d’actions en justice qui sont

contrat définitif. L’autre personne ne s’engage à rien. B a le choix, il a une option. Le bénéficiaire ne s’engage pas ou verse une somme d’indemnité d’immobilisation (pas obligatoire) : rémunère le fait qu’on réserve une exclusivité. 15 déc. 1993, arrêt CRUZ : promesse unilatérale consentie, mais le promettant se rétracte. Le bénéficiaire demande l’exécution forcée de la vente. Mais le juge a décidé qu’on ne pouvait pas demander la vente forcée. La promesse unilatérale de vente ne peut aboutir qu’à

les évolutions et les questions qui se posent encore actuellement concernant les trois thèmes suivants : - La force majeure (doc. 1, 2, 5 et 6) - Le changement de circonstances (doc. 3, 7 et 9) - La caducité du contrat (doc. 4 et 8) 2. Faire le commentaire d’arrêt (introduction et plan détaillé du document 3) 3. Rédigez les fiches d’arrêts sur les documents 1, 2 et 4 4. Résolvez le cas pratique ci-après reproduit Sommaire I. Jurisprudence Doc. 1 : Cass, ass. Plén., 14 avril 2006, n°02-11

est aussi une source. Ex : le contrat des crédit-baux. La pratique va également créer des mécanismes que le droit codifié ne connait pas, exemple : les suretés. La jurisprudence : N'a pas le pouvoir de créer du droit. ( le code civil interdit les arrets de règlement ) Les juges doivent obéir aux législateurs, mais parfois émancipation : « jurislateur ». Le juge va parfois à l'encontre de la loi, le contra-legem. Récapitulatif historique du droit des contrats : Le contrat, en tant qu'opération

dans la Convention de Vienne sur la vente internationale des marchandises et dans les ppes relatifs aux contrats du commerce international (inspiré de la lex mercatoria) publié par l’Institut international pour l’unification du drt. Le projet comporte 3 séries de textes : • D’abord les textes relatifs à l’exécution et à l’inexécution des contrats, • Puis les textes relatifs à la formation, la validité et l’interprétation du contrat. • Enfin, ceux relatifs au régime des obligations

validité du C à certaines conditions. Ex : dans la sté par act. et la SARL, tous les associés à doivent avoir été touchés par le vice -> art. L.235-1 C.Com. §2 : La sincérité du consentement Le consentement doit être sincère et réel. Simulation dans 3 hypothèses : Quand la simulation porte sur la personne d’un associé : on pense conclure un contrat avec X alors que le véritable associé est Y qui a utilisé un prête-nom => conventions de croupiers. Quand la simulation porte sur la nature du C : C

source de droit. Comment peux-t-on dire cela ? Il suffit d’ouvrir le Code civil. On va en effet travailler sur les articles 1382 à 1386 du Code civil. Pourquoi c’est un rapport d’obligation et une source de droit ? On est toujours dans le livre 3 intitulé "Des différentes manières dont on acquiert la propriété" du Code civil car on sait que l’obligation est un élément du patrimoine. Définition de l’obligation : l’obligation est un lien de droit qui unie deux personnes en vertu duquel l’une

fond, elle va vérifier quels critères ont été utilisés pour la qualification. La volonté des parties n’est pas prise en compte, elle ne lie pas la qualification puisque le juge peut se défaire de cette qualification. Le juge va alors requalifier. Arrêt 1969 : Il appartient aux juges du fond de restituer à la convention son véritable sens. L’objet du contrat est le critère le plus important pour la qualification. Cela consiste pour le juge à tenir compte de la prestation caractéristique. Cette prestation

ignorer. Elles peuvent au contraire prendre le parti de les gérer par des clauses spécifiques, dont l’objet peut varier : contraindre à l’exécution (clause pénale) ou la prévenir (clause de suspension de contrat), aménager les conséquences de cette inexécution en en répartissant les risques : tel est l’objet des clauses de responsabilité. La deuxième famille de risques, elle, rassemble toutes les formes de perturbations de la ligne initialement tracée par un événement extérieur aux parties : une fluctuation

débiteur ne s’exécute pas, le créancier peut avoir recours à la justice étatique, soit pour le contraindre à l’exécution, soit pour faire sanctionner l’inexécution. Exemple, on prévoit de construire une maison, devant être prête pour le 1er septembre 2011, retard dans la construction, absence de toiture. Vu qu’un contrat de construction a été signé avec l’entrepreneur, ce retard d’exécution peut être sanctionné, on peut recourir à la justice étatique, soit pour demander en justice la condamnation de